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Dans cette maison créée en 1897 dans le nord du Lot près de Souillac, ce ne sont pas moins de cinq générations qui relayent un savoir-faire d’exception. En période de fêtes, on se fait plaisir avec de la truffe fraîche, que l’on conserve cinq à six jours maximum avant dégustation. Un produit d’excellence qui exprime pleinement son goût s’il est utilisé dans des recettes simples. On optera davantage pour un risotto, des pommes de terre, ou des oeufs brouillés par exemple. « Il faut mettre au moins 12 à 15 grammes de truffe par personne pour profiter de sa saveur », explique Pierre-Jean Pebeyre, président de la maison.

© photo : Maison Pebeyre

Ceux qui n’auraient pas le budget se laisseront quant à eux tenter par un beurre ou une sauce à la truffe, beaucoup moins chers et plus simple d’utilisation. La meilleure des astuces culinaires : se laisser guider par les conseils avisés des experts de la maison « Pebeyre ».

 

Festival de Saint-Céré

Du 18 juillet au 18 août

Photo Lib/Alain Wicht Fribourg

Du 18 juillet au 18 août, l’art lyrique envoute les plus beaux bâtiments de la vallée de la Dordogne et de Cahors. 

Pour cette nouvelle édition, le festival renouvelle son ambition de fêter l’opéra hors des sentiers calibrés. Il investit les théâtres, enchante les châteaux, et rayonne dans les cours de la région. C’est ainsi que chanteurs et musiciens, habitués de l’événement ou jeunes découvertes, se partageront les scènes. Le Théâtre de l’Usine de Saint-Céré accueillera les Sonates Scarlatti, le Salon de la Préfecture de Cahors rendra hommage à Vivaldi, et l’Abbatiale de Beaulieusur-Dordogne mettra la musique française du XVIII ème siècle à l’honneur. Autant d’univers qui résonnent en choeur, pour faire de ce rendez-vous un moment unique et hors du temps. L’opéra quant à lui met un coup de projecteur sur les femmes lors de cette 38ème édition.

Avec « Les Noces de Figaro », Mozart parle de celles qui revendiquent leur liberté. Avec « La Traviata », Verdi nous conte l’histoire d’un amour au féminin, qui aime malgré la maladie, malgré les interdits et les clivages sociaux. Offenbach dresse quant à lui un tableau de trois femmes rêvées, un idéal à jamais inaccessible. La musique porte ainsi des fables et les transmet… Un projet ambitieux, poétique, mais surtout un pari d’enchantement… gagné !

www.festival-saint-cere.com