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Pleinement propices à la fête, Noël et Jour de l’An riment avec retrouvailles, cadeaux et étoiles dans les yeux. Pour cette édition, nous vous avons dégoté 10 bons plans qui sortent de l’ordinaire. De quoi se régaler, voyager, s’émerveiller, par ici ou par plus loin. Que vous optiez pour une de nos propositions ou que vous optiez pour une célébration à la maison, on vous souhaite à toutes et à tous un Joyeux Noël et de très bonnes fêtes.

Image par Jill Wellington de Pixabay

Et pourquoi pas aller faire un nouvel an dans un pays lointain ? Un endroit au soleil qui tranchera radicalement avec le rude hiver ? Se dépayser sans pour autant se ruiner ? On a la solution.

Compagnie low-cost du groupe Air France-KLM, Transavia opère près de 200 lignes aériennes au départ de la France. Parmi elles, et depuis le 29 octobre, une à destination de Dakar. Répondant ainsi aux attentes de la clientèle désireuse de profiter du soleil en hiver, ce Toulouse – Dakar s’applique à raison d’un vol direct par semaine (le dimanche) à partir de 189€ TTC l’aller simple !

Si d’aventure vous n’étiez pas tentés par la capitale du Sénégal, bien d’autres destinations plus ou moins lointaines vous attendent sur www.toulouse.aeroport.fr

[EDIT] Balthazar a été retrouvé depuis!!!

Fière mascotte des Espaces Verts du Languedoc, le pauvre Balthazar a été volé dans la nuit du 7 au 8 septembre. Le gentil cacatoès n’était plus dans sa volière ce matin, laissant un grand vide dans le cœur du personnel mais aussi des clients, habitués à entendre son joli chant.

Si d’aventure vous entendiez parler/voyez passer une annonce concernant la vente d’un cacatoès sachant dire « il est beau Balthazar » (de loin sa phrase préférée car oui, Balthazar sait parler), contactez le 0561492171. L’équipe est très affectée par sa disparition et espère qu’il rentrera vite à la maison.

Espaces Verts du Languedoc
Rue Alain Fournier, 31300 Toulouse
Tél. : 05 61 49 21 71
Fb @EspacesVertsDuLanguedoc

Trafic aérien grandissant, de nouveaux couloirs de vol sont constamment étudiées. En vue d’une modification des trajectoires des avions en décollage sud-est depuis l’aéroport de Toulouse-Blagnac, une expérimentation incluant un survol de la commune de Pibrac a été menée l’an passé. Dans un courrier du 9 novembre 2019, la municipalité faisait front pour que ce couloir aérien ne voit pas le jour. En effet, outre les fortes nuisances sonores qu’il génère, son approbation conduirait à des dépréciations foncières pour tous les Pibracais. Après plusieurs interventions auprès de la Préfecture mais également auprès de la Direction générale de l’aviation civile (DGAC), la Direction de la sécurité de l’aviation civile (DSAC) a confirmé lors de deux réunions (17 et 22 janvier) l’abandon de la trajectoire en question.

En contrepartie, un autre itinéraire a été proposé. Il prévoit le décalage de la trajectoire moyenne à l’est de Pibrac, au droit de l’Aussonnelle et de zones industrielles ainsi qu’une montée plus rapide des avions qui devraient survoler ces zones à des  altitudes suffisamment élevées (supérieures à 4.500 mètres) limitant ainsi les nuisances pour les populations survolées. Pas encore pleinement satisfaite, la Ville de Pibrac va plus loin et demande son décalage encore plus à l’Est lors de la prochaine phase d’expérimentation qui devrait débuter fin février.

Avec 1076 vélos volés chaque jour en France, il se dérobe un cycle toutes les minutes dans notre pays. En Europe, ce sont près de 2.9 millions de deux roues non motorisés qui sont volés chaque année, soit 331 vols par heure. La tendance des vélos électriques ayant quelque peu alourdi la facture à l’achat, la problématique de la sécurisation s’en voit autant décuplée. Outre les 35% d’inconscients qui ne jugent pas utile d’attacher leur monture à un point fixe, on constate que 95% des cyclistes utilisent un antivol de mauvaise qualité. Résultat, l’objet du larcin est quasiment en libre service pour les malfrats.

Attacher son vélo n’est donc pas le seul souci, encore faut-il utiliser un matériel de qualité. La résistance des antivols est définie par une échelle allant de 1 (la résistance d’une chips) à 15. Pour être sûr de bien verrouiller sa petite reine, Luqmaan de chez Culture vélo, recommande un niveau de 10. En effet, ces différents dispositifs sont assez légers pour êtres transportés à la force des mollets tout en s’affichant à prix contenu et en maintenant votre bien à l’abri des malfaisants. Il existe d’ailleurs un modèle doté d’un système d’alarme en cars de tentative d’infraction. L’arme ultime pour s’assurer de ne pas rentrer à pied ? Peut être bien. Sauf que nous sommes en 2019 et que la technologie s’en est mêlé.

Créé par la start-up française innovante Velco (couverte de lauriers au concours Lépine), le Wink Bar est un accessoire indispensable qui remplace le guidon actuel de votre monture. En apparence identique à un modèle classique à deux emplacements LED près, il renferme un système de géolocalisation/navigation juste génial. Une fois installé, vous connectez votre smartphone via bluetooth, entrez votre adresse par GPS et la magie opère : les LEDS vous indiquent quand tourner pour arriver à destination. Résultat, plus besoin de vérifier votre écran sans cesse (au risque d’aller faire connaissance avec le pare choc du véhicule de devant) pour vous rendre où vous voulez. Une fois la nuit tombée, le dispositif sert également de phare. Pour ce qui est de la sécurité en cas de brigandage, l’appareil donne sa position GPS en temps réel partout dans le monde. À moins qu’il l’emporte sur la lune, votre malfaiteur ne pourra pas le cacher bien longtemps. La batterie présente dans le Wink Bar a une autonomie de 3 semaines, suffisant pour contacter la maréchaussée.

Niveau tarifs, les systèmes d’attache vendus chez Culture Vélo oscillent entre 80 et 150€. Pour le Wink Bar, c’est un peu moins de 300€ avec un abonnement au service de géolocalisation à 2€99/mois. Rapportés aux 2000€ de coût moyen pour un vélo électrique, l’investissent dans ces différents systèmes de sécurité est somme toute raisonnable.

Culture Vélo Colomiers
ZAC Perget, 4 Rue Antoine Laurent de Lavoisier, 31770 Colomiers
05 34 50 49 37
Fb : @Culture Velo Colomiers

Plusieurs vols de câbles électriques ont de nouveau été constatés sur le réseau d’éclairage public de la Ville de Colomiers depuis le mois d’octobre 2018. L’éclairage public ne fonctionne donc plus dans les secteurs suivants

  • Chemin de l’Armurier (une partie),
  • Chemin Saint Exupéry,
  • Impasse du Clos d’Ariane,
  • Piste cyclable Arc en Ciel,
  • Boulevard Paul Valéry (une partie),
  • Chemin de la Pujouane,
  • Chemin de Cournaudis,
  • Chemin de la Butte,
  • Allée du Lavandin,
  • Avenue des Marots (une partie),
  • Chemin des Sévennes (une partie),
  • Allée de l’Arros (une partie),
  • Chemin d’El Pey (une partie),
  • Escargot (de l’avenue des Marots à Salvador Allende jusqu’à l’échangeur N°5),
  • Giratoire Flandre Dunkerque jusqu’à l’entrée du chemin de Gramont,
  • Boulevard Gaston Deferre,
  • Giratoire De Vinci,
  • Souterrain de la Crabe.

La Ville de Colomiers a porté plainte et, avec le concours du Syndicat départemental d’énergie de la Haute-Garonne (Sdegh), a programmé des travaux, par secteur :

  • Secteur Marots/Lavandin : semaine 2, du 7 au 11 janvier 2019
  • Secteur Sévennes/Louron/Neste/Arros : semaine 3, du 14 au 18 janvier 2019
  • Chemin de Cournaudis : semaine 4, du 21 au 23 janvier 2019
  • Chemin Saint-Exupéry : semaines 4 et 5, du 24 au 29 janvier 2019
  • Avenue Salavador-Allende : semaine 5, du 30 janvier au 1er février 2019
  • Boulevard gaston-Defferre : semain 6, du 4 au 6 février2019
  • Avenues des Marots / Esquillettes : semaine 6, du 6 au 8 février 2019

    En espérant que cette mésaventure ne se reproduise pas de sitôt…

Si vous résidez à Colomiers, plus précisément dans les secteurs des Marots et d’En Jacca vous avez peut être constaté des défaillances au niveau de l’éclairage public. Ils sont dus à un nouveau vol de câbles électriques constatés notamment :

– allée de la Neste,
– avenue du Louron,
– allée de l’Arros,
– chemin de Sevennès,
– chemin de Cournaudis,
– avenue Salvador Allende

La Ville de Colomiers a porté plainte.  De concert avec  le Syndicat départemental d’énergie de la
Haute-Garonne (Sdegh), elle met tout en œuvre pour remettre en état le réseau
d’éclairage le plus rapidement possible.