Petit frère du TGS Toulouse (ce dernier se tenant au MEETT), le TGS (Pour Toulouse Game Show) Springbreak se tiendra à Diagora – Labège les 13 et 14 mai 2023. Une occasion de venir étancher sa soif de geekerie.
Salon toujours plein de bonne humeur, le TGS fait la part belle à la pop culture, aux animes, jeu vidéo, cosplay et tout ce qui touche de près ou de loin à cette culture venue des profondeurs. Désormais fièrement reconnue, elle s’exprime lors d’évènements dont le TGS est un des solides acteurs. Cette éditions Springbreak étant la 10ème du genre, elle assoit une légitimité incontestable. La longévité de l’évènement est due à une renouvellement constat du format, des invités et animations mais avec comme ligne de conduite la défense de cette identité. Cette année donc, retrouvez Youtubeurs (MissJirachi, Léo – TechMaker) Tiktokers (Monsieur Pof, Iamblacko), acteurs (Gérard Vives, Marjorie Bourgeois) mais également des comédiens de doublage. Métier de la plus haute importance (Si vous avez joué à Binary Domain ou même Metal Gear, vous devriez comprendre), il sera représenté par David Krüger aka la voix de Chris Pratt, Dwayne « The Rock » Johnson ou encore Master Chief (qui rend super bien en voix de GPS si jamais) mais également Nicolas Matthys et Audrey Sourdive.
Le jeu vidéo reste un aspect essentiel et un des thèmes appréciés du TGS Springbreak. Un espace jeux vidéo sera donc prévu sur le salon. Plusieurs associations seront présentes pour organiser des tournois ou encore pour vous permettre de tester plusieurs jeux sur diverses plateformes. Vous pourrez également retrouver un espace rétrogaming et un espace esport.
Le TGS Springbreak c’est aussi des prestations qui méritent d’être vues. Vous pourrez retrouver le travail des cosplayers avec le célèbre concours de cosplay organisé par Yumeji, le retour de la CFC Online ou encore un concours de KPOP cette année.
Enfin, concerts, animations et une mutitude de stands vont faire de ce TGS Springbreak 2023 un évènement incontournable du weekend.
TGS Springbreak 2023 Les 13 & 14 mai 2023 Centre de Congrès et d’Expositions de Labège Entrée 1 jour : 15€ / Entrée 2 jours : 25€ Infos et billetterie : https://tgs-springbreak.fr/
Le jeu en ligne ayant largement pris la tête du rendez-vous multijoueur vidéoludique, il n’a pourtant jamais réussi à égaler le plaisir d’une partie entre amis dans la même pièce. Que l’on opte pour les sorties et machines les plus récentes (quand elles sont disponibles…) ou que l’on se remette à souffler dans des cartouches de jeu (ouiii on sait que ça sert à rien mais on le fera toujours), la soirée jeu vidéo est une valeur sûre pour attirer les amis.
Oui bon là on s’est un peu enflammés sur la photo mais avouez ça claque
L’avènement plus ou moins réussi de la réalité virtuelle apporte son lot de surprises et sa découverte aux non initiés est toujours spectaculaire. Pensez juste à prévoir un espace suffisant pour que personne ne soit blessé.
Pour des sessions 100% nostalgie, des solutions de jeu en réseau local sur PC sont désormais disponibles à la carte auprès d’entreprises telles qu’Artefact PC à Colomiers (voir notre article en cliquant ici ). Contactez les de notre part.
Dans tous les cas, prévoyez une alimentation presque équilibrée, c’est le secret d’une bonne soirée geek.
Avec la défense de culture sous toutes ses formes comme figure de proue, la Municipalité de Colomiers soutient la création et la diffusion sur toutes ses formes. Toutes? Il manquait à son arc la corde de l’animation, du jeu vidéo et de la création numérique. Voilà qui va être réparé avec ce tout nouveau festival.
Les 10,11 et 12 mars, Press Play entend donner une place centrale aux arts vidéoludiques avec un rendez-vous des plus prometteurs. Déjà fort d’évènements culturels comme le Festival de la BD, La Ville entend bien dynamiser ses installation avec ce nouveau venu. Ainsi, le Pavillon Blanc Henri Molina, le Cinéma Le Grand Central, le Square Saint-Exupéry, le Hall Comminges ou encore l’Audotorium Jean-Cayrou seront mis à contribution pour accueillir une programmation très éclectique.
En fil conducteur, la découverte et l’émergence de nouveaux talents. Même si des classiques et poids lourds du genre sont attendus, comme la Masterclass donnée par le scénariste, producteur et réalisateur anglais Mark Burton (à qui l’on doit les indémodables personnages de Wallace et Gromit ou encore le farceur Shaun le mouton), l’idée de ce Press Play est de pousser à la découverte. Que ce soit dans le rétro avec des bornes d’arcade en open play dans le Cinéma Le Grand Central ou dans le futur lors de la projection de films d’animation pour la plupart inédits ou en avant-première, tout est fait pour susciter votre émerveillement. Côté tarifs, la majorité des évènements sont gratuits. Les payants sont tirés vers le bas avec par exemple la séance plein tarif à 6€ au cinéma. Pas cher payé pour voir le futur.
3 jours, des films, du jeu, de la réalité virtuelle, des spectacles, le festival Press Play est bien trop riche pour le détailler en intégralité. Rendez-vous sur le site de la ville rubrique Culture pour découvrir tout ce qui vous attend.
La Municipalité de Léguevin propose la 1ère édition du FESTI’JEUNES, organisée par le Collectif Jeunesse dans le cadre de CO’LEG, instance d’implication citoyenne de la Ville de Léguevin, le Samedi 1er Octobre 2022 de 10h à 1h00.
Comme l’ont souhaité M. le Maire et Céline LAMOTHE, Conseillère Municipale déléguée à la jeunesse, cet événement est imaginé par les jeunes, pour les jeunes. Il se déroulera au niveau de la Salle de spectacle et de cinéma TEMPO, au skate Park et autour du Lac de la Mouline. La Route de Toulouse sera fermée pour l’occasion permettant ainsi une circulation sécurisée à pied dans toute la zone.
Le programme des animations est riche et varié : tournoi de gaming à TEMPO, Contest de skate et trottinette, Color Run autour du lac, soirée DJ ainsi que de nombreux jeux gonflables et stands divers.
Tout est prévu pour passer une journée formidable et une soirée festive.
Restauration et buvette disponibles sur place.
Le programme détaillé des animations est disponible sur le site internet www.ville-leguevin.fr et les réseaux sociaux de la Ville de Léguevin.
À l’heure où le jeu vidéo commence une nouvelle ère avec la sortie des Playstation 5 et Xbox Series X (pour ceux qui ont pu les réserver du moins), nous autres boomers avons et aurons toujours une affection unique pour les titres vidéoludiques désormais rangés au rang de classiques. La multiplication des rééditions de jeux comme Final Fantasy VII, Crash Bandicoot ou le fraichement annoncé Time Spliters 2 témoigne cependant d’un réel attrait pour ce rétrogaming fait de pixels et de sons en MIDI. Mieux, les mastodontes du secteur y vont carrément à coups de consoles de l’époque remises au gout du jour en versions réduites: Mini Super Nintendo et autres Mini Playstation se vendent équipées dès le départ d’une vingtaines de titres les plus emblématiques de ces machines. Mi rétro mi marketing, les avis divergent sur ces nouveaux formats. Cependant, l’intérêt pour les vieilleries vidéoludiques demeure bien réel.
Photo : Julien Fitte
Metal Gers Solid
Aussi infecté par le virus du jeu vidéo que Brad Vickers à l’entrée du commissariat de Racoon City, Franck Boubée est un otaku gersois qui travaille dans l’informatique. Une fois la cravate retirée, il est ce que l’on appelle un moddeur. Grosso modo, il s’agit d’un bienfaiteur de l’humanité qui détourne des consoles de jeu vidéo dans à peu près tout ce qui possède un écran. C’est ce genre de personnes qui est capable d’adapter Doom sur l’écran d’une imprimante domestique. Après quelques réalisations de bornes d’arcade classiques, Franck ne s’est pas attaqué à la plus emblématique des des productions de John Carmack mais bien à un autre mythe du jeu vidéo : La Dreamcast.
Call Of Vieillerie
Pour ceux qui n’ont pas connu le doublé de Zidane en finale de coupe du monde, sachez que cette console de SEGA est une véritable institution. Portée par des titres comme Shenmue, Crazy Taxi ou encore l’inclassable ChuChu Rocket!, elle permettait de se connecter au web (révolution absolue pour l’époque) et affichait des performances visuelles ahurissantes (pour 1998 hein). Adaptant énormément de jeux tirés de l’arcade (ce qui, ajouté au choix du GD-Rom comme support précipita grandement sa perte), elle a marqué les esprits et notamment celui de Franck. En bon bricoleur bidouilleur aux éclats de génie, il a donc décidé d’intégrer cette formidable machine à…un minitel.
Photo : Julien Fitte
3615 ULLA
Autre relique de la préhistoire numérique, le minitel est une exception Française qui a connu la fermeture de ses services en 2012, remplacé par notre désormais familier internet. Tout comme la BX et le mulet, il a su marquer les esprits avec un design tellement fané qu’il en devient sympathique. C’est donc dans cette coquille que Franck a décidé d’intégrer une Dreamcast. Il aurait pu se contenter d’y coller un émulateur et 4 ports USB mais la manœuvre aurait été aussi authentique que le premier single de Kylie Minogue. Il a plutôt choisi d’intégrer le maximum de composantes de la console blanche tout en conservant le plus possible les fonctions physiques du minitel. Sa création s’allume donc avec le bouton d’origine, le son s’ajuste par le biais de la molette crantée sur le flanc droit et le branchement d’une manette supplémentaire se fait avec la connectique d’origine Dreamcast. Pour contrôler l’engin, Franck a logiquement opté pour une interface typée arcade avec un joystick et des boutons arrivés tout droit du Japon. Le reste s’est réglé à coups d’imprimante 3D.
Insert Coin
Une fois sous tension, le bondissant logo rouge apparait sur une mélodie de Ryûichi Sakamoto. À cet instant, le nostalgie déboule aussi vite que Sonic dans Marble Zone. Et quand débute « All i want » dans l’autoradio du taxi cabriolet, définitivement on ne veut plus lâcher le pad. L’ergonomie est sans-faute, les contrôles réactifs et précis, la composition sonne parfaitement juste. Franck a réalisé un travail impeccable et totalement inédit. Même SEGA Europe l’a contacté lorsqu’il a présenté son bébé sur Tweeter. Comme sceau d’approbation, difficile de faire mieux.
It’s me, Francky!
Le minitel-Dreamcast est pour le moment un exemplaire unique et est disponible à la vente. Cependant, d’autres créations sont à venir de la part de cet orfèvre créatif, notamment un projet de minitel croisé avec une Nintendo 64 (oui il y aura Goldeneye dessus). De dinosaures du monde virtuel, Franck crée des objets contemporains à la fois fonctionnels et bourrés de charme. Dans Tekken, ça s’appelle un perfect….
Historiquement spécialisé dans la location de jeux gonflables et non gonflables, la société Élite Animation voit plus grand et donne désormais également dans la réalité virtuelle de haut niveau. Pour pouvoir présenter efficacement l’ensemble de ces équipements, l’enseigne a décidé d’ouvrir deux salles dédiées à l’amusement à Cornebarrieu.
Pour vos anniversaires, fêtes privées, comité d’entreprise, expériences de groupe, ce sont respectivement 175m2 d’espace fun et 115m2 dédies à la réalité virtuelle qui ont à découvrir. Covid 19 oblige, la privatisation se fait à 9 personnes maximum avec gels hydroalcoolique, masques mis à disposition et respect des distanciations.
Lors de notre visite, nous avons flashé sur le snookball (un billard-football géant), le circuit géant mais surtout sur la diversité et la qualité des appareils de réalité virtuelle. Loin d’un simple casque assorti de manettes, l’expérience de VR est ici portée par de solides infrastructures faites de sièges baquets montés sur vérins, de plate-formes réactives ou encore d’un simulateur de vol où les bras commandent des ailes. Résultat, des bornes d’arcade 2.0 conçues pour des sensations inédites. Les titres jouables sont pensés pour cette utilisation et ne sont pas simplement des adaptations hasardeuses de jeux existants. Dans ce cadre, la VR n’est plus un accessoire qui fait sourire 5 minutes mais bel et bien une nouvelle façon de s’amuser. Totalement approuvé !
Pour sa dernière édition au parc des expositions du centre de Toulouse (la prochaine aura lieu dans le futur MEETT), le Toulouse Game Show (TGS) n’a pas fait les choses à moitié. Débordant d’exposants, de stands et surtout de public, cette mouture 2019 a connu un indéniable succès. Le nombre de cosplayers (personnes déguisées pour les néophytes) était incalculable et d’une grande diversité. Ces deux jours de salon ont parfaitement fait honneur à la pop culture, au jeu vidéo, manga, comics, BD, science fiction, Geek Life, cinéma, série TV et culture japonaise dans une ambiance de bonne humeur collective. Organisation sans failles et public conquis, cette dernière édition du Toulouse Game Show au centre ville de Toulouse restera historique…
13 ans que le Toulouse Game Show (abrévié TGS) enchante le parc des expositions de Toulouse en y faisant défiler des références de la pop culture. De très en vue youtubeurs aux maîtres de la bande dessinée en passant par des centaines de fans de cosplay, le TGS est un festival à part. Pour cette dernière édition dans l’actuel Parc des Expositions (le prochain aura lieu dans le MEETT), la liste des invités est encore une fois spectaculaire : Holly Marie Combs de la série Charmed, Jacky du Club Dorothée ou encore Patrick Puydebat de la série Hélène et les Garçons n’en sont qu’une partie. Tous seront à rencontrer lors de séances de dédicaces ! Sur les deux jours du festival, (les 30 novembre et 1er décembre), des dizaines d’animations sont prévues avec des conférences, spectacles, quizz et même des combats de sabres laser.
Ceci étant, le TGS est véritablement particulier de par les centaines de cosplayeurs qui arpentent ses allées. Des plus humbles amateurs aux fous furieux du domaine, attendez-vous à croiser une foule d’icônes issue des mangas, films et jeux vidéo. D’expérience, nous les savons unanimement sympathiques et prêts à expliquer leur personnage, du choix à la réalisation de la tenue. Certains vont même jusqu’à en présenter un différent par journée de festival ! Une bonne raison d’y aller sur les deux jours en somme.
Nous arpentons de nombreux festivals et manifestations chez Diagonale et le TGS est pour nous toujours un vrai plaisir. Quelque soit votre age ou votre niveau d’affection pour la pop culture, vous y trouverez de quoi vous émerveiller. Ne manquez surtout pas cette dernière édition en centre ville !
TGS Toulouse Game Show 30 novembre et 1 er décembre Parc des expositions de Toulouse https://tgs-toulouse.fr/
Depuis quelques mois, le Bowling Stadium de Colomiers propose au sein de son complexe 8 salles de réalité virtuelle. Il s’agit de cellules dans lesquels vous êtes équipés d’une sorte de casque qui vous propulse à l’intérieur d’un monde virtuel. Manette dans chaque main, vous pouvez interagir avec votre environnement, que ce soit pour s’attaquer à des zombies ou se balader dans une forêt, voire les deux. Bien que l’expérience soit réellement bluffante, la direction ne s’arrête pas à là et a tout récemment investi dans des modules complémentaires, notamment plate-forme Omni et poste de pilotage automobile. Sont proposés 24 jeux différents, notamment le légendaire Doom en version VR…
Dans la mesure où je ne pouvais pas tout tester d’un coup, j’ai donc mandaté mon armée de stagiaires pour essayer ces différents modules.
C’est tout d’abord Yoann, 19 ans, que j’ai installé sur la plate-forme. À peine installé, il se ballade déjà dans un monde futuriste à la recherche d’une armure avec une facilité déconcertante. Demi tour, déplacement latéral, le jeune homme passe les niveaux les uns après les autres en lâchant des « wow c’est terrible » de temps à autres. On le fait descendre après quelques dizaines de minutes. Il affiche un grand sourire qu’il gardera tout le reste de la journée. Expérience validée à 100%.
N’ayant jamais conduit de voiture de sa vie dans la mesure où elle n’a que 14 ans, c’est la timide Lilas que j’envoie affronter l’asphalte sur une simulation de course. Installée dans son siège baquet, elle se transforme alors en une sorte de Sebastien Loeb avec une notion très relative du freinage. Éclats de rire et autres exclamations remplissent la pièce. Très clairement, elle s’éclate à piloter. Même constat que pour son acolyte Yoann, elle descend de son poste de pilotage avec un large sourire.
Et moi diriez vous, serais-je resté à voir tout ces jeunes s’amuser sans rien faire ? Bien sur que non ! Je propose à ma collègue une partie en co-opération sur le double box de réalité virtuelle (il est possible de jouer jusqu’à 4 en simultané). Désormais familiers de cette technologie, nous expliquons aux zombies que nous ne ferons pas partie de leur menu avec une certaine aisance. Fin de la partie, je signe le meilleur score (forcément), et nous reprenons la route de la rédaction. « On fait quoi demain ? » me demandent en cœur mes deux petits apprentis ? Qu’est-ce que je vais bien pouvoir leur proposer de mieux !
