Tag

toulouse métropole

Parcourir

Par le biais d’OPPIDEA (SEM* d’aménagement de Toulouse Métropole) Saint-Martin-Du-Touch connaît l’aménagement d’un faubourg de charme au coeur du pôle aéronautique. Non loin du coeur historique de la ville, ce nouveau quartier offre toute la sérénité et la qualité de vie d’une ville à la campagne. Articulé autour des deux haltes ferroviaires (le secteur St-Martin, côté Toulouse et le secteur Ramassiers, côté Colomiers), il propose des espaces publics de grande qualité autour des pôles de centralité que constituent les 2 gares, l’école Fleurance et le projet de place commerciale, tout en valorisant les atouts naturels et patrimoniaux, en particulier le parc des Berges du Touch. Par le biais de ce dossier, nous vous offrons un tour d’horizon et des atouts de ce nouveau quartier.

À proximité du coeur historique de Saint-Martin-du-Touch (lui conférant une délicieuse ambiance villageoise portée par le charme architectural de ses briques), bordé par la coulée verte des berges du Touch, ce nouveau quartier offre à la fois la sérénité de la vie à la campagne et les avantages de la bouillante métropole voisine. Cette impression de bien être est accentuée par la présence d’un pigeonnier traditionnel, d’un alignement de chênes anciens et par l’aménagement d’un cours de verdure de 3 hectares qui dessinent un paysage champêtre où il fait bon se balader.

Situé sur la commune de Toulouse, précisément à 15 minutes à peine du centre-ville, Saint-Martin-du-Touch bénéficie de la proximité immédiate de l’aéroport de Blagnac et du complexe aéronautique, zone d’activité et d’emploi la plus dynamique de la région. Cette situation séduisante pour les travailleurs aéronautiques est renforcée par la présence de nombreux commerces et services de proximité. Pour se rendre au Capitole, le quartier dispose d’un accès immédiat à des transports de qualité, en attendant sous peu la 3eme ligne de métro Toulouse Aerospace Express. Deux stations sont d’ailleurs prévues à proximité.

Le quartier a été dessiné autour de grands cours de verdure aménagés en coulée verte vers les berges du Touch. Des aménagements ont été réalisées afin de le parcourir à pied ou en cycle. Ces espaces verts créent une atmosphère de calme pour les résidents et sont la promesse de fabuleuses découvertes lors des promenades menées par les petits explorateurs. Ces derniers ne sont d’ailleurs pas oubliées avec la présence de l’école élémentaire Fleurance comportant dès aujourd’hui 10 classes du CP au CM2. En cours de création, le quartier disposera à terme d’une grande diversité de commerces de proximité. En attendant, à un jet de pierre de là, le vieux village de Saint-Martin-du-Touch concentre une importante offre de services (mairie annexe, bureau de poste), de commerces (boulangerie, pharmacie, supérette, boucherie, primeur, coiffeur) et de restaurants. Le quartier bénéficie de la proximité de Purpan (CHU, centre commercial avec un hypermarché et de nombreuses boutiques) et des villes de Colomiers (médiathèque le Pavillon Blanc Henri-Molina, centre nautique Jean-Vauchère) et Tournefeuille (cinéma Utopia, salles de spectacle le Phare et l’Escale). Enfin, à quelques minutes en voiture, la base de loisirs de la Ramée offre une foule de loisirs.

Une situation géographique et sociale telle n’est pas monnaie courante. De facto, le quartier a fortement retenu l’attention des promoteurs. Ils sont XXX à chacun proposer leur projet d’habitat, tous résolument tournées vers la préservation de l’environnement.

*Société d’Économie Mixte

 

 

On en parlait depuis quelques années et aujourd’hui, comme vous l’avez peut-être remarqué en rentrant dans Léguevin, d’importants travaux de cette future zone de l’Escalette ont démarré.

 Etendue sur plus de 48 ha, bénéficiant d’un accès rapide vers Toulouse, vers la SNCF, en bordure de Léguevin, à proximité de la zone aéronautique, des sites Airbus et de l’Aéroport Toulouse Blagnac, cette zone est au coeur des nouveaux projets de Toulouse Métropole, de la Région (implantation d’un lycée sur la commune en 2017) mais aussi communaux et notamment immobiliers.

L’Escalette sera une zone de développement, dont la qualité de vie des personnes travaillant ou vivant sur place, des riverains restera une des préoccupations majeures de l’aménageur. Et au coeur de celle-ci verra le jour un pôle technologique dédié à la robotique, aux transports du futur et au développement durable. La mairie de Pibrac est d’ailleurs à la recherche de sociétés de services, d’entreprises de haute technologie, qui font encore défaut et qui sont porteuses en terme de développement de territoires, comme l’a souligné le rapport France Robots Initiatives. La  ville de Pibrac facilitera l’implantation et la création d’entreprises sur cette zone en mobilisant toutes ses ressources.

Ville de Pibrac
Tél. 05 62 13 48 10
www.ville-pibrac.fr

Dès le début d’année 2020, l’entreprise EasyMile testera pour la troisième fois à Toulouse ses navettes autonomes. Seulement, pour la première fois, il n’y aura pas d’opérateur à bord grâce au nouveau cadre législatif promis par la ministre des Transports lors d’une visite en 2017 à Toulouse. Ce nouveau test, qui s’effectuera à l’Oncopole, permettra aux navettes de faire la jonction entre l’Institut et son parking visiteurs.

Après deux expérimentations concluantes à Pibrac, puis dans le centre-ville de Toulouse, la pépite locale EasyMile avait annoncé début mai le lancement prochain d’un troisième test de ses navettes autonomes à Toulouse, sur le site de l’Oncopole. Néanmoins, aucun calendrier de mise en oeuvre n’avait été communiqué hormis la tenue d’une réunion préparatoire entre Toulouse Métropole et EasyMile à la mi-juin.

18 mois d’expérimentation

Ainsi, cette nouvelle phase de tests se déroulera en quatre temps. Tout d’abord, en février 2020, le véhicule d’une capacité de 12 personnes dont six places assises se déplacera sur la contre-allée nord du trajet reliant l’Oncopole à son parking visiteurs. Puis il effectuera le même trajet durant l’été 2020, mais cette fois-ci sans opérateur à bord.

Jusqu’à présent, la réglementation française permettait de réaliser ce type d’expérience seulement sur des voies fermées à la circulation. En visite à Toulouse le 10 novembre 2017, la ministre des Transports, Élisabeth Borne, avait alors promis de « donner un cadre plus souple pour les expérimentations de véhicules autonomes », face aux équipes de la jeune pousse. Parole tenue grâce notamment à la loi Pacte, promulguée en 2018, sans oublier la loi LOM récemment adoptée par l’Assemblée Nationale, et qui facilite aussi la tenue d’expérimentation de véhicules autonomes.

Une distance de 800 m à effectuer

Avec ce nouveau cadre législatif, les divers acteurs du dossier ont pensé ce test pour faire le lien entre le parking déporté visiteurs et patients et l’Institut. Les navettes EasyMile seront ainsi un complément au service actuel de navettes thermiques, qui font aujourd’hui la jonction.

Dans le cadre de sa politique de développement, Toulouse Métropole s’est engagé pour le projet Toulouse EuroSudOuest (TESO). Du 14 mars au 30 avril, le projet entre dans la phase d’enquête publique, au cours de laquelle une Commission d’enquête, désignée par le tribunal administratif, recueille les observations des habitants sur le projet d’aménagement et de rénovation du quartier et sur la Tour Occitanie.

Elle est ouverte à tous, sans aucune restriction.

TESO dans quel but ?

  • Moderniser et transformer la gare en un Pôle d’Échanges Multimodal, connecté à tous les modes de transports et ouvert sur la ville grâce à l’aménagement de nouveaux parvis. Plus grande, la gare pourra accueillir plus de services, aussi bien à destination des voyageurs que des habitants.
  • Élargir le centre-ville au-delà du canal du Midi pour lui donner une nouvelle dimension et y intégrer les quartiers voisins de la gare. Plus d’équipements et de services, plus de verdure, une nouvelle offre de logements, des espaces publics réaménagés… Matabiau et ses quartiers voisins bénéficieront de tout ce qui fait la vitalité du centre-ville.

Ce projet concourt au rayonnement de l’économie toulousaine et bénéficiera au développement des entreprises locales il est donc important de participer, de venir donner votre avis, vos remarques et suggestions pour soutenir le projet !

Pour le faire, différentes options s’offrent à vous :

  • Sur les registres papiers présents dans les lieux d’enquête ;
  • Sur www.haute-garonne.gouv.fr/enquetetoulouseeurosudouest , registre dématérialisé ;
  • Par courrier postal à la présidente de la Commission d’enquête :
    Enquête Toulouse EuroSudOuest
    À l’attention de la présidente de la commission d’enquête Toulouse Métropole
    6, rue René Leduc
    BP 35821 – 31505 Toulouse cedex
  • Lors des permanences tenues par la Commission d’enquête.

o  Au siège de Toulouse Métropole : lundi 18 mars 2019 de 11h00 à 14h00, mardi 9 avril 2019 de 14h00 à 17h00, mardi 30 avril 2019 de 11h00 à 14h00
o  À la mairie de quartier de Bonnefoy/Espace Bonnefoy : mercredi 27 mars 2019 de 9h00 à 12h00, mardi 23 avril 2019 de 13h30 à 16h30
o  À l’espace détente du bâtiment voyageurs de la gare Toulouse Matabiau : vendredi 5 avril 2019 de 16h00 à 19h00, samedi 13 avril 2019 de 9h00 à 12h00, mercredi 17 avril 2019 de 14h00 à 17h00, vendredi 26 avril 2019 de 16h00 à 19h00

Lieux, dates et horaires des permanences

Pour plus d’informations rendez-vous juste ici !

Axe structurant le flux de personnes et de marchandises du nord-ouest toulousain, la RN124 se voit constamment améliorée. Alors que les travaux de la sortie 6 Le Perget devraient courir jusqu’à la fin mai, l’aménagement de l’échangeur de la fontaine lumineuse et du giratoire Escola vient de se terminer. 12 mois de travaux à hauteur de 6,6 millions d’euros* ont été nécessaires pour mener à bien ce projet réalisé en synergie entre l’État, la Région Occitanie, Toulouse Métropole et bien entendu la commune de Colomiers.

« Le rond point Escola est une des entrées majeures de la ville, cet aménagement permet de mieux gérer les flux grandissants tout en assurant une plus grande sécurité » déclare Laurence Casalis, l’adjointe à la rénovation urbaine, urbanisme, habitat et environnement de Colomiers. En plus de réduire les encombrements actuels, cet échangeur est pensé pour la future ligne de métro, notamment la station Airbus Colomiers Ramassiers.

* travaux pris en charge à 33,5% par l’État, 21,5% par La Région Occitanie et 45% par Toulouse Métropole.

Dès le mardi 5 février au matin, les travaux sur l’échangeur du Perget (sortie 6) vont basculer dans une nouvelle phase et nécessiteront la neutralisation de la bande d’arrêt d’urgence de la RN124. Les véhicules qui utilisent la sortie 6 ne pourront plus circuler sur la bande d’arrêt d’urgence et risquent de devoir s’arrêter sur la file de circulation de droite de la RN124, en cas de retenue. Il est cependant prévu qu’elle reste ouverte pendant toute la durée des travaux.
Au regard des difficultés de circulation annoncées, il sera de bon ton d’utiliser un autre parcours.
Pour éviter cette zone à problèmes, nous vous proposons avec le concours de Toulouse Métropole,
3 « itinéraires conseillés » (jalonnés par des panneaux), qui resteront en place jusqu’à fin mai 2019 :

– un itinéraire conseillé pour les véhicules légers pour aller dans la zone commerciale Perget ou Lycée International, en venant de Toulouse, empruntant la sortie n°5  de la RN124 à Colomiers

– un itinéraire conseillé pour aller à En Jacca depuis Toulouse, empruntant la sortie n°7 de la RN124, située à Pibrac

– un itinéraire conseillé pour aller à La Salvetat Saint-Gilles depuis Toulouse : sortie n°8 de la RN124, située à La Salvetat Saint-Gilles.

Le panneau à messagerie variable situé sur la RN124, à la limite entre Toulouse et Colomiers, préviendra les automobilistes de suivre les itinéraires conseillés.

Fin des travaux pour mai 2019.

 

POPULATION

  • Haute-Garonne 1 344 579
  • Pôle urbain de Toulouse 1 044 202
  • Pôle urbain de Muret 220 142
  • Pôle urbain de Saint-Gaudens 80 235

ETABLISSEMENTS ACTIFS

  • Total 55 500
  • Industrie 4 551
  • Commerce 13 090 
  • Construction 9 816
  • Services 28 143

EFFECTIFS SALARIÉS

  • Total 373 096
  • Industrie 77 159
  • Commerce 62 916
  • Construction 39 110
  • Services 193 911

TOULOUSE MÉTROPOLE

  • Établissement 33 720
  • Effectifs 276 329

COURONNE URBAINE

  • Établissements 8 190
  • Effectifs 51 070

DEUXIÈME COURONNE

  • Établissements 9 943
  • Effectifs 33 384

Vue d’architecte

Le transport de ses usagers est l’un des points forts de la politique de Toulouse Métropole. L’objectif : déployer un réseau maillé plus attractif et plus lisible. Et les outils pour faciliter les déplacements ne manquent pas. La commune de Colomiers veille à parfaire son offre en la matière, et met la mobilité au centre de ses préoccupations. Les gros chantiers de Toulouse Métropole, autour de la troisième ligne de métro ou la création de la ligne « Aéroport express », redessinent quant à eux la mobilité de l’ouest toulousain. 

Très attendue des usagers, la troisième ligne de métro est configurée pour fluidifier la circulation, et améliorer la desserte des bassins d’emplois de l’agglomération. Avec pas moins 21 stations et 200 000 emplois desservis, les 27 kilomètres de tracé de cette 3e ligne dessinent une artère économique qui irrigue la métropole d’Est en Ouest. L’idée étant de rapprocher les deux principaux pôles de mobilité- la gare TGV Matabiau et l’aéroport international-, et de relier les pôles économiques de l’aéronautique, de l’espace et de la recherche. L’ouverture de la troisième ligne de métro est annoncée pour 2025.

 

 

 

DIAGONALE : Quelles ont été les motivations essentielles qui ont amené à la création de cette troisième ligne de métro ?
JEAN-MICHEL LATTES : En 2014, les résultats des enquêtes démographiques et de déplacements ont mis en avant deux tendances majeures de la mobilité propres à la grande agglomération toulousaine. D’une part, une croissance de population record en France, avec environ 15 000 habitants supplémentaires chaque année. (…) Ceci nous a conduit à définir comme priorité n°1 de notre stratégie globale de mobilité, la recherche de solutions de manière à augmenter très significativement la part des transports publics dans l’accès aux emplois, y compris depuis les territoires non desservis directement par le métro. Le métro est ainsi la meilleure solution, de par sa capacité de transport, de par son indépendance vis-à-vis des conditions de circulation et enfin sa faculté, en complément des autres réseaux de transport, à diffuser des  déplacements depuis les zones d’habitat depuis les grands pôles d’emploi.
D : Quelle est l’ambition de ce chantier ?
JML : Cette troisième ligne doit desservir un corridor comprenant près de 200 000 emplois, y compris les 70 000 emplois situés dans la zone aéronautique au nord-ouest, et les 60 000 emplois situés au sud-est, dont Montaudran et Labège, sans oublier le secteur du grand projet Toulouse Euro Sud-Ouest. Plus que les lignes A et B, cette troisième ligne est celle de l’emploi et de la connexion avec le réseau ferroviaire, avec 5 points d’interconnexion : la gare de Colomiers, La Vache, Matabiau, Montaudran et Labège.  A l’ouest, cette troisième ligne est complétée, au sein du même projet « Toulouse Aerospace Express », avec la ligne Aéroport Express qui permettra de mieux desservir l’aéroport et les emplois aéronautiques situés à Blagnac, notamment les sièges d’Airbus et d’ATR. Concernant Colomiers, cette ligne desservira la gare de Colomiers, et les sites d’Airbus Colomiers et St-Martin. Ainsi, elle servira à la fois aux habitants de Colomiers souhaitant se rendre à Toulouse, ou bien encore travaillant dans la zone aéronautique, de part et d’autres des pistes de l’aéroport.

Les travaux débutés en juillet dernier ont laissé place à une aire de covoiturage flambant neuve à Pibrac. Située à côté du garage Renault près du rond-point menant à la RN124 par la sortie n°7, cette aire dispose de 29 places. D’ici fin novembre, des bornes de recharge verront également le jour pour les voitures électriques. Un projet qui permet aux automobilistes de stationner gratuitement leurs voitures, pendant qu’ils partageront leurs trajets habituels dans un seul véhicule avec des covoitureurs.

Avec cette aire de covoiturage, Pibrac s’inscrit dans une démarche écologique permettant un désengorgement de la circulation dans la ville et sur les axes principaux reliant la périphérie de l’ouest toulousain. À cela s’ajoute le nouveau Plan Local de Déplacement Multimodal présenté par la municipalité qui comprend plusieurs actions. On y retrouve notamment la promotion de l’expérimentation de nouvelles formes de travail comme le télétravail et les horaires décalés, ainsi que la mutualisation de moyens entre les opérateurs de la zone aéronautique dans le but de partager les déplacements en entreprise. L’application Karos par exemple, donne la possibilité de partager le trajet entre le domicile et le travail avec d’autres covoitureurs, réduisant ainsi le nombre de voitures présentes dans la zone avec seulement une personne à bord. Une solution intéressante financièrement pour les utilisateurs qui peuvent ainsi réduire leurs charges.

Ce projet est financé entièrement par l’Europe grâce au programme UIA (projet COMMUTE) et par Toulouse Métropole pour favoriser le développement durable.

Bretelle ô combien problématique, la sortie numéro 6 de la RN124 donnant sur le Perget va enfin connaitre les travaux visant à la rendre plus fluide et surtout sécuritaire.

Fin août 2018, la Direction Régionale des Affaires Culturelles avait prescrit à Toulouse Métropole la réalisation d’une fouille archéologique au niveau des travaux de voirie, suite à la découverte d’une quinzaine de silex datant de la période du paléolithique. Si de telles fouilles avaient été nécessaires, le démarrage du chantier de voirie aurait été décalé d’environ 1 an, soit un démarrage en octobre 2019.
Études complémentaires à l’appui, Toulouse Métropole a pu trouver une solution pour modifier le projet de voirie, évitant la réalisation de cette fouille.  Elle implique d’accentuer les pentes des voiries créées entre leurs 2 points de raccordements (RN124 et boulevard Victor Hugo). La conséquence est le rehaussement de la voie, n’obligeant pas à creuser trop profon
d et ainsi préserver  les vestiges archéologiques en sous-sol.

Les travaux vont donc officiellement commencer lundi 22 octobre par un balisage de soir (panneaux de chantier, marquage jaune au sol, glissières de sécurité) sur la RN124 et le boulevard Victor Hugo.

7 mois de travaux sont à compter, livraison prévue donc pour mai 2019