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Foie Gras

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Comme à chaque début d’année, pleuvent bonnes résolutions, perspectives de grands changements et promesses de renouveaux divers et variés. Sauf qu’à force, on sait bien qu’un coup sur deux ces résolutions foirent au bout de 3 semaines. Certaines et certaines ne font du coup même plus illusion et optent pour un passage de la Saint Sylvestre en mode zéro effort. C’est cette dualité que nous allons aborder en l’espèce, traitant aussi bien des belles et saines résolutions que des plans à la gloire des 7 péchés capitaux. Musique maestro.

Foie Gras / Quinoa

Top 3 des bonnes résolutions de début d’année, le « allé maintenant je mange bien » va encore raisonner ça et là. Pour celles et ceux qui arriveront à le tenir, d’avance toutes nos félicitations tant les tentations sont grandes par chez nous. Pourtant, sachant que nous sommes ce que nous mangeons, apporter une attention toute particulière au contenu de nos assiettes est loin d’être anodin. Dans l’histoire contemporaine, l’Homme a d’ailleurs bien plus souvent mangé bio, local et de saison que l’inverse. Si nous nous sommes certes éloignés de ce modèle à grand renfort de consommation à outrance, il semblerait que la marche arrière soit désormais enclenchée dans les consciences. Doit-on alors exclusivement verser dans le bien manger, sans gras ni sucre? Le débat fait rage. D’un côté, le 5 fruits et légumes par jour ( qui était de 10 il y a quelques années de cela dans des publicités avec Thomas Castaignède) et de l’autre le French Paradox, soulignant la contradiction entre la richesse en matières grasses de la cuisine du Sud-Ouest et la relative bonne santé publique de ces habitants. Si les deux camps ont connu de nombreuses contradictions et théories opposées émanant de sources plus ou moins discutables, la bonne réponse se situe clairement au milieu du terrain. Parce que ne manger que de l’herbe est déprimant, parce que se graver de gras est une folie, l’équilibre, la diversité et la mesure sont sans conteste les pavés de la bonne route à prendre.

Produit phare des fêtes (à plus forte raison du fait de notre proximité avec le Gers), le foie gras est une des spécialités de Minjat qui le propose chaque année au prix juste, respectant sa règle d’or « Du goût, du sens et des Hommes »

Produit par Valérie et Sebastion de la Ferme du Castelbon à Belloc-Saint-Clamens (dans le 32 évidement), ce foie gras de canard est fait dans la plus pure tradition. En effet, il s’agit là d’un des très rares élevages à proposer un cycle complet, les canards vivant de A à Z sur l’exploitation. Leur gavage traditionnel est assuré par du maïs jaune en grains, le différenciant de ceux faits avec des mélanges qui apportent certes une croissance plus rapide mais une qualité moindre. Faire de bonnes choses, ça prend du temps.

Une fois livré chez Minjat, l’équipe s’occupe de la transformation dans les 24h pour assurer une qualité et une tenue irréprochables. Plusieurs déclinaisons sont au programme pour ce foie gras mi-cuit, du classique sel/poivre à la tentante version foie gras mais également la nouveauté de cette année, le foir gras marbré de coing. Sur les prix, c’est 7,5€ les 100 grammes ce qui est clairement compétitif (à produit égal, ne me parlez pas de foie gras industriel venu de je ne sais où) voire même très abordable au regard d’un marché déjà sous tension. Ce phénomène ne risquant pas d’aller en s’améliorant jusqu’aux jours de fêtes, il est vivement conseillé de réserver votre foie gras soit en passant directement en magasin, soir sur le site www.minjat.com .

L’autre aspect sympa, c’est les conditionnements proposés. On sait qu’une portion de foie gras équivaut à environ 60 grammes par personne. Une tablée un peu conséquente amenant donc rapidement aux alentours de la dizaine, Minjat propose des versions 450 et même 650 grammes histoire de ne laisser personne la tartine vide. À ce propos, et pour aller avec, Minjat propose le pain Renaissance de la Maison Beauhaire, Fabriqué à partir d’une variété de blé quasi oubliée (le Camp Rémi), elle existe en version truffée de fruits confits, amandes et autres noisettes. Tranché et toasté, cela donne des tartines totalement fabuleuses. Le genre d’accord qui fera carton plein à table.

Au delà de ce produit star, Minjat propose également tout un ensemble de bonnes choses à manger et à boire. Pour cette fin d’année, un étal de poissons sera présent tous les samedi mais également les 4 jours avant Noël pour vous proposer le fruit d’une pêche durable faite par de petits bateaux. Ne restant jamais au dela de 24h d’affilé en mer, ils n’utilisent aps de chaluts qui défoncent tout mais bien des techniques de pêche qui n’épuisent pas les ressources. De plus, à rentrer si souvent à terre, ils ne livrent que du poisson extra frais. On retrouvera sur ce même coin des fruits de mer, classiques huîtres et joyeux bulots seront accompagnés de petits surprises que l’on vous laissera découvrir…

Minjat !
2/4 Av André-Marie Ampère, 31770 Colomiers
05 82 08 30 73
Fb : @
minjatcolomiers

La recette semble prendre chez le caviste/bar du Perget qui, avec ses soirées Foie Gras Show, déplace les foules à chaque coup. Bonne nouvell, il revient ce vendredi 10 septembre.

Reprenant ce qui a fait le succès de la dernière édition (au point de presque se retrouver à sec, c’est dire!), cette soirée sera donc celle d’un nouveau Foie Gras Show mais également d’une dégustation de rhums Panaméens et Cubains. Une remise de -10% sera d’ailleurs appliqué aux bouteilles vendues lors de cet évènement. Une sangria maison de compétition est également au programme

Comme l’alcool est dangereux pour la santé, merci d’en boire avec modération.

C’est donc vendredi en terrasse de l’Apéricave à partir de 19h que se tiendra cette nouvelle soirée. Normalement il fait beau, venez donc en profiter.

L’Apéricave 
4/6 Avenue André-Marie Ampère, 31770 Colomiers
05 31 22 85 48
www.apericave.fr
Fb : @apericave

Si on associe volontiers le bio au monde de l’alimentation, on l’imagine moins rependu dans le milieu des alcools, vins et spiritueux. Certes, les productions viticoles des débuts du bio prêtaient à sourire mais désormais elles rivalisent sans trembler avec des productions qui ne le sont pas. Ce constant de réussite s’applique également à d’autres produits proposés par l’Apéricave, notamment les bières produites par la Brasserie du Midi située à Montrabé. Fabriquées à base d’orge bio malté dans le Tarn, d’eau de la Montagne Noire et de houblons du monde entier, ce sont des bières non pasteurisées, non filtrées, et refermentées en bouteilles qui sont présentées sous des étiquettes très explicites. Easy Going, Black Mamba ou encore Barbe Rouge, la totalité de la gamme truste les rayons de l’Apéricave.

Toujours dans le monde merveilleux de la mousse, la marque Alaryk fait son entrée au magasin. Bio et à la présentation très soignée, cette bière artisanale venue de Béziers se déguste sur les plus belles tables, comme un bon vin. Gros coup de cœur en perspective…

Se fier à un article vantant les qualités des vins et bières bio c’est bien, pouvoir s’en convaincre par un essai c’est mieux. Ainsi, vendredi 9 octobre de 18h à 22h, l’Apéricave propose une dégustation de vin bio avec au programme du Pic Saint Loup et du Muscat de Rivesaltes. Pour accompagner le tout, une édition spéciale du Foie Gras Show sera également de la partie. L’ensemble de la soirée sera placée sous le signe de la sécurité de part le respect des normes d’hygiène et des gestes barrière mais également de la modération, surtout si vous prenez le volant.

L’Apéricave 
4/6 Avenue André-Marie Ampère, 31770 Colomiers
05 31 22 85 48
www.apericave.fr
Fb : @apericave

Fêtes approchant, le mois de novembre est propice pour la préparation de canards gras, notamment foie gras. Fervent défenseur du bien-manger, Minjat prolonge cette tradition en vous donnant accès à du canard à la carte. Du 6 au 16 novembre, rendez-vous en magasin pour remplir votre bon de pré-commande en fonction des pièces dont vous avez besoin. Magret, demoiselle, manchon, vous n’avez qu’à sélectionner ce qui ornera votre table lors des réveillons. Intransigeants sur la qualité et la façon d’élever, les Fermes de Castelbon à Belloc St Clamens (32) et du Gaec de l’Hermitage à Verdun sur Garonne (82) ont été retenues pour leur authenticité. L’ensemble des palmipèdes proviendront donc de ces éleveurs traditionnels qui élèvent au mais grain et abattent à la ferme.

Si d’aventure vous n’avez pas prévu de canard pour les fêtes, Minjat aura largement de quoi le remplacer avec des produits Made in Aqui et sélectionnés pour leur irréprochable traçabilité.

Minjat !
2/4 Av André-Marie Ampère, 31770 Colomiers
05 82 08 30 73
Fb : minjatcolomiers

Plus d’infos sur www.minjat.com

Depuis l’antiquité égyptienne, le lait d’ânesse est utilisé en cosmétique comme en alimentaire. À l’époque Cléopâtre prenait des bains de ce lait pour entretenir sa beauté et la jeunesse de sa peau. Pourquoi pas nous ? Rappelons d’abord qu’un bain de lait d’ânesse est hors propos, car chaque ânesse ne produit que 0,5L à 1L par traite. Imaginez donc le nombre d’ânesses nécessaire à la reine d’Égypte…

Pourquoi tant d’engouement pour ce lait pourtant si compliqué à obtenir ? Les bienfaits sont multiples tant à boire qu’en cosmétique car il est riche en oligo-éléments, minéraux et vitamines. Par son action cicatrisante il aide la peau à se régénérer tout en soulageant les sensations de tiraillement. Il est donc idéal pour les peaux fragiles, irrités ou sèches victimes par exemple d’eczéma, de psoriasis et d’acné. Le lait d’ânesse est également un allié anti-âge naturel, car il stimule la synthèse du collagène (indispensable à l’élasticité et à la fermeté de l’épiderme). Pour pouvoir bénéficier de toutes ces vertus il est essentiel de bien choisir l’origine du lait. Ceux au label bio ou fabriqués artisanalement sont confectionnés dans le respect de la nature et des animaux.

Direction L’Isle-Jourdain pour découvrir l’Asinerie d’Embazac et son élevage à taille humaine où vivent bien heureux 2 mâles et 15 ânesses avec quelques petits. Les propriétaires de ce coin paisible, Bénédicte et Jean-François, sont producteurs de lait d’ânesse depuis 1997. Ils ont décidé de se lancer dans l’aventure après une rencontre qui leur a appris tous les bienfaits de ce lait. Pas question pour eux de s’agrandir, le bien-être de leurs amis à quatre pattes est primordial. Seules 5 ânesses sont en lactation à la fois, pour permettre de faire des rotations et des pauses. Les petits quant à eux, sont vendus à 1 an à des particuliers veillant au respect des animaux. Ensemble, le couple a décidé de proposer du lait d’ânesse, disponible sur commande au vu des faibles quantités disponibles, mais aussi des cosmétiques et de l’alimentaire.

Gamme Mon Lalou

Côté alimentation on y trouve de la glace, de la pâte à tartiner « Chocol ‘âne » et son goût praliné, des gélules de lait lyophilisé pour cures ou encore du foie gras au lait d’ânesse. Côté cosmétique, un laboratoire à Castelsarrasin aide à la fabrication des crèmes visages, lait hydratant, lotion moussante, lait de douche, masques à faire soi-même et savon à barbe. Tout est disponible sur le site web embazac.com ou sur place. La gamme « Mon Lalou » a par ailleurs revu sa déco il y a peu avec un tout nouveau packaging ! Sur place, ce sont les savons qui sont fabriqués, sans colorant et séchés pendant 15 jours. On y trouve 9 produits artisanaux différents, avec ou sans odeur, aux propriétés différentes (peaux grasses, délicates, sèches, spécial gommage…).

Pour faire découvrir leur univers, Bénédicte et Jean-François proposent également des visites guidées gratuites (sauf groupes) et des chambres d’hôtes. La passion et l’envie de partage se ressentent lorsque l’on discute avec eux. Une belle découverte dont on vous reparlera !

Asinerie d’Embazac
Route de Goudourvieille
32600 L’Isle-Jourdain
05 62 07 02 10
www.embazac.com
Fb : @AsinerieDembazac

Couronnée de succès lors de sa première édition en mars, la soirée foie gras show et dégustation de whisky revient ce vendredi 12 avril ! À partir de 18h chez l’Apéricave au Perget,  Jérôme Fabre et son associé se déplacent une nouvelle fois pour faire leur show autour du Foie gras. Beau temps au rendez-vous (Mr Météo si tu me lis…), vous profiterez de la terrasse et de tout ce que ce lieu bien connu des columérins propose en termes d’apéritif. On consomme ça avec modération bien entendu et on pense à réserver !

L’Apéricave
4 Avenue André-Marie Ampère (3,59 km)
31770 Colomiers
05 31 22 85 48
www.apericave.fr
Fb : @apericave

Ouvert depuis juin 1990, le Canard Sur Le Toit est un établissement culinaire incontournable de Colomiers. Jouxtant la Piscine du Canard, autre lieu bien connu des columérins amateurs de pool party, il est également le restaurant de l’hôtel niché dans un parc de 4 hectares.

Axé cuisine française traditionnelle, Le Canard Sur Le Toit se distingue par son titre de maître restaurateur obtenu depuis 6 ans. Cette distinction certifie l’utilisation de produits frais élaborés sur place. Pour mener à bien cette mission, l’équipe de 7 personnes s’active en cuisine autour d’un chef présent depuis 7 ans. Second durant 2 ans, il est ensuite devenu chef et apporte clairement son expérience à chaque assiette. Des produits de qualité ne sont pas pour autant une réussite in fine si ils ne sont pas travaillés avec envie et maîtrise. La cuisson parfaite du magret, l’assaisonnement exact de la tartine de foie gras ou encore le croustillant des frites servies avec « Le canard dans tout ses états », plat que nous avons eu la chance d’essayer, démontrent tout le savoir faire de l’établissement.
Ce plat appairait à la nouvelle carte du restaurant, renouvelée trois fois par an pour épouser au mieux les produits offerts par les saisons. On y trouvera également le dos de canard, l’assortiment de foie gras maison ou le nem d’effiloché de canard. Vous n’aimez pas le palmipède ? Tournez vous vers la noix d’entrecôte de Black Angus, le duo de pâtes aux crustacés crémeux au safran ou encore le plat du jour végétarien.

Le restaurant sait également voir plus grand et propose de solides services de réception, notamment grâce à ses deux salles de mariage pouvant accueillir respectivement 200 et 70 personnes. Pour l’organisation de réunions, dîners d’affaire ou repas de groupe particuliers, sept salles privatives sont à disposition. Cette configuration fait le bonheur d’équipes sportives qui voient une sorte de mini Clairefontaine idéal pour la préparation et le team building.

Au regard de la carte et de la qualité des services, on peux légitimement s’attendre d’avoir affaire à une addition salée en sortie de table. Que nenni. Avec un menu midi à 16€50 (qui plus est servi rapidement), Le Canard Sur Le Toit propose effectivement des plats évolués dans un cadre haut de gamme mais reste dans la moyenne des prix pour un restaurant le midi.
L’ambiance est également détendue et chaleureuse. Pas besoin de porter de souliers vernis ni de cardigan tricoté par Mamie pour se voir accepter l’entrée, ici tout le monde est le bienvenu.
Au moment où vous lirez ces lignes, sachez que la Piscine du Canard est encore ouverte et ceux jusqu’à ce que le soleil s’efface. Si on se base sur la saison dernière, vous avez environ un mois pour pouvoir encore en profiter.

Ce restaurant propose ce que l’on attend de la cuisine française traditionnelle : des produits de qualité et un solide savoir faire. Il n’en est pas pour autant lourd ou hors de prix. Il est au contraire accessible et décomplexé, capable de satisfaire un client qui veut manger vite et bien mais également de répondre aux attentes d’une réception d’envergure. Peu peuvent se targuer d’un tel tour de force…

Le Canard Sur Le Toit
58 Chemin de la Salvetat, 31770 Colomiers
05 61 30 37 83
Fb : @LeCanardSurLeToit

Horaires :
Du lundi au samedi 12:00 – 15:30 et 19:30 – 23:30
Le dimanche  12:00 – 16:00

10h. C’est le coup de sifflet qui annonce le départ du marché au gras. Sous la halle de 500m2, producteurs locaux et acheteurs négocient. Venus du Var, de Marseille, de Toulouse, ou même de Chine, les clients investissent les lieux. « Le plus fort afflux de fréquentation se fait de novembre à mars, le dimanche matin », explique Sylvie Varin, adjointe en charge de la Halle Au Gras. Et pour assurer un service maximal, quatre découpeurs sont mis à disposition du public, qui le temps de l’attente, profite des animations proposées. Démonstrations culinaires, dégustations, et petit marché bio : autant de festivités qui rythment les dimanches froids de la saison forte du canard. « A l’image de ceux de Samatan, Eauze ou Seissan, ce lieu fait partie des derniers marchés au gras authentiques », confie Sylvie Varin. Avec près de 300 foies et carcasses exposés, les halles brassent jusqu’à 500 visiteurs en pleine saison, et voient de plus en plus de jeunes initiés parcourir les stands. « On apprécie revenir au “bien-manger”, redécouvrir les produits, et se faire conseiller pour préparer nous-même nos foies », développe Clémence, 25 ans et originaire de Toulouse. De nouveaux clients séduits par le contact direct avec le producteur, et rassurés par la qualité d’exception du produit.

Zoom sur JACQUES CANDELON, producteur de foie gras et patron de la société « Paysan Gersois ».

Originaire de Vic Fezansac, cet éleveur de canetons arbore le visage du producteur 2.0. Toujours dans le respect de la tradition et du produit, c’est à grande échelle qu’il veut promouvoir le savoir-faire du Gers. « Nous vendons à ce jour 240 000 canards par an. La moitié sera destinée aux gaveurs et revendue sur les marchés, tandis que les 120 000 restants seront abattus, découpés et transformés », explique Jacques Candelon, qui poursuit : « Nous suivons un cahier des charges strict, qui garantit au client que toutes les étapes de fabrication se font dans le Gers. Nous ne voulons surtout pas céder aux modes de fonctionnement actuel, qui poussent à la claustration des animaux par exemple. En préservant les modes traditionnels, nous garantissons le même niveau qualitatif depuis nos débuts ». Doté d’un marketing bien ficelé, et maniant avec dextérité les réseaux sociaux et les outils de communication, le producteur a su faire décoller sa marque et son entreprise. En effet, il bénéficie aujourd’hui de son propre panel d’éleveurs et de gaveurs. Le chef d’entreprise est d’ailleurs autonome en ce qui concerne la logistique, l’abattage, la découpe et la transformation. « Gimont est la capitale du foie gras. Le marché me permet de garder un lien avec le terroir, un contact direct avec le terrain, la clientèle et les producteurs », confie le patron de « Paysan Gersois ». Un entrepreneur qui demeure avant tout fils de producteur, et qui ne tient pas à oublier ses racines.