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detox vs retox

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Comme à chaque début d’année, pleuvent bonnes résolutions, perspectives de grands changements et promesses de renouveaux divers et variés. Sauf qu’à force, on sait bien qu’un coup sur deux ces résolutions foirent au bout de 3 semaines. Certaines et certaines ne font du coup même plus illusion et optent pour un passage de la Saint Sylvestre en mode zéro effort. C’est cette dualité que nous allons aborder en l’espèce, traitant aussi bien des belles et saines résolutions que des plans à la gloire des 7 péchés capitaux. Musique maestro.

Comme le summer body est bien loin en janvier, le moment est parfaitement choisi pour virer du côté de la raclette. Oubliez les produits industriels qui ont autant de goût qu’un verre d’eau tiède, quitte à exploser le compteur de calories, autant que ce soit divinement bon. Notre territoire débordant de fromagers et charcutiers experts, les adresses pour réussir sa fête du fromage fondu sur des patates ne manquent pas. Gardez à l’esprit que vous n’allez pas en faire 100 fois dans l’année et qu’il vaut largement mieux privilégier la qualité que de se gaver comme une oie de morbier pas ouf. Depuis quelques années, il existe même des appareils pour taper raclette à deux (quelle invention formidable).
Comme aucune loi ne régit ce moment de fête, lâchez vous sur les variantes, notamment sur la partie à griller : champignons, tranches de magret, œuf…quasi tout marche.

Après un summer body ça ne se fait pas en 15 jours et il n’es jamais trop tôt pour commencer à s’affûter, avec un sport bien typé cardio par exemple. Méga tendance depuis quelques années, le padel est un mélange entre le tennis et le squash. Se jouant exclusivement en double, il permet de rapidement se prendre au jeu et se faire des copains. Les jours de non motivation, c’est cette particularité qui fait la différence. À la fois très accessible et axé vers la compétition, ce sport crame calories est exactement ce qu’il faut pour démarrer 2024 à fond la forme.

Comme à chaque début d’année, pleuvent bonnes résolutions, perspectives de grands changements et promesses de renouveaux divers et variés. Sauf qu’à force, on sait bien qu’un coup sur deux ces résolutions foirent au bout de 3 semaines. Certaines et certaines ne font du coup même plus illusion et optent pour un passage de la Saint Sylvestre en mode zéro effort. C’est cette dualité que nous allons aborder en l’espèce, traitant aussi bien des belles et saines résolutions que des plans à la gloire des 7 péchés capitaux. Musique maestro.

« Je ne suis pas bordélique, je suis créatif ». Derrière cette excuse parfaite pour ne pas ranger ses crayons de couleur se cache deux clans distincts dans l’organisation du travail/bricolage/loisir et autres. Chez la team rangement, il y a une place pour chaque chose et chaque chose à sa place. Chez la team bordel, on improvise. Les deux écoles ont leurs avantages et inconvénients. S’inspirer de chacune est peut être bien la bonne chose à faire. Trop carré et on n’ose plus toucher à rien. Trop chamboulé et on ne sait plus où est cette satanée clef de 12. L’équilibre se trouve dans le plus utilisé. Laissez à portée les objets que vous sollicitez le plus, leur place est en plein milieu, au cœur de l’action. Pour les secondaires, l’effort de rangement n’est pas vain dans la mesure où il dure. Enfin, sachez apprécier un espace de travail vivant qui témoigne de votre personnalité.

Comme à chaque début d’année, pleuvent bonnes résolutions, perspectives de grands changements et promesses de renouveaux divers et variés. Sauf qu’à force, on sait bien qu’un coup sur deux ces résolutions foirent au bout de 3 semaines. Certaines et certaines ne font du coup même plus illusion et optent pour un passage de la Saint Sylvestre en mode zéro effort. C’est cette dualité que nous allons aborder en l’espèce, traitant aussi bien des belles et saines résolutions que des plans à la gloire des 7 péchés capitaux. Musique maestro.

C’est décidé, on va assumer. Quelques semaines après la publication massive sur Instagram des artistes les plus écoutés sur Spotify, on va enfin le dire : OUI on a écouté les Spice Girls, bien sur qu’on a bouclé l’album des 2be3, forcément qu’on a écouté les Démons de Minuit (en faisant « qui ça, qui ça, qui ça ?!? »). Et pour être honnête, on a tous nos inavouables musicaux. Ceci étant, à 3h du matin sur le dancefloor du Pirvilège, on ne veut pas entendre parler de Jacques Brel. Ce qu’on veut, c’est un rythme basique et des paroles faciles à hurler même quand on ne maîtrise plus les consonnes. Bien normal ensuite d’y revenir en journée de temps en temps. On doit juste enfin tous se pardonner : nous sommes ensemble coupables d’écoutes très discutables.

En contrepartie, il n’est jamais trop tard pour découvrir ce que ce monde a fait de meilleur. De début 1700 avec Vivaldi aux années 60 avec Hendrix en passant par The Allman Brothers Band, l’héritage musical qui s’ouvre à nous croule sous les merveilles. Actuellement, des groupes comme Greta Van Fleet, The Weekend, Kendrick Lamar et j’en passe sont d’autant de bonnes raisons de penser que ce n’était pas que mieux avant. Essayez, découvrez, expérimentez !

Comme à chaque début d’année, pleuvent bonnes résolutions, perspectives de grands changements et promesses de renouveaux divers et variés. Sauf qu’à force, on sait bien qu’un coup sur deux ces résolutions foirent au bout de 3 semaines. Certaines et certaines ne font du coup même plus illusion et optent pour un passage de la Saint Sylvestre en mode zéro effort. C’est cette dualité que nous allons aborder en l’espèce, traitant aussi bien des belles et saines résolutions que des plans à la gloire des 7 péchés capitaux. Musique maestro.

Class / Pas class

Le changement d’année, renouveau par excellence, peut pleinement s’appliquer au domaine du style vestimentaire. Inspiré par la noblesse du début 1900 et validé par Cillian Murphy dans Peaky Blinders, la tentation du long manteau/costume/montre à gousset a de quoi séduire. Sans partir dans le total look, force est de constater qu’une belle pièce comme une gabardine ou une redingote change son homme ou sa femme. Assorti à des pièces que vous possédez déjà forcément (chemise, pantalon…), voilà de quoi démarrer 2024 avec un +10 en style. Compliments assurés lors de la prochaine réunion.

De l’autre côté, opter pour le confort avant tout est une théorie qui se défend. Il n’est pas question ici de tomber dan le piège mortel de la claquette/chaussette qui ne sied qu’à un rappeur Marseillais mais plutôt de rechercher l’aisance que le costar 3 pièces un poil serré ne propose absolument pas. La paire de chaussures de sport détournée à un usage citadin et quotidien (aka sneakers) en est un parfait exemple. Parfaitement admise si le reste de la tenue est sobre, New Balance, Asics ou même Nike apportent le confort quivabien sans pour autant vous attirer les foudres de votre hiérarchie. Rangez tout de même la veste coupe vent que vous mettez le weekend au rugby, le monde n’est aps encore prêt pour ça.

Comme à chaque début d’année, pleuvent bonnes résolutions, perspectives de grands changements et promesses de renouveaux divers et variés. Sauf qu’à force, on sait bien qu’un coup sur deux ces résolutions foirent au bout de 3 semaines. Certaines et certaines ne font du coup même plus illusion et optent pour un passage de la Saint Sylvestre en mode zéro effort. C’est cette dualité que nous allons aborder en l’espèce, traitant aussi bien des belles et saines résolutions que des plans à la gloire des 7 péchés capitaux. Musique maestro.

Potager / Farniente

N’étant pas sans rappeler une histoire de cigale qui chante tout l’été pendant qu’une fourmi trime, ce volet de notre dossier est, malgré la saison, d’ores et déjà applicable. En effet, l’hiver n’est pas une saison complètement à l’arrêt pour le jardin. Ce n’est pas le temps des fleurs mais plutôt celui des plans, que vous ayez déjà la main verte ou que vous ne sachiez pas encore différencier un concombre d’un cornichon. C’est en effet là que vous allez dessiner la part qui sera allouée à vos cultures en gardant à l’esprit que si chaque mètre carré en plus est la perspective de récoltes, il est fatalement celle de travail supplémentaire. Allez y molo pour les débuts, on se lasse vite de retourner la terre à la fourche. Si vous voulez faire vos propres plans, prévoyez une serre avec pots et étiquettes rigoureusement tenus à jour lorsque le printemps débarquera (et il arrive plus vite que ce que l’on peut penser). Enfin, soyez vigilants à des facteurs comme la météo et les phases de la Lune, leur influence est absolument centrale sur la réussite de votre projet.

Pour ce qui est du farniente, si sa définition originale est teintée de soleil, de piscine et d’absence totale d’effort physique, le modèle est parfaitement transposable à la saison actuelle. Regarder la pluie tomber par une grande baie vitrée, la truffe froide et le corps au chaud est tout aussi valable que de lézarder sur un transat. Mieux, ce mode hiver apporte avec lui une douce mélancolie qui nous pousse à reclasser nos souvenirs avec tous les sourires qui s’y rattachent. Ajoutez à ça une playlist douce et vous arriverez rapidement à la conclusion suivante : ne rien faire l’hiver, c’est absolument génial.

Comme à chaque début d’année, pleuvent bonnes résolutions, perspectives de grands changements et promesses de renouveaux divers et variés. Sauf qu’à force, on sait bien qu’un coup sur deux ces résolutions foirent au bout de 3 semaines. Certaines et certaines ne font du coup même plus illusion et optent pour un passage de la Saint Sylvestre en mode zéro effort. C’est cette dualité que nous allons aborder en l’espèce, traitant aussi bien des belles et saines résolutions que des plans à la gloire des 7 péchés capitaux. Musique maestro.

Foie Gras / Quinoa

Top 3 des bonnes résolutions de début d’année, le « allé maintenant je mange bien » va encore raisonner ça et là. Pour celles et ceux qui arriveront à le tenir, d’avance toutes nos félicitations tant les tentations sont grandes par chez nous. Pourtant, sachant que nous sommes ce que nous mangeons, apporter une attention toute particulière au contenu de nos assiettes est loin d’être anodin. Dans l’histoire contemporaine, l’Homme a d’ailleurs bien plus souvent mangé bio, local et de saison que l’inverse. Si nous nous sommes certes éloignés de ce modèle à grand renfort de consommation à outrance, il semblerait que la marche arrière soit désormais enclenchée dans les consciences. Doit-on alors exclusivement verser dans le bien manger, sans gras ni sucre? Le débat fait rage. D’un côté, le 5 fruits et légumes par jour ( qui était de 10 il y a quelques années de cela dans des publicités avec Thomas Castaignède) et de l’autre le French Paradox, soulignant la contradiction entre la richesse en matières grasses de la cuisine du Sud-Ouest et la relative bonne santé publique de ces habitants. Si les deux camps ont connu de nombreuses contradictions et théories opposées émanant de sources plus ou moins discutables, la bonne réponse se situe clairement au milieu du terrain. Parce que ne manger que de l’herbe est déprimant, parce que se graver de gras est une folie, l’équilibre, la diversité et la mesure sont sans conteste les pavés de la bonne route à prendre.

Comme à chaque début d’année, pleuvent bonnes résolutions, perspectives de grands changements et promesses de renouveaux divers et variés. Sauf qu’à force, on sait bien qu’un coup sur deux ces résolutions foirent au bout de 3 semaines. Certaines et certaines ne font du coup même plus illusion et optent pour un passage de la Saint Sylvestre en mode zéro effort. C’est cette dualité que nous allons aborder en l’espèce, traitant aussi bien des belles et saines résolutions que des plans à la gloire des 7 péchés capitaux. Musique maestro.

Routine Sport / Routine Sieste

Bienfaits contre bienfaits, ce sujet est à la différence de ceux traités dans ce dossier parfaitement compatibles. L’activité physique est bonne pour la santé, tout autant qu’un repos bien accompli. L’OMS préconise un minimum de 10 000 pas ou 20 minutes d’activité physique par jour. À grands coups de smartphone dans votre poche et par le biais d’applications santé, il est très facile de mesurer ses foulées quotidiennes et de réaliser que cet objectif est très souvent largement accompli selon votre emploi. Pour aller plus loin, s’imposer une rigueur sportive n’est pas bien compliquée. Sortez vous d’emblée la notion de perf de la tête, qui veut voyager loin doit ménager sa monture. Voyez plutôt cette nouvelle activité (que ce soit fitness, muscu, crossfit, ce que vous voulez) comme une routine à intégrer dans vos journées. Au même titre que faire la cuisine, se doucher ou sortir le chien, s’entraîner 2 à 3 fois par semaines n’a rien d’impossible une fois ce concept de routine assimilé. Dans la pratique elle même, rendez votre travail ludique avec des changements de programmes si nécessaire qui garderont la lassitude éloignée.

Et comme vous l’avez bien mérité, par ici la sieste. Routinière pour nos anciens, particulièrement après le repas de midi, la siestoune ne manque pas de vertus. Alors soyons clairs, on ne parle pas ici de d’enquiller 4h à roupiller mais bien de trouver le sommeil 10 à 20 minutes, si possible entre 12 et 15h. Si vous partez pour 2h, vous passez sur un cycle de sommeil qui peut être bénéfique en cas de grosse fatigue mais pas au quotidien. Regain d’énergie, meilleure concentration, humeur améliorée, la liste des points positifs est longue. Bien des personnages politiques maîtrisent le concept de sieste éclair, lors des déplacements entre deux sites en voiture par exemple, afin d’assurer au mieux notamment lors des campagnes électorales. En ce qui nous concerne, les 20 minutes de sommeil bien placées changeront radicalement vos journées. Plus qu’à trouver un coin calme à la lumière douce voire absente pour réussir votre recharge de batteries.

À l’heure où le dieu détox nous dicte ses 12 commandements, et où la culpabilité pèse sur ceux qui s’en écartent, la tendance 2019 se tourne désormais vers le plaisir. Saturés des jus de légumes, algues et tisanes, fatigués des préceptes hygiénistes à tout crin et de la tyrannie du « Well being »… on redécouvre sans complexe les joies de la gourmandise transgressive et des petits plaisirs interdits délectables. Repensée, réintroduite avec volupté et de manière intelligente, la retox consciente n’a que du bon. Alors, à l’image du yin et du yang, on équilibre, on alterne les cycles astreinte/ relâche… et on se fait du bien coûte que coûte !

Diagonale : Comment arrivez-vous à allier détox et gourmandise dans vos assiettes ? 
Le Canard Sur Le Toit : « Travailler avec les producteurs locaux est notre manière de contribuer à l’économie locale, et est surtout devenu notre identité. Une recette « healthy » peut tout à fait être gourmande, tout dépend des produits utilisés et de la manière dont ils sont cuisinés. Par exemple, accompagner un suprême de volaille ou un poisson blanc avec un accompagnement plus gourmand. Tout est dans l’équilibre ! »

D : Que recherche votre clientèle lorsqu’elle franchit le seuil de votre restaurant ?
LCSLT : « Notre clientèle cherche avant tout à se faire plaisir, avec de bons produits du terroir revisités et préparés Maison par notre Chef. Elle cherche des mets raffinés et de bons produits, nous essayons de les satisfaire avec des quantités généreuses et des plats suffisamment équilibrés. De plus, de par notre clientèle de plus en plus cosmopolite en séminaire, nous avons dû et su nous adapter à de nombreux régimes spéciaux : sans gluten, végétarien, végétalien… et cela fait notre force. Nous faisons du sur-mesure ! »

D : Alors détox versus retox : quelle est la tendance en ce qui concerne l’alimentation ?
LCSLT : « Je dirai que la tendance est de favoriser les petites cartes, qui tournent aux rythme des saisons, pour proposer à une clientèle de plus en plus exigeante et éduquée, des produits de qualité et de saison. L’hygiène de vie et l’activité physique sont devenues courantes chez les actifs. Attention, se priver n’est pas synonyme de santé mentale et physique ! Mais il demeure important de se faire plaisir et d’avoir un régime sain équilibré. »

LE CANARD SUR LE TOIT
58 Chemin de la Salvetat,
31770 Colomiers
Tél. : 05 61 30 37 83

 

À l’heure où le dieu détox nous dicte ses 12 commandements, et où la culpabilité pèse sur ceux qui s’en écartent, la tendance 2019 se tourne désormais vers le plaisir. Saturés des jus de légumes, algues et tisanes, fatigués des préceptes hygiénistes à tout crin et de la tyrannie du « Well being »… on redécouvre sans complexe les joies de la gourmandise transgressive et des petits plaisirs interdits délectables. Repensée, réintroduite avec volupté et de manière intelligente, la retox consciente n’a que du bon. Alors, à l’image du yin et du yang, on équilibre, on alterne les cycles astreinte/ relâche… et on se fait du bien coûte que coûte !

Tandis que les citadins branchés font la moue face à la « restauration rapide », rechignent devant leur steak-frites, et boudent les lipides, les enseignes cherchent des compromis face à cette tyrannie du « détox ». Désormais, les burgers deviennent gourmets, la « Junk food » prend des airs de cuisine bistrot, et les fruits et légumes reviennent au menu. « Mc Donald’s était la première chaîne de restaurants à déployer en Europe un système d’information nutritionnelle sur les emballages de ses produits », explique Fabienne Dupuy, du service marketing et communication de l’enseigne. Une politique qui a dès lors réformé le fast-food, pour le plus grand plaisir des consommateurs en quête de « bien manger ».

« Nous avons commencé par l’introduction de fruits saisonniers et de petites tomates, notamment dans le « Happy Meal ». Puis avons continué par la refonte de toute notre gamme de salades : les gourmands l’accompagneront de poulet frit, tandis que les plus raisonnables opteront pour celle au poulet grillé », développe Fabienne Dupuy. Du côté des burgers, les recettes coutures -comme celles du « Signature »- , côtoient les intemporels « Cheeseburgers ». « Nous travaillons avec des produits fins, comme des fromages AOP et des viandes charolaises, qui apportent une vraie valeur gustative et qualitative, sur ce type de produits », rappelle Fabienne Dupuy. Alors, si le temps d’un repas, on suggérait que tout ce qui est mignon n’est pas péché ?

MCDONALD’S Le Perget
Chemin du Loudet
31770 Colomiers
Tél : 05 34 55 96 01

 

À l’heure où le dieu détox nous dicte ses 12 commandements, et où la culpabilité pèse sur ceux qui s’en écartent, la tendance 2019 se tourne désormais vers le plaisir. Saturés des jus de légumes, algues et tisanes, fatigués des préceptes hygiénistes à tout crin et de la tyrannie du « Well being »… on redécouvre sans complexe les joies de la gourmandise transgressive et des petits plaisirs interdits délectables. Repensée, réintroduite avec volupté et de manière intelligente, la retox consciente n’a que du bon. Alors, à l’image du yin et du yang, on équilibre, on alterne les cycles astreinte/ relâche… et on se fait du bien coûte que coûte !

Après avoir célébré la détox à coup de jus de citron pressé et de tisanes dépuratives, on lève son verre aux retrouvailles et à la dégustation. Après les bouillons et les purges, on ravit ses papilles autour d’un alcool d’exception, et on retrouve le doux plaisir de liqueurs sélectionnées par un expert. Grégory Fagot, sommelier de formation, a ouvert les portes de « L’Apéricave », en février 2015. Fort de son expérience il est constamment en quête de pépites surprenantes. « Je suis constamment aux aguets de la nouveauté et du bon goût. J’aime surprendre et proposer des produits que l’on ne trouve nulle part ailleurs », développe Grégory Fagot. Des vins en biodynamie à des prix très attractifs, à des Rhums de Panama vieillis en fût de Cognac, en passant par les étonnants accords de « Daffy’s Gin »… les conseils avisés et personnalisés de l’hôte font la valeur ajoutée des lieux. Formé en Angleterre et ayant notamment travaillé pour la prestigieuse maison Hennessy, c’est toujours dans l’excellence qu’il s’échine à trouver la perle rare adaptée au budget de chacun.

© Hélène Ressayres

«L’ Apéricave » perpétue la tradition milanaise de l’« Aperitivo » lors de ses afterworks de 17h30 à 18h30. Dans une ambiance cosy, les « Craft beers » y sont à l’honneur, et les « Vins des copains » accompagnent divinement les planches de fromage et charcuterie italiens. Passionné des accords mets et vins, c’est tout naturellement que, pour les deux derniers vendredis de janvier, « L’Apéricave » ouvre ses portes à une vente d’huitres à déguster sur place et à emporter.

L’APERICAVE
4/6 Av. André-Marie Ampère
31770 Colomiers
Tél. : 05 31 22 85 48

L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, consommez avec modération.