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Les fortes chaleurs de ces derniers jours sont une aubaine pour les sites de location de piscines entre particuliers. Un marché qui se développe. 

Pour résister aux chaleurs caniculaires, rien de tel que de piquer une tête dans l’eau. Des collègues de bureau ont justement décidé de s’offrir ce petit luxe à quelques kilomètres de leur lieu de travail habituel. « Dans nos bureaux, on n’a pas la clim’, donc on s’est dit qu’on pourrait passer un moment convivial tous ensemble à venir travailler » à côté d’une piscine. Pour elle et son équipe, il en coûtera environ une trentaine d’euros par personne pour l’après-midi.

Surfant sur le succès d’Airbnb pour la location saisonnière, plusieurs start-up se sont lancées ces dernières années dans la location de certains espaces plus restreints comme les jardins ou les piscines. C’est le cas notamment de Swimmy, Kiwiiz, Louerunepiscine.com ou encore Jardins-prives.com. Ces sites permettent aux propriétaires de rentabiliser leur piscine, dont ils ne se servent pas nécessairement en permanence. La France compte environ 2,5 millions de piscines, selon le dernier bilan annuel de la Fédération des professionnels de la piscine. L’Hexagone est même le 2e marché mondial pour la piscine, derrière les Etats-Unis. L’offre potentielle est donc conséquente.

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Dans un secteur qui évolue de jour en jour, Immo-Solo innove en aidant les propriétaires à mettre en valeur leur bien immobilier de façon professionnelle, tout en économisant 100% des honoraires d’agence.

Le concept d’Immo-Solo est né dans l’esprit d’Annick et Hubert, deux quinquas bondissants, à la lecture d’un sondage : 70% des propriétaires qui vendent un bien immobilier préfèreraient se passer d’agence. Mais le duo fondateur de la start-up a aussi été frappé, au cours de ses propres recherches de biens à acheter, par l’aspect généralement très amateur des petites annonces de particuliers. Rendre ces biens visibles et crédibles tout en laissant les propriétaires piloter de manière autonome la diffusion de leur annonce et la gestion des visites. Depuis fin 2018, l’entreprise accompagne les propriétaires qui décident de mener par eux- mêmes la vente de leurs biens immobiliers. Le service est disponible pour l’instant sur le Gers et la Haute-Garonne et s’étendra rapidement au reste de la France.

PAS DE COACHING MAIS UN ACCOMPAGNEMENT À L’AUTONOMIE

5 outils professionnels d’exception sont mis à disposition des propriétaires :

  • une annonce qui accroche
  • des photos remarquables
  • des centaines de fl yers à distribuer dans leur quartier
  • un dossier de vente absolument exhaustif, rarement vu même pour des biens immobiliers haut de gamme
  • un guipe pratique complet et fiable

DES ÉCONOMIES DE 10 000 € À… BEAUCOUP PLUS

Avec cette solution, les vendeurs économisent également  les frais d’agence qui s’élèvent souvent à des dizaines de milliers d’euros. Et ne doivent plus débourser qu’une somme forfaitaire « tout compris » en fonction du pack correspondant à leur taille de logement (- de 100 m2, + de 100 m2 ou vastes domaines). Le positionnement original d’Immo-Solo est donc de proposer des services d’agence… de communication pour ne plus devoir passer par une agence… immobilière !

100% DES BIENS VENDUS DANS UN DÉLAI DE 15 JOURS À 1 MOIS

De ces premiers mois d’activité, Immo-Solo a pu dresser un bilan très positif de son concept : « 100% des propriétaires qui nous ont confié la valorisation de leur bien grâce à notre pack d’outils professionnels ont vu se réaliser leur vente dans un délai record de 15 à 28 jours. » a constaté Hubert.

Si vous cherchez à vendre un bien, ces arguments vous amèneront sûrement à contacter Immo-Solo.

Annick Ohayon – Tél. 06 78 72 55 27
Hubert Sauner – Tél. 06 11 02 87 27
www.immo-solo.com contact@immo-solo.com

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C’est lors de la journée dédiée à l’innovation organisée par la municipalité de Colomiers que nous avons découvert le Bizlab d’Airbus. Établi dans un bâtiment derrière le Delivery Center Airbus, ce Bizlab a pour vocation d’accélérer le développement des start-ups qu’il héberge. Venues du monde entier, elles se voient, après sélection, accorder une aide de 50 000€ pour 6 mois de travail.
L’originalité de cette structure est qu’elle est ouverte à tout porteur de projet, qu’il soit déjà employé chez Airbus ou non, bien qu’au final, 42 des start-up hébergées signent une collaboration avec Airbus au terme de cette phase. L’intérêt pour le constructeur aéronautique est évident. De par son dynamisme et son fonctionnement, cette formule attire les idées les plus innovantes. Du coup, les sujets des porteurs de projets sont extrêmement vastes : drones, applications, matériaux, tout y passe dans cet établissement aux pièces éclectiques. Les bureaux reflètent parfaitement les recherches en cours. Le décor change dès que l’on fait quelques pas, allant de la collection d’objets imprimés en 3D à l’alignement parfait de MacBook dernier cri pour finir sur un atelier digne de Géo Trouvetout. Le seul point commun de ces passionnés studieux est la recherche de résultat dans leurs travaux. La technologie de demain se trouve peut être dans l’une d’entre elles…

Bruno Gutierres, directeur du Bizlab est loin du chef rigide et froid. Souriant, connaissant chaque personne qui travaille dans les locaux, il se place plus comme un capitaine que comme un directeur enfermé dans un vaste bureau. Résultat, tout le monde se sent bien et travaille avec envie. Comme quoi le management basé sur le bien être du salarié se montre productif…

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On a tous vécu ce moment où le seul moyen de paiement que l’on a sur nous est la carte ; tandis qu’en face de nous, le commerçant ne dispose pas de lecteur. Dilemme alors qu’aujourd’hui, la carte bancaire est le moyen de paiement préféré des français. Lorsque l’on se penche de plus près sur la question, on se rend pourtant compte que près de 2 entreprises sur 3 sont dans ce cas et ne possède pas de terminaux.

Pourquoi autant d’entreprise n’en possèdent-elles pas ? Frais bancaires élevés, abonnement coûteux et dépendance à une banque par un contrat sont les raisons principales de ce manque à gagner, notamment pour les TPE (très petites entreprises) qui n’ont pas les fonds nécessaires.

C’est pour palier ce manque, très pénalisant pour le chiffre d’affaires des petits commerces, que la start-up française Smile and Pay* a vu le jour en 2014. Cette jeune entreprise propose via son site www.smileandpay.com de recevoir sous 48h un boitier d’encaissement, que l’on peut ensuite relier à un smartphone via bluetooth.

Une offre sans engagement ni frais caché et dont Smile and Pay ne prélève qu’une faible commission de 1,2 à 2% HT en fonction du volume de transaction réalisé. En d’autres mots, si pendant une période il n’y a pas d’encaissement par carte bancaire, alors il n’y a pas de commission prélevé par Smile and Pay* !

Un système innovant qui permet aux entreprises saisonnières, aux start-up et aux commerces n’ayant que peu d’encaissement par CB de ne perdre aucun client, mais aussi de subir moins de vol et d’impayés. Il ne vous reste plus qu’à sourire et payer* !

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