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La communauté d’agglomération du Sud-est Toulousain (dite SICOVAL) lance une expérimentation qui pourrait bien accélérer la réouverture des lieux culturels en France et même au delà.

Photo : Julien Hank Fitte

Portant sur ses terres deux salles emblématiques de l’agglomération toulousaine, à savoir Le Bikini et le centre des congrès Diagora, la Communauté d’Agglomération du Sud-Est Toulousain avec l’entreprise Dassault Systèmes, vient de lancer une simulation permettant d’étudier la circulation des flux d’airs. L’objectif : analyser les risques réels de propagation du virus dans ce type de lieux et en tirer des solutions pour la contrecarrer. Inédite dans l’Hexagone, cette expérience reçoit le soutien financier de la Région Occitanie et du Département de la Haute-Garonne.

Dans un premier temps, le SICOVAL va mener cette étude de manière virtuelle en modélisant numériquement les deux salles de spectacle. À l’issue de cette première phase (qui se déroule actuellement pour se terminer d’ici 3 semaines), des tests seront menés en conditions réelles c’est-à-dire avec du public. Cette seconde phase sera bien entendu soumise l’approbation de l’Agence Régionale de Santé (ARS) qui devra donner son autorisation.

L’apport de Dassault Systèmes est son logiciel de simulation des flux d’air en milieu clos, déjà utilisé par plusieurs hôpitaux à travers le monde pour lutter contre les contaminations. Ce test réel doit permettre de :

  • Comprendre et maîtriser les flux d’air dans les salles de spectacles
  • Anticiper les risques de propagation
  • Proposer des mesures de mitigation des risques
  • Pouvoir informer le public comme le personnel travaillant dans ces lieux sur l’efficacité des mesures sanitaires mises en place.

Extrêmement précieuses, les conclusions de cette expérience pèseront lourd dans la balance lorsqu’il sera question de rouvrir les lieux culturels au public.

Photo : Dumby

D’humeur à se faire gribouiller, votre serviteur est parti en quête d’un artiste tatoueur de talent dans notre région. C’est chez Stencil Ink à Rieumes que j’ai enfin trouvé ce que je cherchais en la personne de Fat, un grand costaud au cœur tout choco.

À défaut d’être tombé dedans quand il était petit, Fat est venu au tatouage en combinant passion, travail et univers fantastique. «À l’école, je customisais les premières pages des agendas de mes copains. Je dessinais plus que ce que j’écrivais !» lance-t-il dans un éclat de rire. Avoir un coup de crayon est une chose, le rendre professionnel est déjà plus ardu. À force de travail, il rentre dans la vie active en tant que dessinateur illustrateur. En parallèle, il nourrit ses passions pour la Custom Culture (notamment les grosses motos américaines qui font beaucoup de bruit), le punk rock (comme bassiste dans le feu groupe Propagandass) ainsi que l’univers des BD, comics et autres mangas.

Il a tout juste 16 ans lors de son premier tatouage. Bien qu’il se sente appelé par ce milieu, il n’ose pas s’y aventurer de suite. Le caractère permanent de l’œuvre apposée sur une personne l’impressionne beaucoup. Alors il apprend, terrasse ses craintes par force de travail et un beau jour, il se lance. 1 an d’apprentissage rigoureux plus tard, il devient professionnel. Il tatoue désormais depuis 2 ans dans un style graphique en dotwork : « j’aime cette technique car elle apporte du frais dans le domaine, cela donne des tattoo plus aériens ». Le Corse de 38 ans n’est pas pour autant sectaire, au contraire. Grand fan de Sailor Jerry ou de l’Oiseau (Perpignan), il sait apprécier les belles créations et regarde toujours le travail des autres de manière positive.

On retrouve cette humilité et curiosité lorsqu’on lui parle d’un projet de tatouage. Totalement à l’écoute, il ne manque pas de questionner avec un humour certain (ou un certain humour selon si vous aimez ou non Raymond Devos) afin de vous proposer un projet qui vous siéra parfaitement. D’apparence grand méchant biker, il cache une sensibilité exacerbée qui le pousse constamment à se mettre à la place de son client. Parfait pour celles et ceux qui ont besoin d’être accompagnés pour sauter le pas.

Pour lui, la question du tatouage dépasse le simple dessin sur la peau. Méthodique, sensible et humble, Fat n’a pas fini de faire parler de lui…

Instagram : @fatthieu PF
Mail : matthpf@gmail.com

 

Si vous avez une folle envie de jet d’objets contondants et que vous trouvez les fléchettes un peu légères, vous allez adorer le lancer de haches.

Situé à Balma, Ap’Hache propose dans une salle aux allures de cabane canadienne, 5 couloirs sécurisés pour envoyer gaiement du Tomawak sur une cible située à 4 mètres de distance.Chaque partie commence par cinq minutes d’instruction, puis 15 minutes d’échauffement pour se familiariser avec la hache et appréhender la technique spécifique du lancer et elle se terminera par 45 minutes de compétition.Dans un premier temps, on est tenté d’envoyer l’outil le plus fort possible histoire de bien le planter fort. Or, on réalise vite que la technique prime sur la puissance. Inutile d’avoir les bras de Paul Bunyan pour faire un joli score, il suffit d’écouter les conseils avisés de Stéphane, le trappeur en chef (la légende dit qu’il est capable d’émasculer une mouche à 20 pas). Tenez vous droit, lame perpendiculaire à la cible et lâchez le manche au bon moment pour que le Tomawak puisse faire un tour complet sur lui-même. Le bruit de l’acier qui se plante dans le bois traduisant la réussite de la tentative est extrêmement satisfaisant.

Pour vous occuper entre deux lancers , la salle propose un petit bar où seront servies les bières Pin Up, une production maison. Merci de ne pas en boire 3 litres avant de jouer.

Le légendaire Paul Bunyan

Après 1h de partie, le résultat est sans appel : cette activité est tout simplement géniale. La technique s’acquiert rapidement et la compétition entre amis déclenche fou rires et applaudissements. Allez-y. Promis ça va vous plaire.Ap’Hache
14 Rue Louis Renault, 31130 Balma
http://www.ap-hache.fr/
06 87 08 05 87
Fb : @AphacheBalma