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Après la rénovation de la place de la Bascule, de la rue d’Auch et du Seycheron, le Village connait une nouvelle étape avec le réaménagement de la Rue Gilet et ses voies annexes. Les travaux démarrent mi-juillet 2024 et s’organiseront jusqu’en octobre 2025.

La Ville de Colomiers et Toulouse Métropole investissent 5,5 millions d’euros pour redynamiser le Village en tant que lieu de vie et d’activités, pour que chaque génération puisse prendre plaisir à s’y rendre, à s’y déplacer sereinement et en toute sécurité.

Un village attractif et sécurisé

L’aménagement de la Rue Gilet revêt plusieurs enjeux :

  • Renforcer l’attractivité commerciale et améliorer le cadre de vie par de nouveaux aménagements urbains
  • Apaiser les circulations entre véhicules motorisés, piétons et cycles
  • Faciliter les connexions avec le pole multimodal de la Gare et le Centre-Ville
  • Mettre en valeur nos espaces publics et notre patrimoine architectural et végétal

La rénovation de notre Village est une des priorités de notre mandat tant il est un lieu emblématique de l’identité de notre commune. Il est primordial de lui restituer son attractivité (…)
Notre place Joseph-Verseille redevient la place centrale piétonne, propice à la rencontre mais aussi à de nouveaux événements.

Ce qui va changer

Le projet qui s’étend de la Rue Gilet jusqu’à la place Firmin-Pons aura de multiples bénéfices pour les usagers : rénovation de la voirie et des trottoirs, amélioration du cadre de vie et des circulations douces, de l’accessibilité aux services, végétalisation des espaces publics…

Principaux aménagements

  • Rue Gilet : création d’une Vélo Rue, ponctuée de plateaux traversants, élargissement des trottoirs, sécurisation des modes de déplacements doux, maintien du stationnement et des zones bleues, valorisation des entrées du parc, végétalisation ponctuelle en pied de façade (côté rue d’Auch)
  • Rue Chrestias : bande cyclable, sécurisation de l’entrée, continuité piétonne
  • Place du 19 mars 1962 : continuité piétonne, plantation d’arbres, création d’un îlot de fraîcheur

Les places Verseille et Lahille seront reliées avec des usages complémentaires :

  • Place Verseille : création d’une place piétonne, fontaine à boire, préservation des platanes, agrandissement du parvis à l’arrière de l’école, accessibilité PMR des bâtiments publics, voie pompiers/services
  • Square Lahille : stationnement, désimperméabilisation du sol, conservation des platanes et de la statue, sécurisation des continuités et traversées piétonnes vers le Parc Duroch et la rue Chrestias 
  • Parvis et jardin de l’Église : embellissement du parvis et du jardin, création d’un parcours piéton, stationnements dont zones bleues
  • Rue de l’Eglise et traversée du pont : sécurisation des croisements, continuité piétonne, création d’une rampe d’accès PMR pour l’accessibilité du collège et du centre médico-psychologique
  • Place Firmin-Pons : création d’un giratoire et d’un plateau traversant devant la Maison Petite Enfance, élargissement des trottoirs et amélioration de l’entrée du Jardin des amoureux.

Déplacements apaisés

L’ensemble du périmètre passe en zone 30, ponctuée de plateaux ralentisseurs pour concevoir des espaces publics plus conviviaux et fonctionnels.
Avec la Vélo Rue, les cyclistes seront prioritaires, les véhicules partageront la chaussée. Les piétons pourront se déplacer en toute sécurité sur des trottoirs élargis et accessibles.
Les continuités piétonnes et cyclables seront assurées pour améliorer les connexions entre le Village, le Centre et la Gare.

Végétalisation

Dans la continuité du pacte de transition écologique, le projet intègre la végétalisation des espaces comme la préservation des plantations existantes.

Mobilier et éclairage public

Des assises et des appuis vélo ponctueront l’ensemble du parcours
L’éclairage public sera rénové pour améliorer l’éclairement, réduire la pollution lumineuse et la consommation énergétique.

Accessibilité bâtiments

En complément du dispositif métropolitain « cœur de quartier », la Ville poursuit la mise en accessibilité de ses bâtiments publics dans le périmètre :

  • les studios de danse du Conservatoire
  • la Potinière et l’auditorium Jean-Cayrou au parc Duroch
  • les locaux de l’Éducation nationale place Joseph-Verseille

Etapes et calendrier

  • Désignation de la maîtrise d’œuvre : juin-septembre 2021
  • Étude préliminaire : octobre-décembre 2021
  • Étude et avant-projet par l’agence « Dessein de Ville » : 2022
  • Procédure marchés publics : 2023 – mai 2024
  • Démarrage des travaux : 15 juillet 2024
  • Fin des travaux : fin octobre 2025

Une rénovation en 9 phases

Les travaux seront dérouleront en plusieurs phases selon un calendrier défini (voir plan ci-dessous) :

  • Désamiantage de la chaussée
    De Firmin-Pons à la rue d’Auch : Du 26 au 30/08/2024 (jour et nuit)
  • Phase 1 : Parking Coteau, du 15/07/24 au 30/08/24
  • Phase 2 : Secteur Firmin-Pons, du 3/09/24 au 26/11/24
  • Phase 3 : Du pont à la rue Chrestias, du 15/10/24 au 28/04/25
  • Phase 4 : Église et jardin, du 29/11/24 au 9/02/25
  • Phase 5 : Rue Gilet Sud, du 28/04/25 au 27/06/25
  • Phase 6 : Square François-Lahille, Du 1/05/25 au 16/07/25
  • Phase 7 : Rue Chrestias, du 7/07/25 au 24/10/25
  • Phase 8 : Place Joseph-Verseille, du 16/07/25 au 16/09/25
  • Phase 9 : Place du 19 mars, du 9/10/25 au 22/10/25

Accès pendant les travaux

Durant toute la durée du chantier, la rue Gilet reste accessible aux voitures, vélos et piétons.

  • Les accès aux commerces et services sont maintenus. 
  • Un sens de circulation sera en permanence garanti, complété par des itinéraires de déviation. 

Le suivi du chantier est assuré par Toulouse métropole, pole Projets espace public du Territoire Ouest.

+ d’infos : Toulouse Métropole : 05 67 73 87 77

Financements

Ce projet a vocation à réaménager et à requalifier les espaces publics. L’opération s’appuie sur trois volets dont le financement est réparti comme suit :

  • Voirie : enveloppe locale dédiée à Colomiers par Toulouse Métropole
    Étude : 450 000 euros
    Travaux : 5 000 000 euros
  • Éclairage public
    Sdehg (50%) et la Ville (50%)
  • Accessibilité des bâtiments publics
    État (20 %)
    Région Occitanie / Pyrénées – Méditerranée (7%)
    Département de la Haute-Garonne (12%)
    Ville de Colomiers (61%)

Concertation

Le projet a été mené dès la phase de diagnostic en concertation avec les différents usagers : riverains, commerçants, associations, services publics et passants…

Des micro-trottoirs, des entretiens individuels, des ateliers « Focus groupe » et des réunions publiques ont été réalisés pendant la phase d’étude.

Entretiens et micros-trottoirs

  • de janvier à mars 2022

Atelier usagers « Focus groupe »

  • Lundi 30 mai 2022
  • Lundi 4 juillet 2022
  • Mardi 13 septembre 2022
  • Jeudi 8 décembre 2022

Réunions publiques

  • Mardi 17 mai 2022
    Présentation du diagnostic et des enjeux
  • Lundi 12 décembre à 20h
  • Jeudi 26 janvier 2023
  • Lundi 25 septembre 2023

Au 1er juillet 2024, l’ensemble du territoire de la ville de Colomiers passera aux 30 km/h, afin de limiter la pollution et de veiller à la sécurité des habitantes et des habitants. Seule une vingtaine d’axes restera à 50km/h.

Avec ce passage aux 30km/h sur tout le territoire, la Ville de Colomiers confirme son engagement en matière de transition écologique.

Le 30 km/heure deviendra ainsi la règle : seule une vingtaine d’axes, comme certains boulevards et avenues, resteront à 50 km/h », précise Karine Traval-Michelet, Maire de Colomiers et Vice-Présidente de Toulouse Métropole.

Le choix de la Ville de Colomiers revêt plusieurs enjeux :

  • La sécurité des usagers et un meilleur partage de la voirie,
  • La diminution de la pollution et des émissions de gaz à effet de serre (GES),
  • L’amélioration du bien-être des habitantes et des habitants avec une ville plus apaisée.

En abaissant la vitesse à 30 km/h, on limite les phases d’accélération et par conséquent les émissions de GES et de particules fines, détaille Martine Berry-Sévennes, Adjointe à Mme le Maire déléguée à la Transition écologique, au patrimoine naturel et aux mobilités. L’énergie nécessaire pour passer de 30 km/h à 50 km/h est 2,25 fois plus grande : en réduisant la vitesse en ville, on limite donc la quantité d’énergie consommée ce qui a un impact direct sur les émissions polluantes et sur la consommation de carburant. »

Ci-dessous, la carte des vitesses à Colomiers à partir du 1er juillet 2024.

Report vers des mobilités douces

Avec près de 60 km de pistes et voies cyclables sur son territoire, la Municipalité anticipe également déjà le report modal des usagers vers d’autres types de mobilités, comme le vélo, la marche ou les transports en commun. « Cet effet est observé dans d’autres territoires qui ont déjà expérimenté le 30 km/h : assez rapidement, un grand nombre d’usagers utilise d’autres moyens de transports, comme le vélo », confirme Martine Berry-Sévennes.

« Il nous semble pertinent d’informer les usagers de ces évolutions dès ce mois de février pour une mise en œuvre à l’été, afin de prendre le temps de mener les actions de communication, de pédagogie et de sensibilisation nécessaires le plus en amont possible », ponctue Karine Traval-Michelet.

Colomiers, ville pionnière en matière de mobilités

Ville nouvelle construite pendant la période de l’urbanisme moderne et du tout voiture, Colomiers a toujours été pionnière en matière de mobilités :

  • arrivée du train et du tram dès le XIXe siècle,
  • construction de la première rocade urbaine régionale pour canaliser le trafic de transit,
  • création dès 1993 du premier TER métropolitain avec l’intégration tarifaire entre les gares de Colomiers et des Arènes à Toulouse, renforcée par la mise en place de la navette cadencée à partir de 2003,
  • mise en place d’un réseau de bus communal puis adhésion à Tisséo en 2016 et renforcement de la desserte avec le Linéo 2,
  • déploiement de près de 7 km de réseau express vélo sur son territoire, pour atteindre près de 60 km de pistes et voies cyclables,
  • aménagement transitoire de ‘corona-pistes’ pendant la crise sanitaire de 2020, ouvrant la voie de la transformation des boulevards en rue en limitant leur vitesse à 30km/heure,
  • expérimentation de la Rue aux enfants,
  • arrivée prochaine du métro avec deux stations à Colomiers, à horizon 2028,
  • premier axe du déploiement du service express régional métropolitain – SERM, le « RER toulousain » , à partir de 2028 avec une offre cadencée renforcée de 5h à 23h, en articulation avec le covoiturage et les modes actifs.

Engagée de longue date dans de nombreuses actions en matière de transition écologique, la Ville de Colomiers passera aux 30 km/heure sur tout son territoire à partir du 1er juillet 2024.

« Afin que la mesure soit le plus lisible possible, il nous est apparu préférable d’enclencher ce dispositif en une seule étape sur l’ensemble des voiries de la commune. Le 30 km/heure deviendra ainsi la règle : seule une vingtaine d’axes, comme certains boulevards et avenues, resteront à 50 km/h », précise Karine Traval-Michelet, Maire de Colomiers et Vice-Présidente de Toulouse Métropole.

+ de sécurité, – de pollution

Le choix de la Ville de Colomiers revêt plusieurs enjeux et objectifs :

  • La sécurité des usagers et un meilleur partage de la voirie,
  • La diminution de la pollution et des émissions de gaz à effet de serre (GES),
  • L’amélioration du bien-être des habitantes et des habitants avec une ville plus apaisée.

« En abaissant la vitesse à 30 km/h, on limite les phases d’accélération et par conséquent les émissions de GES et de particules fines, détaille Martine Berry-Sévennes, Adjointe à Mme le Maire déléguée à la Transition écologique, au patrimoine naturel et aux mobilités. L’énergie nécessaire pour passer de 30 km/h à 50 km/h est 2,25 fois plus grande : en réduisant la vitesse en ville à 30 km/h, on limite donc la quantité d’énergie consommée ce qui a un impact direct sur les émissions polluantes en ville et sur la consommation d’essence ou de gazole. »

Report vers des mobilités douces

Avec près de 60 km de pistes et voies cyclables sur son territoire, la Municipalité anticipe également déjà le report modal des usagers vers d’autres types de mobilités, comme le vélo, la marche ou les transports en commun. « Cet effet est observé dans d’autres territoires qui ont déjà expérimenté le 30 km/h : assez rapidement, un grand nombre d’usagers utilise d’autres moyens de transports, comme le vélo », confirme Martine Berry-Sévennes.

« Il nous semble pertinent d’informer les usagers de ces évolutions dès ce mois de février pour une mise en œuvre à l’été, afin de prendre le temps de mener les actions de communication, de pédagogie et de sensibilisation nécessaires le plus en amont possible« , ponctue Karine Traval-Michelet.

Colomiers, ville pionnière en matière de mobilités

Ville nouvelle construite pendant la période de l’urbanisme moderne et du tout voiture, Colomiers a toujours été pionnière en matière de mobilités :

  • arrivée du train et du tram dès le XIXe siècle,
  • construction de la première rocade urbaine régionale pour canaliser le trafic de transit,
  • création dès 1993 du premier TER métropolitain avec l’intégration tarifaire entre les gares de Colomiers et des Arènes à Toulouse, renforcée par la mise en place de la navette cadencée à partir de 2003,
  • mise en place d’un réseau de bus communal puis adhésion à Tisséo en 2016 et renforcement de la desserte avec le Linéo 2,
  • déploiement de près de 7 km de réseau express vélo sur son territoire, pour atteindre près de 60 km de pistes et voies cyclables,
  • aménagement transitoire de ‘corona-pistes’ pendant la crise sanitaire de 2020, ouvrant la voie de la transformation des boulevards en rue en limitant leur vitesse à 30km/heure,
  • expérimentation de la Rue aux enfants,
  • arrivée prochaine du métro avec deux stations à Colomiers, à horizon 2028,
  • premier axe du déploiement du service express régional métropolitain – SERM, le « RER toulousain » , à partir de 2028 avec une offre cadencée renforcée de 5h à 23h, en articulation avec le covoiturage et les modes actifs.

Dans un souci d’adaptation et de changement constant pour coller au mieux à la réalité des utilisateurs, la Ville de Colomiers va être le théâtre d’une nouvelle vague de travaux. Ainsi, le Boulevard Emile-Calvet sera concerné par la création d’un nouveau giratoire tandis que la rue du Général-De-Gaulle recevra des travaux de revêtement de voirie.

Ce boulevard du centre-ville de Colomiers se voit entièrement rénové avec la création d’un nouveau giratoire, au niveau de la rue des Garibaldiens et la rue de Limogne.

Ces travaux vont s’étendre sur une durée de trois mois de février à avril 2023. Durant les différentes phases, une voie sur deux du boulevard sera fermée à la circulation. Une déviation sera mise en place. Actuellement, la possibilité d’utiliser temporairement de la voie de bus et cyclable, dans le sens du rond-point Petit prince jusqu’à celui de la Méditerranée est autorisée.

En 2021, la première phase de travaux avait permis de sécuriser la voie bus et cycle et d’apaiser les circulations pour développer les modes alternatifs. Ce nouvel aménagement a pour vocation d’améliorer la desserte des parkings du centre-ville et à réduire les vitesses. Au-delà, il offre une nouvelle végétalisation de l’îlot central, la déminéralisation des anciennes voies de décélération et la suppression de l’ancien arrêt bus. Au total, 500m² seront végétalisés par le Pôle municipal Espaces publics.

Enfin, une réfection complète des revêtements de la voirie sera réalisée ainsi que la matérialisation des futures voies de bus et cyclables par un revêtement rouge, comme sur la rue De-Gaulle.

Le chantier est coordonné par les services de la Ville de Colomiers, de Toulouse Métropole et du Syndicat Départemental d’Energie de la Haute-Garonne pour ce qui concerne l’éclairage public. Cet investissement public représente un budget près de 800 000 euros.

Une carte interactive des travaux est à retrouver en cliquant ici.

Viennent ensuite les travaux de rénovèment de voirie rue du Général-De-Gaulle

Le revêtement de la rue du Général-De-Gaulle va être finalisé du 13 février au 3 mars 2023 à l’endroit de la nouvelle connexion entre le quartier du Val d’Aran et le centre-ville. Le plateau traversant sécurisé, les enrobés de la voirie et l’ilot central vont être réalisés sur la partie entre les ronds-points de la Méditerranée et du Languedoc. Une déviation sera organisée.

Après la démolition de la passerelle et la création des escaliers, cet aménagement marque une nouvelle étape du projet de rénovation du Grand Val d’Aran, formalisant l’ouverture de la rue du Centre vers le quartier.