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Pleinement propices à la fête, Noël et Jour de l’An riment avec retrouvailles, cadeaux et étoiles dans les yeux. Pour cette édition, nous vous avons dégoté 10 bons plans qui sortent de l’ordinaire. De quoi se régaler, voyager, s’émerveiller, par ici ou par plus loin. Que vous optiez pour une de nos propositions ou que vous optiez pour une célébration à la maison, on vous souhaite à toutes et à tous un Joyeux Noël et de très bonnes fêtes.

Image par Jill Wellington de Pixabay

Et pourquoi pas aller faire un nouvel an dans un pays lointain ? Un endroit au soleil qui tranchera radicalement avec le rude hiver ? Se dépayser sans pour autant se ruiner ? On a la solution.

Compagnie low-cost du groupe Air France-KLM, Transavia opère près de 200 lignes aériennes au départ de la France. Parmi elles, et depuis le 29 octobre, une à destination de Dakar. Répondant ainsi aux attentes de la clientèle désireuse de profiter du soleil en hiver, ce Toulouse – Dakar s’applique à raison d’un vol direct par semaine (le dimanche) à partir de 189€ TTC l’aller simple !

Si d’aventure vous n’étiez pas tentés par la capitale du Sénégal, bien d’autres destinations plus ou moins lointaines vous attendent sur www.toulouse.aeroport.fr

Airbus a inauguré sa nouvelle chaîne d’assemblage final (Final Assembly Line, ou FAL) de la famille A320 à Toulouse ce lundi 10 juillet lors d’une cérémonie à laquelle ont assisté le ministre français de l’Économie et des Finances Bruno Le Maire, le ministre français des Transports Clément Beaune, le ministre délégué chargé de l’Industrie Roland Lescure et la ministre déléguée chargée des Collectivités territoriales et de la Ruralité Dominique Faure, ainsi que des centaines d’employés d’Airbus.

« L’inauguration à Toulouse de cette nouvelle ligne d’assemblage final capable de produire l’A321 est un jalon supplémentaire dans la modernisation de notre système industriel mondial. Elle contribuera à l’augmentation de notre production pour atteindre une cadence mensuelle de 75 appareils de la famille A320 par mois en 2026, tout en répondant à la demande accrue pour l’A321, qui représente actuellement environ 60 pour cent du carnet de commandes total de la famille A320,” a declaré Guillaume Faury, Président exécutif d’Airbus. « Nous sommes heureux de voir cette nouvelle installation rejoindre notre réseau mondial de sites d’assemblage qui comptera quatre FAL à Hambourg (Allemagne), deux à Toulouse (France), deux à Mobile (États-Unis) et deux à Tianjin (Chine), toutes capables de produire l’A321.”

Cette chaîne d’assemblage final bénéficie de nombreuses innovations visant à  maximiser la qualité des produits et l’efficacité, ainsi qu’à établir de nouvelles normes en matière de santé, de sécurité et de développement durable. Ces innovations incluent le contrôle numérique de la production à l’aide de tablettes et de smartphones pour réduire la consommation de papier, la logistique automatisée pour la distribution des pièces et l’utilisation de robots légers pour l’assemblage des sections de fuselage.

Installée dans l’ancien bâtiment d’assemblage de l’A380 « Jean-Luc Lagardère », la nouvelle FAL a commencé ses opérations à la fin de l’année 2022 avec l’arrivée des premières sections de fuselage. Le  premier avion entièrement assemblé dans cette installation – un A321 – devrait sortir d’usine d’ici la fin de l’année. Cette première chaîne d’assemblage montera progressivement en cadence d’ici à 2025, employant environ 700 personnes.

Les 13, 14 et 15 octobre, 380 lots d’A380 seront mis en vente par Airbus au profit de la Fondation Airbus et de l’association AIRitage, dans le cadre d’une vente aux enchères qui se tiendra à Toulouse et sur Internet, en coopération avec le Commissaire Priseur Marc Labarbe.

La majorité de ces pièces ont été sélectionnées suite à la déconstruction de l’A380 MSN13 par Tarmac Aerosave, partenaire de la vente aux enchères et leader mondial de la gestion durable de la fin de vie des avions.

Plus de 500 éléments, en grande majorité issus de la cabine de cet appareil emblématique, seront proposés aux passionnés tels que lampes, bar, escalier, hublots, sièges, aubes de réacteur,  et même combinaison orange des pilotes d’essais de l’A380.

De plus, certaines pièces ont été peintes par des artistes contemporains pour en faire des œuvres uniques ; d’autres ont  été fabriquées à partir de chutes de matière première pour l’A380, et ont permis de donner vie à des longboards, des skates ou des surfs.

Les bénéfices de cette vente seront affectés par la Fondation Airbus et l’association AIRitage à une ou plusieurs missions humanitaires et de sauvegarde du patrimoine aéronautique.

Pour en savoir plus et avoir un aperçu des pièces proposées suivez le lien : 

https://airbus.com/en/newsroom/a-very-special-a380-auction

Coup de tonnerre ce matin sur l’ouest toulousain avec l’annonce faite le directeur exécutif en chef de l’avionneur le plus célèbre du pays : la fin immédiate de la production d’avions sur Colomiers.

Photo : Mitchbu Canon

Cette décision abrupte, on la doit non pas au monde des ailles mais bien à celui des 4 roues. Passablement contrarié par la circulation on ne peut plus dense de nos réseaux routiers, le grand patron vocifère « Ça m’a gonflé ces bouchons, on remballe !» lors d’une conférence de presse donnée ce 1er avril au Beef Saloon. Il poursuit « J’ai mis 3h pour faire Minjat/mon bureau, tout ça à cause d’une Zoé en panne sur la file de gauche ! C’est mare, on plie boutique. »

Et pour quelques merguez de plus

C’est en effet lors de sa (longue) quête pour réaliser un barbecue ce week-end que tout s’est déclenché
« Que le temps soit dégueulasse passe encore, mais 3 heures foutues pour un kilo de merguez, sérieux c’est abusé » ne décolère pas l’homme d’affaire. Il doit ainsi annoncer dans les jours qui viennent son plan de retrait des moyens de production qui, d’après nos informations, devraient s’installer à Soumoulou en Nouvelle-Aquitaine.

Domino Day

Suite à son intervention, des voix se sont élevées de la part de différents sous-traitants de premier ordre. Ainsi, Jade Orleblagues, directrice de Dénichebourg, pense elle aussi au retrait de ses moyens de production sur le territoire : « Ce que mon confrère et ami a vécu nous ramène à notre réalité. Pour ma part, j’ai raté le dernier Foie Gras Show chez l’Apéricave le mois dernier à cause des bouchons. La situation n’est définitivement plus viable »

Reste alors l’épineuse question des immenses bâtiments bientôt désertés. À l’affût, le Bowling Stadium de Colomiers serait sur les rails pour un projet inédit de karaoké en réalité virtuelle sur glace.

Un article de G.Menti

Les jeunes étudiants motivés par les métiers manuels et à la recherche d’une formation courte et opérationnelle sont invités à venir découvrir les métiers de  l’aéronautique et les formations proposées par le Lycée Airbus telles que les Bac Professionnels et autres formations complémentaires, samedi 19 mars de 8h00 à 12h30. Cette année, cette journée portes ouvertes se fera en présentiel dans le respect des règles sanitaires en vigueur.

Pour faire face à la reprise dans le secteur aéronautique et notamment répondre à l’augmentation des cadences de production d’avions, le lycée offrira cette année 20 pour cent de places supplémentaires dès la rentrée prochaine.

Les formations en Bac professionnels se déroulent en trois ans, sous statut scolaire dans un premier temps, puis en apprentissage avec Airbus ou l’un de ses partenaires. Elles s’adressent à des filles et des garçons possédant un niveau minimum de classe de 3ème et âgés de 15 à 18 ans. Une forte motivation pour le travail manuel et en équipes est indispensable pour être à même de travailler plus tard sur les sites de production aéronautiques. En 2021, à l’issue de leur formation, près de 95% des élèves ont été recrutés chez Airbus ou chez l’un de ses partenaires.

A propos du Lycée Airbus
Créé en 1949, situé au cœur de l’usine d’Airbus Saint-Eloi à Toulouse, le Lycée Airbus présente la spécificité d’immerger les élèves, dès le premier jour, dans la vie de l’entreprise : les salles de cours et les ateliers sont situés au sein de l’usine et les élèves partagent les mêmes conditions de travail que leurs futurs collègues : culture et fonctionnement d’entreprise, restaurant d’entreprise,… Le Lycée Airbus est lié par un contrat d’association au Ministère de l’Education Nationale, avec un corps d’enseignants composé d’une part de professeurs de l’Éducation nationale, et d’autre part, de professionnels issus de l’entreprise.
L’enseignement y est gratuit et les élèves peuvent bénéficier de la réversion des bourses d’Etat, conformément à la réglementation en vigueur. Une centaine d’élèves sortent diplômés chaque année du Lycée Airbus. 
Plus d’informations sur :  http://www.lyceeairbus.com/

De plus, cette année, un nouveau diplôme CAP Aéronautique sera proposé aux 18-25 ans déjà en possession d’un CAP, d’un Bac Pro autre que aéronautique ou d’un Bac technologique. Par ailleurs, la mention complémentaire Technicien(ne) en Peinture Aéronautique est aussi une des formations proposées au Lycée Airbus.

“Le Lycée Airbus est une formidable opportunité pour les jeunes filles comme pour les jeunes garçons motivés par les métiers manuels de découvrir et d’apprendre un métier dans un secteur en fort développement qui offre à nouveau de nombreuses perspectives d’emplois.” a mentionné Nicolas Coadou, directeur du Lycée Airbus. “Le Lycée Airbus est l’un des rares lycées d’entreprise existant encore en France. Cette spécificité nous permet d’offrir aux élèves une formation au plus près de la réalité de l’entreprise, de ses produits et de ses marchés. “ a-t-il ajouté.

Au-delà des compétences, le Lycée Airbus mise également fortement sur le développement du savoir-être au lycée et en entreprise, répondant ainsi aux exigences de la filière aéronautique.
Chaque année, plus de 300 jeunes sont formés au sein du Lycée Airbus.
Le Lycée Airbus accueille des élèves de tous horizons et propose des modalités spécifiques pour des jeunes en situation de handicap.

Les sélections au processus d’admission pour la rentrée prochaine auront lieu courant mai 2022. Les candidats admissibles passeront ensuite un entretien de motivation et une épreuve de dextérité début juin 2022. 

Lycée Airbus : Usine Airbus Saint-Eloi, 57 chemin du Sang de Serp –Toulouse
(Métro ligne B, station Canal du Midi) – Tel : 05 61 93 55 11.

Photo : Julien Fitte

C’est une bonne nouvelle dans ce contexte de morosité et de couvre feu : la compagnie grecque Sky Express a signé ce mercredi 14 octobre 2020 un ordre ferme d’achat pour quatre A320neo. C’est la première commande pour Airbus depuis le mois d’août. C’est la seconde bonne nouvelle de la semaine pour l’avionneur après l’annonce du plan social qui ne provoquera pas de licenciements secs.

Lueur d’espoir cette nouvelle reste cependant loin des 94 avions commandés par mois en 2019. Stratégiquement parlant, Sky Express arrive comme étant un nouveau client pour Airbus ce qui renforce son catalogue d’acheteurs. Christian Scherer, directeur commercial d’Airbus, salue cette nouvelle en ces mots « Il s’agit d’une mesure audacieuse pour le développement de cette compagnie aérienne et nous sommes fiers d’y contribuer avec l’A320neo »

Le personnel d’Airbus rassuré Photo archive : Julien Fitte

Ayant subi (et la subissant toujours) la crise du Covid, le moteur économique de l’ouest toulousain se voyait sous la menace de licenciements secs depuis l’annonce du 14 septembre de la part de Guillaume Faury (directeur exécutif Airbus) Ce dernier estimait « peu probable que les départs volontaires suffisent » a remplir l’objectif établi.

Cette perspective des plus sombre a fait monter au créneau les syndicats, bien décidés à éviter la catastrophe socio-économique du licenciement sec. En accord avec la direction et scellé par deux accords signés lundi 12 octobre 2020, cette option est abandonnée dans le cadre d’un plan de sauvegarde de l’emploi et sur l’activité partielle de longue durée (APLD).

Divers leviers ont été sollicités pour ce faire, comme les retraites anticipées, le dispositif Corac (Conseil pour la recherche aéronautique civile qui vise notamment à développer l’avion vert) ou encore les départs à la retraite. Tous ces axes ont permis d’atteindre le seuil des zéro départs contraints, bouclant quasiment ce plan social qui vise près de 5000 emplois chez Airbus, Stelia et ATR. Quasiment car deux points seront fait au premier trimestre 2021 afin de déterminer si les départs volontaires sont conformes aux estimations. Dans le cas contraire, d’autres négociations seraient ouvertes.

© Airbus

Airbus a dévoilé ce jour trois concepts préfigurant ce que sera le premier avion commercial zéro émission au monde. La mise en service de ces engins est prévue en 2035. Chacun de ces concepts présente une approche différente du vol zéro émission, notamment en termes d’autonomie et de capacités d’embarquement. Avec des lignes inédites, ils explorent diverses pistes technologiques et configurations aérodynamiques afin de soutenir l’ambition d’Airbus qui entend se positionner comme chef de file dans la décarbonisation de l’industrie aéronautique. En effet, le transport aérien grandissant entraine fatalement une hausse des émissions qui n’est actuellement plus soutenable.

Tous ces concepts utilisent l’hydrogène comme source d’énergie principale. Cette piste est selon Airbus, exceptionnellement prometteuse comme carburant aéronautique propre. Elle pourrait permettre à l’industrie aérospatiale et à de nombreux autres secteurs (comme l’automobile) d’atteindre leurs objectifs de neutralité climatique là ou l’électrique est peine à trouver son autonomie.

« Il s’agit d’un moment historique pour l’ensemble du secteur de l’aviation commerciale, et nous entendons jouer un rôle de premier plan dans la transition la plus importante que notre industrie ait jamais connue. Notre vision d’un avenir “zéro-émission” pour l’aviation est audacieuse, et les concepts que nous dévoilons aujourd’hui livrent au monde un aperçu de notre ambition en la matière », a déclaré Guillaume Faury, CEO d’Airbus. Il poursuit « Je suis convaincu que l’hydrogène, utilisé aussi bien dans les carburants synthétiques que comme source d’énergie primaire, peut permettre de réduire significativement l’impact climatique de l’aviation.»

Tous désignés sous le nom de code « ZEROe », ces trois concepts d’avion commercial zéro émission au monde sont:

Un concept de turboréacteur  (120-200 passagers) capable d’effectuer des vols intercontinentaux de plus de 3500 km et alimenté par une turbine à gaz modifiée fonctionnant à l’hydrogène, au lieu du kérosène, par combustion. L’hydrogène liquide sera stocké et distribué grâce à des réservoirs situés derrière la cloison étanche arrière.

© Airbus

Un concept de turbopropulseur  (capable d’embarquer jusqu’à 100 passagers) utilisant un moteur turbopropulseur au lieu d’un turboréacteur, également alimenté par la combustion d’hydrogène dans des turbines à gaz modifiées, et capable de parcourir plus de 1800 km. Une option idéale pour les vols court-courriers.

© Airbus

Un concept d’aéronef à fuselage intégré  (jusqu’à 200 passagers), dont la voilure se fond dans le fuselage principal de l’appareil et qui présente un rayon d’action comparable à celui du concept de turboréacteur. Le fuselage exceptionnellement large offre de multiples possibilités pour le stockage et la distribution d’hydrogène, ainsi que pour l’aménagement de la cabine.

© Airbus

Pour le moment, ces projets sont encore en cours d’étude. Au regard de la technologie totalement innovante qu’ils emploieront, ils entraineront également de profondes modifications des infrastructures comme les aéroports ainsi que les circuits d’alimentation et de stockage en hydrogène.

Malmené par la crise, Airbus tient grâce à ses efforts en recherche et sa projection dans le futur, une occasion exceptionnelle de renouveler un secteur durement touché. S’alignant sur les exigences écologiques de demain, ce projet ZEROe incarne un avenir responsable et prometteur.

Photo : Airbus

Alors que l’Etat annonce aujourd’hui un plan de 15 milliards d’euros à l’avionneur Airbus, le doute subsiste quant à l’implantation de la ligne d’assemblage du futur A321XLR pourtant annoncée en janvier.

Faute de commandes suffisantes pour son modèle A380, le bâtiment Lagardère qui abritait sa ligne d’assemblage était désigné comme le lieu de production à venir du A321XLR. Or, COVID oblige, Airbus temporise et semble étudier de nouvelles pistes pour construire son prochain modèle au grand damn des élus locaux. Par le biais d’un courrier cosigné par 40 collectivités territoriales locales, Carole Delga (Présidente de la Région Occitanie) et Jean-Luc Moudenc (Maire de Toulouse Métropole) s’adressent à Guillaume Faury (PDG d’Airbus) :

« Vous aviez annoncé en janvier 2020, l’installation sur le site Jean-Luc Lagardère d’une chaîne pour A321XLR, avion qui semble démontrer sa pertinence dans le contexte actuel (monocouloir, grande distance, transatlantique point à point). Nous comprenons, au regard du contexte, un certain décalage dans le temps de la mise en œuvre effective de ce projet. Pour autant, il est très important que l’implantation de cette nouvelle chaîne de production soit bien confirmée et lancée au plus tôt. En effet, les gros porteurs produits à Toulouse étant sans doute durablement impactés par les conséquences de la crise du Covid19, le déploiement des programmes « single aile » sur notre territoire est fondamental. »

Inquiétude manifeste donc suite à une période catastrophique pour l’entreprise qui n’a connu aucune commande lors du mois de mai.

Trafic aérien grandissant, de nouveaux couloirs de vol sont constamment étudiées. En vue d’une modification des trajectoires des avions en décollage sud-est depuis l’aéroport de Toulouse-Blagnac, une expérimentation incluant un survol de la commune de Pibrac a été menée l’an passé. Dans un courrier du 9 novembre 2019, la municipalité faisait front pour que ce couloir aérien ne voit pas le jour. En effet, outre les fortes nuisances sonores qu’il génère, son approbation conduirait à des dépréciations foncières pour tous les Pibracais. Après plusieurs interventions auprès de la Préfecture mais également auprès de la Direction générale de l’aviation civile (DGAC), la Direction de la sécurité de l’aviation civile (DSAC) a confirmé lors de deux réunions (17 et 22 janvier) l’abandon de la trajectoire en question.

En contrepartie, un autre itinéraire a été proposé. Il prévoit le décalage de la trajectoire moyenne à l’est de Pibrac, au droit de l’Aussonnelle et de zones industrielles ainsi qu’une montée plus rapide des avions qui devraient survoler ces zones à des  altitudes suffisamment élevées (supérieures à 4.500 mètres) limitant ainsi les nuisances pour les populations survolées. Pas encore pleinement satisfaite, la Ville de Pibrac va plus loin et demande son décalage encore plus à l’Est lors de la prochaine phase d’expérimentation qui devrait débuter fin février.