Tag

Coronavirus

Parcourir
Photo : Julien Hank Fitte

Un an après le début de la pandémie, la Covid 19 tombe enfin sur un os avec le vaccin mis au point par le laboratoire Pfizer. Malgré des débuts difficiles au niveau national, la campagne de vaccination débute ce lundi 18 janvier à Colomiers. Non pas sans générer quelques vagues.

Photo : Julien Hank Fitte

En guise d’exemple, c’est l’ancien maire de la ville Bernard Sicard (aux manettes de 2001 à 2014) qui a été le premier à recevoir le fameux vaccin. Dispensé par une équipe de médecins et infirmiers (qu’on remercie, admire et aime fort fort fort) dans un centre de vaccination établi au complexe sportif de Capitany, les patients devront cependant revenir pour une seconde injection dans 4 semaines comme l’exige la procédure d’inoculation.

Photo : Julien Hank Fitte

Ce moment historique dans la lutte contre la Covid 19 était également l’occasion pour la ville de signer un partenariat avec le CPTS (communauté professionnelles territoriales de santé). Dans les faits, la relation étroite entre cette organisation et Colomiers dure depuis deux ans, ce qui a permis notamment de gagner en efficacité lors des débuts de la crise l’an passé. En effet, le CPTS regroupe les professions libérales de santé en vue d’optimiser leur offre auprès de la population. du territoire. Il permet de développer un triple axe :
– Faciliter l’accès et l’organisation des soins
– Accompagner les personnes fragiles lors de leur parcours de santé (qui pour le coup n’a riend e l’expression consacrée)
– Prévenir, ce qui rejoint totalement le travail de la ville au travers du Centre communal d’action sociale (CCAS) et rend la signature de ce partenariat on ne peut plus cohérent.

Un système perfectible

Photo : Julien Hank Fitte

Bien que la chaine d’exécution au niveau local soit parfaitement opérationnelle, ça coince pour la prise de rendez-vous. En effet, la plateforme mise en place par l’état semble poser problème, saturant devant l’immense demande et ne proposant que peu de recours aux volontaires. Ce dysfonctionnement exprimé sur place par des personnes désirant se faire vacciner n’a pas échappé à Mme Karine Traval-Michelet, Maire de Colomiers et Vice-Présidente de Toulouse Métropole. Cette dernière ne manquera pas de faire remonter l’information auprès des services de l’Etat afin de résoudre cette question.

Photo : Julien Hank Fitte

Pour rappel, les modalités de prise de rendez-vous sont gérées et communiquées via la plateforme nationale www.sante.fr.

Femme photo créé par freepik – fr.freepik.com

La campagne de vaccination étant à ses débuts, de nombreux centres de vaccination s’ouvrent dans l’hexagone. Complétant le dispositif de 32 centres de vaccination Covid-19 de Haute-Garonne, la structure columérine s’établit au Complexe sportif de Capitany ( avenue Yves-Brunaud ). Il sera opérationnel à partir du lundi 18 janvier 2021.

Comme édicté par la règlementation nationale, le centre de vaccination Covid-19 de Colomiers sera ouvert aux personnes de plus de 75 ans sur rendez-vous, les après-midi, du lundi au samedi. La prise de rendez-vous se fera par le portail www.sante.fr

La vaccination sera assurée par des médecins et des infirmiers de la Communauté professionnelle territoriale de santé (CPTS) de Colomiers.

Le centre de consultation Covid-19 rouvre à Colomiers. Comme en mars dernier, des locaux au sein du Complexe sportif Capitany sont mis à disposition par la Ville de Colomiers afin que des consultations sur orientation médicale soient organisées par la Communauté professionnelle territoriale de santé de Colomiers (CPTS) Toulouse Ouest.

Suite à l’augmentation des cas de contamination à la Covid-19 dans le département de la Haute-Garonne, le centre de consultation de Colomiers rouvre ses portes à compter du lundi 19 octobre 2020.
Cette réouverture a pour objectif de soulager les cabinets médicaux et d’offrir une prise en charge plus efficiente pour les patients symptomatiques.

Les conditions d’accueil sont maximales afin de prendre toutes les précautions. Monsieur Simon Mathé, médecin généraliste et membre de la CPTS précise : « Ce cabinet de consultation n’est pas un centre de dépistage, c’est un SAS entre un cabinet médical et les urgences ».
Les consultations sont réservées à des patients adressés par leur médecin traitant dans les cas où celui-ci n’est pas en capacité de les accueillir. Les consultations se tiennent sur rendez-vous et doivent être prises par le médecin traitant. Les patients ne doivent pas se rendre au centre de consultation sans rendez-vous préalable.

Dans un premier temps, le centre est ouvert du lundi au vendredi, de 14 h à 18 h jusqu’au 30 octobre. En fonction de l’évolution de l’épidémie, la CPTS n’exclut pas de prolonger l’ouverture du centre.
Les consultations au centre de dépistage sont assurées à tour de rôle par un médecin et un.e infirmier.ère.

La Ville de Colomiers en partenariat avec la CPTS assure la sécurité, la logistique, met à disposition les locaux et prend en charge la communication auprès de la population afin de permettre aux médecins d’exercer dans les meilleures conditions et à la population d’être reçue en toute sécurité.

Photo : Julien Hank Fitte

Avec le passage de la Haute-Garonne en zone rouge ( soit zone de circulation active du virus) la préfecture a annoncé deux nouvelles mesures concernant le port du masque sur le territoire.

La faute à un taux d’incidence départemental dépassant le seuil d’alerte, le port du masque devient systématique à 30 mètres des entrées et sorties des établissements scolaires (écoles, collèges, lycées) et crèches du 31 et ce de 7h à 22h. Même obligation pour les rassemblements de plus de 10 personnes sur la voie publique mais de 7h à 3h pour le coup.

Ces deux nouvelles règles prennent effet à partir du vendredi 28 août.

Second tour des élections municipales prévu pour ce dimanche et Covid 19 toujours en circulation, la question de se rendre dans un bureau de vote ce weekend semble des plus légitimes. Le virus est en effet toujours présent et on peut se demander si aller accomplir son devoir citoyen n’est pas une source de contamination possible. Pour garantir la sécurité des électeurs dans les 25 bureaux de vote de Colomiers, des mesures d’hygiène strictes ont été mises en place.

  • Port du masque obligatoire pour tous les membres du bureau
  • Gel hydroalcoolique et/ou distributeur de savon à l’entrée du bureau de vote
  • Locaux et matériels désinfectés avant, pendant et après le scrutin y compris tables, stylos, règles, isoloirs…
  • Marquages au sol et file d’attente prioritaire pour respecter la distanciation physique
  • 3 personnes maximum par bureau afin de limiter les regroupements
  • Opérations de vote sécurisées : contrôle visuel des documents d’identité, pas de signature de la carte électorale, sécurisation des bureaux de vote et du dépouillement.

En complément, les bons gestes à adopter pour voter :

  • Port du masque obligatoire
  • Apportez si vous le souhaitez votre stylo et votre bulletin de vote déjà plié
  • Restez à une distance minimum d’un mètre des autres électeurs
  • Évitez tout contact physique avec d’autres personnes
  • Privilégiez les heures de moindre affluence (9h-11 et 13h-16h)
Photo : Julien Hank Fitte

La Municipalité de Colomiers a lancé l’achat de masques pour le grand public, c’est donc tout naturellement qu’elle s’est inscrite dans la démarche commune d’un achat groupé, lancée par Toulouse Métropole et les Communes membres volontaires. 40 000 masques ont été commandés pour les Columérin-es, et 5 000 masques supplémentaires pour les agents municipaux.

La Ville de Colomiers, comme les autres communes de la Métropole, attend d’ici là, les mesures qui seront édictées par le Gouvernement, s’agissant du cadre permettant leur distribution. Dès leur définition, ces modalités seront communiquées aux Columérines et aux Columérins. Nous vous tiendrons naturellement informés sur l’évolution de la situation.

Photo : Julien Fitte

C’est officiel, c’est tombé, le 11 mai nous serons déconfinés. Graduellement certes mais le feu vert est donné à une partie de la population pour retourner à la vie civile. Entre le port du masque vivement conseillé, la pénurie de coiffeurs (ou les coupes maison aléatoires) et les deux mois de confinement enrobant à grands coups de Netflix and chill,  la première nouveauté va être de se reconnaitre les uns les autres. Cependant, d’autres changements sont attendus dont la plupart sont déjà en cours. Un peu comme le 11 septembre a profondément modifié les normes de transport, cette crise du Covid 19 bouleversera nos habitudes quotidiennes, pour le meilleur et pour le pire.

Drive me away

À coin depuis toujours chez McDo et autres KFC, le drive se développait à son rythme dans d’autres secteurs, le plus aboutit étant celui de la grande distribution qui a largement communiqué et investi dans le domaine depuis une poignée d’années. Covid galopant, bien des enseignes se sont empressées de se mettre à ce mode de distribution, souvent pour une question de survie. Résultat, des clients qui répondent très favorablement et des magasins submergés par cette nouvelle façon de travailler. Les publications régulières de Minjat sur leur page alertant d’une impossibilité d’honorer les commandes pour les 24h à venir m’en sont témoin. Ce système perdurera t’il post confinement ? Sans aucun doute. Le virus étant loin d’être éteint, le drive (ou clic and collect qui est grosso modo la même chose)  offre une protection importante pour éviter les contacts sociaux. Bonne nouvelle donc pour les personnes qui n’aiment pas les gens.

« Chérie je pars bosser dans le salon »

Un peu comme pour le drive, le télétravail était plus évoqué qu’appliqué. La faute à une organisation compliquée scandaient les employeurs. Pourtant, cette terrible difficulté s’est soudainement envolée lorsque la bise fût venue. Comme quoi lorsque la motivation est là tout devient possible. Certes le télétravail est difficile à appliquer pour qui est berger mais soyons réalistes, peu d’entre nous ont la responsabilité d’un troupeau de mouton. C’est d’ailleurs le fait de ne pas pouvoir surveiller ses ovins qui a jusqu’à présent massivement limité la propagation du travail à la maison. L’expérience en cours montre pourtant qu’il n’est pas utile d’avoir ses subordonnés à vue pour qu’ils travaillent tout de même, n’en déplaise au management à la Frrrançaiiise…Ce système a-t-il de l’avenir ? À n’en pas douter. Ikéa communique fort sur le home office (le bureau à la maison) et c’est bien connu, quand Ikéa fait quelque chose, tout le monde suit. Puis ça fera de la place sur le périf.

Le chef vous propose

La question « Mais que vont faire ceux qui ont acheté 5 tonnes de farine ? » a enfin livré sa réponse : ils en font des gâteaux, des pâtes et tout un tas d’autres trucs. Les Français cuisinent comme ils ne l’avaient pas fait depuis longtemps. Sous réserve de ne pas aller trop loin dans la création (quand vous en êtes à envisager un cassoulet au nougat c’est signe qu’il faut revenir en arrière), on mange mieux et il faudra en garder l’habitude une fois toute cette affaire bouclée. Le revers de la médaille, c’est qu’il va y avoir une concurrence d’enfer dans Top Chef la saison prochaine. Pas le bon moment pour s’inscrire donc.

Made In Pas Loin

À l’heure où notre président réalise que faire fabriquer des produits essentiels à la nation dans un pays situé à l’autre bout du monde est peut-être un peu une connerie, l’idée d’acheter ce qui vient de chez nous fait également écho chez les consommateurs. Mondialisées, les chaines d’approvisionnement sont sérieusement grippées, se traduisant par des rayons vides dans nos supermarchés. Par contre, pour qui travaille avec des producteurs locaux, aucune pénurie en vue. L’acheteur lambda n’a donc d’autre choix que de se rabattre sur ce qu’il trouve, en l’occurrence ce qui est fabriqué pas loin de chez lui. Bon pour la planète, bon pour les copains, bon pour tout en fait. Le mouvement de cosom’acteur qui achète autant avec son cerveau qu’avec son estomac était déjà largement initié. Gageons que ce coup de pouce viral permettra à beaucoup de continuer dans cette indéniable voie de la raison. Comme quoi, il y a tout de même quelque chose de bon dans tout ce mauvais.

« On se fait la bise »

Non. Mais même après en fait. Il faut arrêter avec ça.

S’adapter, oui mais comment ?

L’épidémie mettra un moment avant de s’éteindre, l’immunité collective n’étant pas pour demain. Cependant, des métiers vont avoir beaucoup de mal à s’adapter à ce fait. Respecter les gestes barrière quand on est comptable ça passe. Quand on est coiffeur, esthéticienne ou dentiste, c’est pas la même affaire. Dans la même veine, quel avenir pour les salles de sport, les boites de nuit ou plus simplement les restaurants ? Pour ma part je n’ai pas de solution à proposer (et n’en ai d’ailleurs aucunement la prétention) mais le défi s’annonce épineux.

Il y aura donc un avant et un après Covid19. Nos comportements et habitudes vont être secoués. Cet impact aura-t-il une influence positive sur notre rapport à la planète, aux autres, à notre façon d’aborder notre existence ? La réponse est dans les mains de chacun.

PS : tu as du retrouver Aline, dis-lui les mots bleus, elle va craquer c’est sur <3

Photo : Julien Hank Fitte

Aussi inédite que contraignante, la crise pandémique que nous vivons est, outre une question sanitaire, un véritable labyrinthe pour les acteurs économiques. Pour y voir plus clair, l’Etat et le Parlement ont pris à travers la loi d’urgence sanitaire un certain nombre de mesures exceptionnelles. Au-delà, la Région Occitanie Pyrénées-Méditerranée, le Département de la Haute Garonne et Toulouse Métropole ont également annoncé des dispositifs d’aides et de soutien aux différents acteurs du monde économique.

Dans ce contexte, l’Office du Commerce, de l’Artisanat et des Services (OCAS) de Colomiers va désormais recueillir vos éventuelles interrogations, afin d’agir de façon collective. En effet, cette structure est le relais approprié pour faire le lien avec la Chambre de Commerce et de la Chambre des Métiers. De la même manière, le Club d’Entreprise de l’Ouest Toulousain a également été sollicité.

Entrepreneurs, si vous souhaitez apporter des idées, poser vos questions ou manifester vos doléances liées à cette crise sanitaire, vous pouvez adresser vos courriers à la Mairie de Colomiers ou vos mails à l’adresse :

contact@colomiers-malin.com

Par ailleurs, quand cela sera possible, la municipalité en place proposera un examen des situations et, après un vote en conseil municipal, des mesures exceptionnelles et des exonérations ciblant des taxes et redevances communales.

Enfin, il est important de valoriser toutes les entreprises et tous les commerces ouverts. Pour ce faire, ces derniers sont invités à se faire connaître à la même adresse électronique.

Egalement soucieuse du bien-être économique de la zone, la rédaction de Diagonale s’associe à cette démarche et ouvre ses colonnes à toute entreprise ou association en activité afin d’en faire écho auprès du plus grand nombre.

Photo : Julien Hank Fitte

Depuis mardi 17, notre Pays vit au ralenti. Blouses bleus sommées de se confiner, blouses blanches en plein rush, le paysage de l’activité dans l’hexagone n’est plus à dépeindre. Pourtant, alors que les articles pleuvent pour féliciter nos personnels soignants, les projecteurs ne semblent pas vouloir se tourner vers nos agriculteurs. Corrigeons le tir avec cette interview de Christian et Florent Serres, père et fils agriculteurs exploitants à L’Isle-en-Dodon.

Diagonale : Messieurs bonjour, nous vous savons toujours au travail malgré cette situation difficile, quels changements avez-vous observés ?

Bonjour Diago, toujours au boulot oui, on s’occupe des blés et prépare les semis de printemps (tournesol, maïs…). Le travail reste identique même si on commence à observer des difficultés à se procurer certains produits, les chaines d’approvisionnement étant fortement impactées.

Votre activité est-elle compatible avec la recommandation de devoir rester confinés? Quel sont vos risques d’exposition au virus ?

À vrai dire, en cette saison nous passons le plus clair de notre temps seul dans la cabine du tracteur. Aucun risque donc d’être source ou sujet de contamination. Nous respectons cependant le confinement une fois le travail terminé. 
Pour ce qui est de la continuité de notre activité, le fait est que c’est la Nature qui nous dicte le calendrier. Si nous ne nous tenons pas à ce dernier, nous créerons une crise d’approvisionnement à la fin des moissons. Si cela devrait se produire, nous serions dépendant des exportations, chose qui n’a clairement pas été à notre avantage lorsqu’il a fallu trouver des masques et autre gels hydroalcooliques ces derniers jours…

Si vous êtes encore au travail, c’est donc pour nous faire tous manger demain. A l’issue de cette crise, est-ce que le regard des français sur votre activité va changer selon vous ? Je pense à l’association agriculteur/pollueur notamment.


Je l’espère, ne serais ce qu’en voyant que l’air est devenu plus sain dans les villes depuis que quasi plus personne ne circule, ne prend l’avion ou ne produit dans des usines alors que dans le même temps, nous continuons pourtant à travailler…L’agriculture est un des milieux qui a le plus évolué en matière de respect de l’environnement depuis ces 20 dernières années, il serait temps que les mentalités en prennent conscience. Cette crise montrera peut être que notre métier n’est pas responsable de tous les maux qu’on lui accorde. Au passage, nous tenons à saluer les secteurs encore au travail malgré le confinement. Ces métiers vitaux pour nous tous, de la distribution alimentaire à la santé en passant par les collectes des déchets ainsi que les forces de l’ordre. Il est important pour nous tous de nous unir afin de faire valoir notre rôle auprès de l’État. De plus, si les journalistes pouvaient donner moins dans le sensationnel ou dans le sujet qui vend du papier sans se soucier de la véracité des propos tenus, ce ne serait pas plus mal (ndlr : nous en prenons bien note !)

Pour paraphraser Coppola dans Apocalypse Now, « Elle durera pas toujours cette guerre ». Quels sont vos projets à venir ?

Nous étudions le passage en bio sachant que nous sommes déjà en agriculture raisonné. En effet, plus on utilise de produits, plus ils nous coûtent cher. Moins en employer nous va parfaitement ! De plus leurs prix se sont vus grimper et certaines références disparaitre. Encore une fois, nous nous adaptons pour faire les choses au mieux pour nous, l’environnement et la population alors qu’en parallèle, nous avons perdu 1/3 de nos aides et qu’on nous paye notre production au même prix qu’il y a 20 ans…


Rédiger cet article tenait à cœur de la rédaction de Diagonale. Mettre en avant les gens qui nous font purement et simplement manger en ces temps difficiles nous importe tout autant que tous ces corps de métier qui travaillent avec courage et détermination pour le bien de nous tous. Grâce à tous ces hommes et ces femmes, la France est au ralenti mais pas à l’arrêt. Au sortir de cette crise, il sera de bon ton de ne pas l’oublier…

Photo : Julien Hank Fitte

Pour endiguer la progression du Coronavirus, la ville de Colomiers a pris les disposition suivantes. Elles sont applicables immédiatement.
Fermeture des établissements suivants dès lundi 16 mars et jusqu’à nouvel ordre :
• Crèches, écoles maternelles et élémentaires, centres de loisirs
• Équipements sportifs : Espace nautique Jean-Vauchère (dès ce samedi 14 mars), complexe sportif de Capitany, complexe sportif André-Roux, boulodrome, gymnases
• Équipements culturels : Pavillon blanc Henri-Molina (dès ce samedi 14 mars), Conservatoire, Cinéma (dès ce samedi 14 mars),
• Salles associatives : Ensemble associatif du Cantal, Espace Macabiau, Fédération associative columérine

Adaptation des services publics municipaux :
• La Mairie reste ouverte aux horaires habituels. L’accueil téléphonique est privilégié.
• Pour toute demande de renseignement pratique, la ville met en place un service renforcé de réponse téléphonique, de 9 heures à 18 heures, 7 jours sur 7, dès le samedi 14 mars, au 05 61 15 22 22. Les parents columérins dont les professions nécessiteront leur réquisition (santé – sécurité) sont invités à se signaler à ce numéro pour prévenir d’un besoin éventuel d’un mode de garde par la collectivité.
• Le CCAS reste ouvert (voir plus loin)
• Les Maisons citoyennes assureront un service ressource de proximité par un accueil info-usagers (les activités des structures sont annulées).

Événements et activités (agenda complet actualisé sur https://www.ville-colomiers.fr/)
• Les marchés de plein-vent des samedis et jeudis sont maintenus
• La Foire aux plantes et le concert du dimanche du conservatoire, initialement prévus ce dimanche 15 mars, sont annulés
• Les activités du Guichet atout seniors sont annulées à partir du lundi 16 mars 2020
• Les activités organisées dans les maisons citoyennes, les espaces associatifs et les établissements sportifs et culturels de la ville sont annulés

Accompagnement des seniors et publics fragilisés :
Afin de maintenir l’accompagnement des seniors et des personnes fragilisées et/ou en situation de handicap, le Centre communal d’action sociale et de la santé (CCASS) reste ouvert en concentrant son action sur les urgences sociales. Le portage des repas à domicile et l’aide à domicile sont maintenus et peuvent être renforcés.
Par ailleurs, le CCASS a activé son dispositif d’accompagnement des personnes fragiles : les personnes recensées sont désormais contactées tous les jours par téléphone, afin de leur prodiguer conseils et recommandations, de répondre à leurs questions et de s’assurer de leur état de santé.
L’Ehpad municipal, la Résidence émeraude Anne-Laffont, est mobilisée pour assurer la sécurité des résidents. Les visites y sont interdites depuis le début de la semaine.
Renseignements seniors de plus de 70 ans et personnes fragilisées : Centre communal d’action sociale et de la santé, 05 61 15 22 26.
Il est conseillé aux personnes âgées de limiter leurs déplacements et de rester à leur domicile.

Informations municipales à suivre sur le site Internet https://www.ville-colomiers.fr/a-la-u…/coronavirus-2069.html