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Avec une boutique rue Alsace Lorraine, l’enseigne Maty est loin d’être une inconnue dans le monde de la bijouterie de moyenne gamme. Plus besoin de devoir affronter la Ville Rose pour les amateurs du genre qui ont désormais accès à tout le savoir-faire de la marque au cœur de la galerie marchande de Blagnac.

Bijoux, bagues, bracelets et montres brillent dans cette nouvelle enseigne de la galerie marchande de Blagnac. Sur l’emplacement 69, en face de la ligne de caisse du supermarché, les 3 conseillers de Maty vous attendent pour vous présenter leurs merveilles. Pierres fines et précieuses, montres majoritairement de marque Française, le choix est très vaste. Pour autant, il est possible d’aller encore plus loin.

Bijoux rimant avec grands moments de la vie, du mariage au baptême en passant par les communions, Maty propose un service de personnalisation de vos bijoux. Une vitrine dédiée présente les différentes possibilités pour vos alliances. Matières, gravures, pierres, les combinaisons sont nombreuses pour obtenir un résultat parfaitement à l’image de vos attentes.

Il est également possible de se rendre chez Maty Blagnac pour se faire percer les oreilles.

Devant le succès de l’enseigne Toulousaine, Maty Blagnac propose la même qualité de service, choix et conseil. Que vous recherchiez un produit précis ou que vous soyez en quête d’un cadeau qui plaira à coup sûr, voici la nouvelle adresse à connaître.

Maty Blagnac
Centre Commercial Blagnac
2 Allée Émile Zola
31700 Blagnac
Emplacement 69

En fixant et bloquant pour 4 mois le prix de sa baguette à 29 centimes d’euros, l’enseigne Leclerc a provoqué un tsunami de réactions de la part des boulangers, agriculteurs et (ex?)consommateurs. Nous avons recueilli la réaction de Jean-Luc Beauhaire, artisan boulanger meilleur Ouvrier de France à Léguevin, et de Minjat à Colomiers

«Je ne m’y suis pas intéressé plus que ça, on ne joue pas dans la même cour » déclare le MOF. « Comment les artisans peuvent suivre ? Tout augmente, les charges, les matières premières… ». Ainsi, Jean-Luc Beauhaire ne rentre même pas dans cette course au prix perdue d’avance. « Ça n’a pas de sens, ils font du business, nous on a encore une âme » poursuit il sereinement. En effet, si l’on parle de prix, il serait également intéressant de comparer ce qui est comparable. Si le sujet est la baguette, on peut très certainement se questionner sur l’égalité gustative des productions respectives. À ce jeu là, et pour reprendre les mots de la Maison Beauhaire, on ne joue définitivement pas dans la même cour…

Du côté de Minjat (dont le slogan est Du Goût Du Sens et Des Hommes), on prend également l’axe de nutritionnel. Pour Cyril Picot et Anton Dmitriev, co-fondateurs de l’enseigne, cette opération n’est rien de plus qu’un coup de maître en terme de communication. Sur le plan nutritif, cette baguette ne peut rivaliser avec une production de qualité. « On en a tous mangé au moins une fois, 1h après on a faim ». Difficile de lui donner tort.
Au delà des interrogations sur la concurrence et/ou la rémunération des producteurs au sens large, se pose donc la question de l’équivalence ; si cette baguette à 29 centimes n’apporte que peu de nutriments, est-ce une finalement une bonne idée de s’en accommoder ?

En plus des volets traités à la lumière des témoignages ci-dessus, il est également légitime de se poser la question de la transmission du plus fort des symboles Français. Comment créer des vocations de boulanger avec une telle concurrence sur le papier ? Quid de notre savoir-faire face à cette approche low-cost qui était à la mode dans les années 2000?
De plus en plus sensible à un retour aux bonnes choses, le consommateur lambda cédera t’il aux sirènes des prix sans se préoccuper de la qualité ? Les paris sont ouverts…