Décidément, le ciné est à l’honneur ces derniers temps. C’est ce coup-ci au tour du Département de Haute-Garonne de proposer sa version avec un « Ciné plein air » à la Forêt de Buzet et la projection du film « Donne-moi des Ailes ».
Pour la seconde année consécutive, le Conseil départemental de la Haute-Garonne, en partenariat avec l’association Film, Recherche et Développement Durable (FReDD), organise 5 soirées « Ciné plein air » cet été. Jeudi 21 juillet, la soirée se déroulera au coeur de l’Espace Naturel Sensible Forêt de Buzet.À partir de 18h, une visite pédagogique de la forêt sera proposée par les animateurs de la Maison de la Biodiversité, suivie à 21h d’une table ronde organisée par le Conseil départemental sur la biodiversité et le lien entre l’homme et la nature, avec Nature en Occitanie. À 22h, le film « Donne-moi des ailes » de Nicolas Vanier sera projeté : Christian, scientifique visionnaire, étudie les oies sauvages. Pour son fils, adolescent obnubilé par les jeux vidéos, l’idée de passer des vacances avec son père en pleine Camargue est un cauchemar. Pourtant, père et fils vont se rapprocher autour d’un projet fou : sauver une espèce en voie de disparition, grâce à l’ULM de Christian ! Commence alors un incroyable et périlleux voyage…(France, 113 min, VF, 2019) L’objectif de l’association FReDD est de développer et de promouvoir les expressions audiovisuelles pour permettre la sensibilisation, l’éducation ou la formation dans le domaine du développement durable. L’association, par son action, participe ainsi à la diffusion des connaissances scientifiques et techniques, à la valorisation de la recherche et à la sensibilisation des différents publics aux thématiques du développement durable.
« Le plan départemental pour la transition écologique 2020-2024 prévoit la sensibilisation des Haut-Garonnaises et des Haut-Garonnais à la préservation de l’environnement. Les actions destinées au grand public pour bâtir une société écoresponsable, doivent ainsi être soutenues pour inciter la population à changer ses comportements face à l’urgence climatique » déclare Georges Méric.