Bonne nouvelle pour l’environnement, Colomiers poursuit pleinement son projet de Maison de la Transition Écologique ! Cet équipement municipal a pour but d’informer à la préservation de l’environnement grâce à des méthodes pédagogiques et innovantes.

Se situant à la frontière entre le village et la ville nouvelle, il fera place à l’initiative citoyenne pour favoriser la participation des citoyens aux engagements écologiques. Les enjeux écologiques étant en constante évolution, la MTE s’adaptera et évoluera avec le temps ainsi que les demandes et attentes des columériens. Cette maison donnera lieu à l’information et la pédagogie, elle sera ouverte à tous et toutes, aux Columériens et Columérines, aux associations, aux entreprises pour trouver de réelles solutions face aux enjeux actuels et à venir.

Conservée, rénovée et agrandie, la maison de l’ancien garde-barrière sera secondée d’un second bâtiment. Sous la forme d’une halle divisée en plusieurs cellules, il se veut fonctionnel et bien entendu construit dans une optique de préservation des ressources. S’ouvrant largement sur l’extérieur par de grandes portes, cette halle proposera une vraie continuité entre le parvis, la terrasse extérieure et son espace intérieur. L’espace vert aux alentours connaîtra un véritable travail de paysagiste visant à mettre en valeur toutes ses capacités et ressources : jardin d’eau, potager, un jardin chameau… toujours dans une démarche pédagogique et participative.

Ce projet s’engage dans la démarche « Bâtiment Durable Occitanie” et ambitionne une reconnaissance “or”. Ce référentiel évalue les aspects économiques, sociaux et environnementaux en fonction des spécificités locales.

Le projet sera accompagné d’un Conseil Citoyen des Transitions Écologiques (CCTE). Il aura pour vocation d’accompagner la Ville de Colomiers pour impulser et diffuser de nouvelles pratiques sur le territoire.

On espère vous retrouver lors de l’inauguration prévue fin 2023, début 2024 de ce futur espace fédérateur pour la Ville de Colomiers.

Un article par Inès Restivo et Aline Theillaumas