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La crise nous ayant éloignés des salles de sport, il est temps de retrouver les joies de se dépasser et de chasser au passage les excès des confinements à répétition. L’offre de clubs de sport étant vaste sur la zone, difficile de trouver l’établissement qui vous conviendra. Entre les salles pour experts, débutants ou autres extrêmes se trouve une solution équilibrée : l’Orange Bleue Colomiers.

Située dans la zone aéronautique, cette salle à taille humaine fait le pari du familial sans pour autant limiter vos possibilités de progression. Disposant de tout ce que l’on a besoin dans un club de sport, à savoir un espace cardio, une salle de cours co (avec prof et cours tous les jours s’il vous plait), un coin crosstraining (qui se déploie à l’extérieur lorsqu’il fait beau d’ailleurs), et un double plateau musculation libre/guidé, L’Orange Bleue Colomiers s’offre même le luxe de vous proposer 2 saunas.

De par ses 600m2, l’établissement est un compromis parfait offrant une surface confortable sans verser dans l’usine. Résultat, un club où les adhérents se connaissent et peuvent travailler jusqu’à de solides objectifs.

Côté tarifs, L’Orange Bleueu Colomiers étonne avec des abonnements étonnamment abordables au regard des prestations proposées. Avec un accès simple et un grand parking, plus d’excuse pour ne pas s’y rendre même les jours de motivation en RTT.

L’Orange Bleue Colomiers
27 avenue Jean Monnet
07.56.86.74.34
www.lorangebleue.fr
Fb : L’Orange Bleue Colomiers – Parc Aéronautique

Le personnel d’Airbus rassuré Photo archive : Julien Fitte

Ayant subi (et la subissant toujours) la crise du Covid, le moteur économique de l’ouest toulousain se voyait sous la menace de licenciements secs depuis l’annonce du 14 septembre de la part de Guillaume Faury (directeur exécutif Airbus) Ce dernier estimait « peu probable que les départs volontaires suffisent » a remplir l’objectif établi.

Cette perspective des plus sombre a fait monter au créneau les syndicats, bien décidés à éviter la catastrophe socio-économique du licenciement sec. En accord avec la direction et scellé par deux accords signés lundi 12 octobre 2020, cette option est abandonnée dans le cadre d’un plan de sauvegarde de l’emploi et sur l’activité partielle de longue durée (APLD).

Divers leviers ont été sollicités pour ce faire, comme les retraites anticipées, le dispositif Corac (Conseil pour la recherche aéronautique civile qui vise notamment à développer l’avion vert) ou encore les départs à la retraite. Tous ces axes ont permis d’atteindre le seuil des zéro départs contraints, bouclant quasiment ce plan social qui vise près de 5000 emplois chez Airbus, Stelia et ATR. Quasiment car deux points seront fait au premier trimestre 2021 afin de déterminer si les départs volontaires sont conformes aux estimations. Dans le cas contraire, d’autres négociations seraient ouvertes.

En Occitanie, 8000 entreprises commercent avec le Royaume-Uni, dans tous les secteurs mais la filière aéronautique régionale est concernée par le Brexit, et en tout premier lieu Airbus, qui compte près de 14 000 collaborateurs répartis sur vingt-cinq sites au Royaume-Uni. Plus de 1000 ailes sont ainsi produites chaque année sur le site de Broughton.

Même si la direction d’Airbus annonce que tout a été mis en place pur prévenir des risques du « No-deal », le Brexit pourrait avoir de sérieuses conséquences pour l’organisation d’Airbus, dont l’activité soutient plus de 110 000 emplois via 4 000 sous-traitants sur le territoire britannique, notamment en matière de réglementation et de certification, entraînant des retards dans la livraison des avions.

La suite dans les semaines ou mois à venir…

Passionné depuis ses 17 ans par les reportages cinématographiques et la caméra, Christian Garcia a suivi sa passion en réalisant des films amateurs. C’est son envie de partage, ayant débutée par des films de voyage, qui l’a amené aujourd’hui a réaliser des reportages télévisés sur le web via la plateforme TvLocale.fr.

Avec le dernier commandant de bord du Concorde exposé à Aéroscopia

Ce columérin autodidacte a évolué avec son temps, de la Super8 avec bobine à la caméra de point CanonAX30, sans jamais perdre de vue ce qui l’anime : partager sur des sujets qui lui tiennent à coeur ! Parmi ceux-ci, les métiers d’arts, les femmes dans leur travail et l’aéronautique, des thèmes qu’il est aisé de distinguer dans ses vidéos. Christian était caméra au poing, il y a 16 ans, pour couvrir l’inauguration du Concorde 001 au hangar Aéroscopia avec l’association Ailes Anciennes Toulouse  et en 2018 pour interviewer Christine Debouzy, commandante de bord AirFrance sur A380, dans le cadre de conférences à L’ENAC (école nationale d’aviation civile). Christian est également le reporter de l’association C MON VILLAGE à Colomiers pour laquelle il réalise régulièrement des vidéos présentant les commerces, les événements associatifs et les acteurs de la vie locale columérine. Ce passionné ne s’arrête pas là et propose ses services pour tous à des tarifs très accessibles, car pour lui tout sujet est réalisable.

Pour obtenir vous aussi un « archivage qui prend de la valeur au fur et à mesure de la vie avec une image ET un son qui perdure dans le temps » contactez Christian Garcia au 05 61 15 50 48 ou par mail contact@cgr-reportage.fr

 

 

 

Inauguré hier soir en présence de Cédric Gautier (CEO de Stelia Aerospace), Karine Traval-Michelet (Maire de Colomiers et vice présidente de Toulouse Métropole) et de Jean-Luc Moudenc (Maire de Toulouse), Sky Park devient le siège unique de Stelia Aerospace Toulouse.

Ce bâtiment digne d’un James Bond abrite la direction, les bureaux d’études, les directions des programmes et les fonctions de support de l’ensemble du groupe jusqu’alors répartis sur trois sites distincts.

15 000 m2, 6 étages, 28 mètres de haut, vous n’avez pas pu manquer cet édifice situé à l’entrée du boulevard de l’Europe. L’immense façade vitrée dont la couleur varie avec le soleil propulse ce joyau architectural directement dans le futur. À l’intérieur, tout est pensé pour faciliter les échanges entre collaborateurs, à grand renforts de solutions technologiques et connectées. Il n’en fallait pas moins pour gérer les 900 salariés du site. Ces derniers peuvent d’ailleurs compter sur 70 salles de réunion ainsi que 100 « phone box », sorte d’espace de travail isolé idéal pour 1 ou 2 personnes.

Au niveau de sa réalisation, Sky Park s’inscrit dans une démarche éco-responsable en répondant à la norme « BREEAM », il embarque des systèmes de réduction de consommation d’eau, un revêtement sain limitant les émissions de COV (composé organique volatile) et des nichoirs/agrainoirs pour les oiseaux.