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Du 1er au 30 novembre 2022, la Ville de Colomiers accueille une nouvelle édition du Mois de l’économie sociale et solidaire. Objectif de cet événement national : faire rayonner l’ESS et faire connaître ses apports pour notre société, mais aussi mettre en lumière les pratiques locales et la Mijoteuse, lieu d’accompagnement à la création d’activités à Colomiers et à l’économie sociale et solidaire, située à Colomiers.

« Notre volonté est de stimuler la coopération afin que chacune et chacun puisse participer à cette démarche, à sa hauteur », souligne Cédric Aït-Ali, Adjoint à Mme le Maire délégué à l’Économie sociale et solidaire et à la ville fertile.

Pour cela, l’événement maillera l’ensemble du territoire et comptera sur la participation de nombreux partenaires :

  • Atelier cuisine par le Lab culinaire de la Mairie de Colomiers et Les mamas vous régalent, à l’ancienne école Paul-Bert, 
  • Conférence sur l’éco-anxiété à la Mijoteuse par Hypersens, 
  • Visite inclusive du Festival BD, avec Un Jeu d’enfant Colomiers 
  • Marche solidaire en partenariat avec le Guichet Atout seniors, Colomiers Retraite active et les Petits Frères des pauvres, 
  • Cin-échanges au Grand Central 
  • Recensement des boîtes à lire de Colomiers.

Fête des bons plans, bourse aux jouets, bicy-troc et vide-greniers

Le premier week-end de novembre accueillera le premier temps fort de ce Mois de l’ESS au hall Comminges. Au programme du samedi 5 novembre 2022 :

  • La Fête des bons plans de 10h à 13h et de 14h30 à 18h,
  • Bicy-troc, une braderie de vélo en partenariat avec l’USC Cyclotourisme, de 10h à 13h et de 14h30 à 17h,
  • Une bourse aux jouets de 10 heures à 12h30 : l’entrée est gratuite pour les exposants qui feront le don d’un jouet au Secours populaire,
  • Un vide-greniers d’articles pour faire soi même (laine, fil, tissu…), de 14h30 à 18h.

Les inscriptions pour la bourse aux jouets et le vide-greniers sont ouvertes : toutes les infos pratiques sont à retrouver dans les flyers joints à ce communiqué.

Anglicisme qualifiant un défi personnel de ne pas boire d’alcool pendant tout le mois de janvier, Dry January est un phénomène qui gagne en puissance. Pourquoi ne pas sauter le pas?

Alors que la France reste un des plus gros consommateurs d’alcool avec 11,7 litres d’alcool pur consommé par an et par personne de plus de 15 ans*, Dry january s’annonce comme un véritable défi. En effet, les occasions  de « craquer » ne manquent pas : anniversaires, apéros et autres 3ème riment régulièrement avec boire un coup. Si cette consommation récréative n’est pas problématique en soi, y rester pleinement étanche est au final fort compliqué. Pourtant, se lancer dans l’expérience ne manque pas d’atouts.

À l’origine, le Dry January est une expérience britannique lancée par Alcohol Change UK en 2013. Depuis, les effets de cette opération on pu être mesurés. On imagine aisément les premiers apports d’un tel défi, comme le gain d’argent (parce que c’est pas donné au final) ou la meilleure santé générale. On y ajoutera également un sommeil amélioré (donc plus d’énergie pour la seconde bonne résolution de l’année qui est de se remettre au sport hein…), une peau fraiche et plus belle mais également le sentiment de victoire d’avoir accompli cette mission.

Deux optiques s’offrent à vous pour ce Dry January : effectuer votre quête en solo ou en groupe ; avec vos amis ou en prenant appui sur la structure proposée par le site dédié . En effet, vous pouvez vous inscrire (en cliquant ici ) et ainsi recevoir plusieurs emails par semaine avec des astuces, des histoires d’autres participant·e·s et des conseils pour vous aider à vivre un mois de janvier pas comme les autres.

* Sondage annuel réalisé par Santé Publique France.