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Aujourd’hui, destination Aveyron. Et pour découvrir cette belle ferme exploitée par Christophe Bayle et ses deux associés, Géraldine et Lionel Durand, direction les hauteurs ! A 900 m d’altitude, veaux, vaches, légumes, fourrages et céréales s’épanouissent sur les 80 hectares de cette exploitation familiale, convertie en bio depuis 1997 et dont les origines remontent à 1888. Elle produit une dizaine de variétés de pommes de terre, toutes savoureuses, des carottes qui laisseront bientôt leur place à des patates douces, et abrite un troupeau de 40 vaches-mères de race Aubrac.

« Ici, tout est bio et depuis longtemps », déclare Christophe Bayle, qui a rejoint l’aventure en 2013. « Nos vaches sont exclusivement nourries avec des fourrages et céréales cultivés sur place, sans engrais ni pesticides. Nos légumes, nous les protégeons et les traitons naturellement, avec des purins maison à base d’ortie, de prêle ou de fougère. C’est plus de travail, mais le résultat en vaut la peine ! ».

Le bio et l’agriculture : une passion pour ce diplômé en hôtellerie-restauration qui, après un détour par les Relations Humaines et le Canada, s’épanouit depuis plus de 10 ans dans cette activité prenante et multifacette. « Nous sommes tout aussi intéressés par la gastronomie que par l’agriculture », déclare celui qui fut aussi sommelier. « Avec d’excellents produits à notre disposition, passer à la transformation était une évidence ». Et c’est ainsi que sont nés les Produits Fermiers de Montredon en 2017.

20 recettes originales sont proposées sous forme de conserves artisanales. Cuisinées et conditionnées à la ferme, elles réunissent le meilleur de ce qui est produit sur place ou à proximité. « Les quelques ingrédients qui nous manquent sont sourcés via des circuits très courts », précise Christophe. Sauté de veau, carbonade, tajine, velouté ou encore jardinière mettent en valeur le goût incomparable des produits comme le savoir-faire des trois associés.

Distribués dans un rayon de 150 km autour de l’exploitation, légumes et plats cuisinés de la ferme ont depuis longtemps trouvé place dans votre Biocoop Le Perget à Colomiers. Mais la star incontestée de la ferme et des étals, c’est la pomme de terre. De septembre à mars, elle est livrée chaque semaine depuis 10 ans et fait le bonheur des clients en recherche de valeurs sûres ou de découvertes culinaires.

« Nous produisons des variétés connues de tous, comme la Bintje ou la Charlotte, et plein d’autres, délicieuses, qu’il faut découvrir », sourit Christophe. « Avec le temps, certaines variétés s’épuisent, deviennent plus sensibles aux maladies, perdent en goût et en productivité. Nous travaillons donc avec un expert de renommée mondiale (Aveyronnais !), qui nous conseille dans la production de nouvelles espèces. Soyez aventurier, vous aurez de bonnes surprises ! ».

Il reste quelques semaines aux clients de Biocoop pour tenter le changement et donner leur chance à la versatile Taisiya, sérieuse concurrente de la Bintje, à l’Agria, qui fera merveille pour les frites, en attendant les nouvelles récoltes de Monalisa, de Nicola, ou encore de Désirée. « C’est la fin de saison », souligne Christophe, « il faut donc en profiter avant le retour, dès septembre, des pommes de terre nouvelles, des nouveautés et de la grenaille de Noël multicolore ! »

Un article par Amélie Jolivet

Grande habituée des manifestations nationales telles « La fraîch’attitude », « La mélodie des mets locaux » ou encore « La semaine du goût », la ville de Colomiers s’engage jeudi 19 novembre pour la seconde fois dans l’opération « menu 2 fois bon ». Son principe est simple : rendre la production de menus bons pour ceux qui vont les manger mais également bons pour la planète lors de leur réalisation.

Les objectifs de cette démarche sont un poids carbone des menus inférieur à 2000 gr CO2, 80% des ingrédients entrant dans la préparation du menu produits ou transformés à moins de 200 km de la cuisine, 100% des fruits et légumes frais et de saison (bio, label rouge…) et enfin que l’équilibre nutritionnel du menu soit vérifié par un expert.

De nombreux critères donc et un défi de taille que la Direction de la restauration municipale a pourtant su relever. Ainsi, le menu du jeudi 19 novembre prochain a un poids carbone de 707gr CO2 pour 4 500 repas, ce qui permet de compenser l’équivalent de 150 trajets Toulouse-Paris en voiture ! Contrat techniquement rempli donc. Il n’y a plus qu’à attendre le retour des personnes à table ce jour là, à savoir les enfants des crèches et des écoles, résidents de l’Ehpad, les bénéficiaires du portage des repas à domicile et le restaurant administratif. Cependant, avec une salade mélangée, du poulet rôti de Lanta (31), des lentilles bio de Haute-Garonne et un yaourt fermier nature sucré de Puylaurens (81), gageons que ce repas 2 Fois Bon saura séduire son public.

Initiative pleine de sens répondant à la fois aux enjeux économiques, sociaux et environnementaux, cette opération s’inscrit dans la continuité des actions menées tout au long de l’année par la Direction de la Restauration municipale de Colomiers.

Au moment où les débats autour du glyphosate et de la tomate hors sol font rage, les Français se tournent de plus en plus vers le BIO, et délaissent peu à peu les cultures dites conventionnelles. Et tandis que le consommateur est de plus en plus renseigné, les enseignes Bio se multiplient et les modes de productions alternatifs – comme les AMAP et les Ruches – se développent. A l’ère du « mieux manger », les slogans des hard discounters ne prônent pas tant les prix bas, que des produits sains et équitables. Se fournir en direct du producteur a le vent en poupe, et certains noms barbares comme « permaculture » commencent à rentrer dans le vocabulaire des consommateurs. Désormais, le combat face aux problèmes climatiques et sanitaires se passe dans l’assiette et chacun lutte armé de sa fourchette. Un panier à salade dans lequel il est parfois difficile de faire son choix. État des lieux des bonnes adresses près de chez vous.

 

 

 

 

 

 

© Hélène Ressayres

Enseigne de l’économie solidaire, « Minjat », cantine et épicerie columérine, apporte le « bien-manger » à tous. Que ce soit le temps d’une pause déjeuner sur les bancs de son restaurant, ou en faisant les courses dans sa boutique, le défi est d’inviter les gens à redécouvrir le produit. « Nous voulons démocratiser l’alimentation locale. Cela passe par un mode de production respectueux de l’environnement, de l’humain, et du porte-feuille du consommateur », expose Cyril Picot, co-gérant chez « Minjat ». Dans les étals du magasin, les fruits et légumes proviennent d’une agriculture raisonnée ou bio, privilégiant la pleine terre ou le plein champs, et respectant une charte. Un gage de qualité qui encourage le local, et valorise ainsi les graines de Millet de Haute-Garonne, les graines de Chia d’Ariège, les grenades des Pyrénées Orientales, du gingembre, curcuma et fruits de la passion de Perpignan, ou encore les amandes du Tarn.

L’enseigne met aussi en avant les exploitations familiales ou en polyculture : « Ce système permet d’assurer une rotation des cultures, favoriser la biodiversité, et ainsi de ne pas appauvrir les sols », explique Cyril Picot, co-gérant de chez « Minjat ». Tous nos produits sont de saison et en direct de chez nos producteurs, qui pour la plupart vendent aussi à la ferme ou sur les marchés. Mais la charte de « Minjat » est aussi stricte en ce qui concerne le rayon boucherie-charcuterie. Ici, les races à viande sont privilégiées, et on bannît les vaches de réforme. L’alimentation des animaux est bien sur sans OGM, et les abattages se font le plus près possible pour éviter le stress des animaux et les blessures dues au transport. « Il est primordial pour nous de connaître tous les éleveurs que nous distribuons, leur mode de production, et l’alimentation délivrée aux bêtes. Nous nous déplaçons sur chaque exploitation pour comprendre la philosophie des producteurs et leur façon de travailler », développe Cyril Picot. Les bêtes que l’on retrouve en magasin et dans les assiettes de la cantine de chez « Minjat » sont donc choisies et achetées sur pied, et en carcasse. Des animaux qui sont en amont engraissés pendant trois ou quatre mois avec un mélange riche en protéine, conférant une tendresse hors pair à la viande. Et les membres de l’équipe savent de quoi ils parlent en matière de produits.

© Hélène Ressayres

Cyril, fils d’éleveur de bovins, Marie, fille d’arboriculteur, ou encore Joseph, chef boucher depuis 40 ans, ne manquent pas de prodiguer leurs meilleurs conseils aux client en manque d’idées recettes, ou d’infos pratiques diverses et variées. Faire découvrir une nouvelle façon de travailler les produits de saison : telle est l’ambition de la cantine de chez « Minjat ». « Nous souhaitons que les gens réapprennent à conjuguer créativité et santé dans l’assiette. Il est important de revaloriser des produits étant vus comme moins nobles, et qui se révèlent délicieux lorsqu’on les revisite », défend Cyril Picot. C’est ainsi que dans une ambiance conviviale, les grandes tablées de la cantine de chez « Minjat » invitent à la dégustation, autour d’une cuisine variée et toujours responsable.

Article rédigé par Hélène Ressayres

 

 

Au moment où les débats autour du glyphosate et de la tomate hors sol font rage, les Français se tournent de plus en plus vers le BIO, et délaissent peu à peu les cultures dites conventionnelles. Et tandis que le consommateur est de plus en plus renseigné, les enseignes Bio se multiplient et les modes de productions alternatifs – comme les AMAP et les Ruches – se développent. A l’ère du « mieux manger », les slogans des hard discounters ne prônent pas tant les prix bas, que des produits sains et équitables. Se fournir en direct du producteur a le vent en poupe, et certains noms barbares comme « permaculture » commencent à rentrer dans le vocabulaire des consommateurs. Désormais, le combat face aux problèmes climatiques et sanitaires se passe dans l’assiette et chacun lutte armé de sa fourchette. Un panier à salade dans lequel il est parfois difficile de faire son choix. État des lieux des bonnes adresses près de chez vous.

 

 

 

 

 

 

« Le « bien-manger » demande des pré-requis. Cela doit faire partie d’un tout, de l’ADN de l’entreprise, et de ses bases profondes ». Pour Pascale et Dominique Bonnel, directrice et PDG du « Carrefour Market » de L’Isle Jourdain, consommer mieux appartient à une logique globale. De la production à la vente, en passant par la collecte des déchets, chaque étape transpire une volonté d’aller dans le bon sens éthique. « Nous étions précurseur en matière de BIO il y a dix ans. Aujourd’hui, toutes les enseignes le détournent à des fins commerciales. Pour nous, il faut qu’il y ait une véritable cohérence lorsque l’on parle de BIO. Nous payons par exemple pour la méthanisation et la collecte de nos déchets. une après-midi de sensibilisation au « mieux-manger » dans les écoles, lors de « La Semaine Du Goût » et un week-end d’information autour du recyclage lors de « La Journée Nationale Du Tri Et Des Déchets ». Pour nous, l’humain et l’éducation rentrent dans cette démarche globale environnementale », expose Dominique Bonnel, PDG du « Carrefour Market » de L’Isle Jourdain.

©Hélène Ressayres

Par le biais d‘ « Act For Food », l’enseigne met aussi en place des actes forts décidés par le groupe. Un label BIO qui met en avant des produits 100% français et qui crée des partenariats avec plus de 15 000 agriculteurs affiliés. Des producteurs qui se doivent de respecter une charte, incluant audits, ou encore analyses de la terre. « Nous souhaitons que le BIO soit accessible à tous. Par le biais du « Act For Food », nous proposons des prix plus bas sur ces produits. C’est pour nous un investissement, mais celui-ci nous permet de proposer le meilleur au plus grand nombre », confie Dominique Bonnel, PDG du « Carrefour Market » de L’Isle-Jourdain. Ce sont en tout 6000 références BIO qui jalonnent les rayons de l’enseigne. Depuis 2 ans, des corners dédiés au BIO mais aussi au local ont vu le jour. « Concernant le local, notre politique demande d’appliquer un cahier des charges à la lettre. Nous ne voulons pas faire du local pour faire du local. Il faut sélectionner étroitement les producteurs pour répondre à la demande et à un seuil de qualité », explique Pascale Bonnel, directrice du « Carrefour Market » de L’Isle Jourdain. Une volonté de transparence et de cohérence qui se retrouve donc dans les actions quotidiennes de l’enseigne lisloise.

 

 

Article rédigé par Hélène Ressayres 

Au moment où les débats autour du glyphosate et de la tomate hors sol font rage, les Français se tournent de plus en plus vers le BIO, et délaissent peu à peu les cultures dites conventionnelles. Et tandis que le consommateur est de plus en plus renseigné, les enseignes Bio se multiplient et les modes de productions alternatifs – comme les AMAP et les Ruches – se développent. A l’ère du « mieux manger », les slogans des hard discounters ne prônent pas tant les prix bas, que des produits sains et équitables. Se fournir en direct du producteur a le vent en poupe, et certains noms barbares comme « permaculture » commencent à rentrer dans le vocabulaire des consommateurs. Désormais, le combat face aux problèmes climatiques et sanitaires se passe dans l’assiette et chacun lutte armé de sa fourchette. Un panier à salade dans lequel il est parfois difficile de faire son choix. État des lieux des bonnes adresses près de chez vous.

 

 

 

 

 

 

« Tout ce qui est BIO ne rentre pas dans « Biocoop » ! ». Une citation d’Alexis Brévier, responsable du rayon fruits et légumes de l’enseigne, qui rappelle la sélection rigoureuse dont fait preuve le magasin columérin. Ici, on respecte le cahier des charges de la mention « BIO Cohérence », qui apporte un véritable critère de différenciation face à l’industrialisation de la bio et sa banalisation. Chez « Biocoop Le Perget », on mutualise le groupement de petits producteurs à une large offre de produits. Epicerie, pâtes, produits exotiques, diététiques, véganes, surgelés… sont ainsi proposés dans le respect d’une certaine qualité et éthique. « L’enseigne réalise des audits et des visites chez les producteurs avant de signer un partenariat.

© Hélène Ressayres

Au niveau international, nous sommes attentifs aux zones de cultures ; nous privilégions par exemple de travailler avec la côte est espagnole, qui est moins polluée que la côte ouest. Et notre huile de palme vient de palmeraies qui ne sont pas issues de la déforestation », développe Alexis Brévier, responsable fruits et légumes de « Biocoop Le Perget». Autant d’attention portée à la qualité du produit, mais aussi aux conditions de travail et au respect de l’exploitant. « Au niveau local, nous ne négocions pas les prix du producteur. A l’étranger, nous travaillons avec le label « Max Havelaar », qui garantit une rémunération juste pour le producteur, le respect des droits des travailleurs et le respect de l’environnement », explique Alexis Brévier. Une enseigne militante qui tient aussi sa valeur ajoutée dans l’expertise de son personnel. En effet, un ensemble de conseillers spécialisés sur l’alimentation et la santé accompagnent les clients en quête de bien-être. « Nous avons une grosse demande en ce qui concerne les compléments alimentaires », confie Caroline Vendrame, responsable du « Biocoop Le Perget ». Dans ce rayon, l’apithérapie est reine, et les plantes adaptogènes comme la Radiola, sont les stars de l’hiver. Et une fois de plus, l’exigence de « Biocoop » vient là aussi se porter sur ses produits, en excluant de leur composition tout OGM, molécules de synthèse et autres nano particules.

© Hélène Ressayres

Article rédigé par Hélène Ressayres

 

Au moment où les débats autour du glyphosate et de la tomate hors sol font rage, les Français se tournent de plus en plus vers le BIO, et délaissent peu à peu les cultures dites conventionnelles. Et tandis que le consommateur est de plus en plus renseigné, les enseignes Bio se multiplient et les modes de productions alternatifs – comme les AMAP et les Ruches – se développent. A l’ère du « mieux manger », les slogans des hard discounters ne prônent pas tant les prix bas, que des produits sains et équitables. Se fournir en direct du producteur a le vent en poupe, et certains noms barbares comme « permaculture » commencent à rentrer dans le vocabulaire des consommateurs. Désormais, le combat face aux problèmes climatiques et sanitaires se passe dans l’assiette et chacun lutte armé de sa fourchette. Un panier à salade dans lequel il est parfois difficile de faire son choix. État des lieux des bonnes adresses près de chez vous.

 

 

 

 

 

Tandis que l’on nous rappelle sans cesse qu’il n’est rien de tel que de connaître la traçabilité des produits, quoi de mieux que de se fournir directement à la source ? Difficile pourtant de choisir vers qui se tourner, une fois de plus. On sait que le BIO c’est bien. Mais la permaculture c’est mieux ! Zéro pesticide, moins de désherbage, et moins de consommation d’eau. C’est pour cette raison que Martin Barthélémy, producteur de légumes au « Chant Des Champs » à Cornebarrieu, en a fait sa vocation. Une démarche de conception éthique visant à recréer l’écosystème de la fôret, et de tout son habitat en matière de faune et de flore. « Dans ce système agricole, les végétaux qui tapissent la terre, la nourrissent et lui permettent de conserver une certaine humidité, ce qui implique moins d’arrosage. Un environnement qui attire les insectes, comme les vers de terre ou les scarabées, véritables petits « laboureurs », et qui contribuent à ce terreau vertueux pour le maraîchage », argumente Martin Barthélémy, producteur du « Chant des Champs ».

© Hélène Ressayres

Dans ce mode production qu’est la permaculture, on redonne ainsi tout son pouvoir à la nature. Une démarche éthique qui nécessite d’apprendre des erreurs du passé, de poser un cadre de valeurs pour construire une agriculture plus juste, de tempérer les égoïsmes instinctifs et modes de consommation, implantés depuis longtemps. Cela implique donc la résilience ; celle d’accepter que la nature ne fournit pas sur commande et que les saisons rythment les productions. Et cette révision de copie en ce qui concerne son mode d’alimentation a de nombreux avantages directs pour le  consommateur. En effet, pour Martin Barthélémy, « Le BIO cher n’est pas une fatalité ! ». « Le Chant Des Champs » propose deux formules : un tarif forfaitaire avec un engagement sur la saison et des paniers composés par les soins du producteur, ou des cagettes à la carte, des légumes mûrs et ramassés la veille à un prix défiant toute concurrence. Et lorsque l’on demande à Martin Barthélémy les recettes pour se nourrir mieux demain, la réponse est sans équivoque : « Il est impératif de privilégier les circuits courts. Nous sommes dans une région bien lotie en ce qui concerne les producteurs, donc autant en profiter ! Si on ne connaît pas les adresses, les marchés peuvent être un bon endroit où les trouver. Enfin, je pense que le prix n’est pas un gage de qualité. Le BIO est toujours mieux que le conventionnel, mais il ne justifie pas toujours que l’on marge autant ».

Article rédigé par Hélène Ressayres

 

La rentrée passe aussi par l’arrivée de nouveaux commerces. À Colomiers, une adresse ravira le 20 septembre les amateurs de bons petits plats et de produits locaux. Il s’agit d’une épicerie d’un nouveau genre qui porte le nom de “Minjat !”, clin d’oeil à notre région pour ce mot occitan signifiant “manger”.

Ce concept unique sur Toulouse prône l’accessibilité du meilleur des produits locaux au plus grand nombre. Aucun intermédiaire entre l’enseigne et les 150 producteurs de la région qui la fourniront. À l’initiative du projet, Cyril Picot, Anton Dmitriev et David Pagès trois hommes complémentaires pour un concept en trois temps : un marché local, une cantine et un quartier général, le tout en circuit court et au Perget !

L’avantage de cette proximité c’est que vous mangez le midi les mêmes produits de saisons que retrouvez dans l’épicerie. C’est d’ailleurs par égard pour le « bien manger » que des cours de cuisine et des ateliers seront organisés pour faire de Minjat ! un quartier général. Vous goûtez des plats locaux, apprenez les recettes et achetez les produits au juste prix pour pouvoir vous régaler à la maison.

On vous en dit plus prochainement juste après avoir testé le concept Minjat ! et on souhaite la bienvenue à nos nouveaux voisins !

Minjat !
2 avenue André Marie Ampère
31770 Colomiers
www.minjat.com

 

Tout juste sorti du choc calorique des fêtes, nous sommes allés rencontrer la dynamique Élodie La Cognata, installée depuis 2014 en tant que Diététicienne Nutritionniste au centre de Colomiers.


Diplômée en 2009, Élodie à toujours été fascinée par la science de la nutrition et ça se ressent dans sa façon d’en parler. À la fois passionnée et qualifiée, elle voit dans l’alimentation une façon d’améliorer la santé physique mais également morale. Le recours à un nutritionniste concerne toute forme de public sans limite d’age et quelque soit l’objectif visé. Elle reçoit aussi bien des patients en surpoids que des sportifs de haut niveau mais également des personnes stressées qui peuvent se sentir mieux en modifiant simplement leur alimentation. Car lorsque l’on sort de chez le médecin pour rentrer dans une pharmacie, ici on enchaîne en faisant le marché afin de se soigner au quotidien. On travaille ainsi son « instinct de consommation » avec pour objectif de trouver son équilibre alimentaire.


Bilan individuel, établissement d’objectifs personnels, suivi sur le long terme, aller voir Élodie c’est l’assurance d’obtenir un esprit sain dans un corps sain.

 

Elodie La Cognata
3ème étage, 27 Allée du Roussillon, 31770 Colomiers
06 49 95 04 88