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Dans le cadre du programme de Ville fertile, Colomiers poursuit son ambition de développer des projets de maraîchage urbain. Lors du Conseil municipal du 8 novembre 2023, trois candidats ont ainsi été retenus pour être accompagnés dans l’installation de leur activité agricole, sur une parcelle communale dans le secteur du Bassac.

Les candidats retenus ont proposé des projets de maraîchage en agriculture biologique sur sol vivant sous forme de micro-fermes d’un hectare, en portant une attention particulière à la préservation de la ressource en eau tant dans leurs techniques culturales que dans le choix des productions.

« Lors du comité de sélection qui s’est réuni le 10 octobre 2023, nous avons collectivement décidé de travailler avec trois porteurs de projets, au lieu de retenir un candidat unique, souligne Cédric Aït-Ali, Adjoint à Mme le Maire délégué à la Ville fertile et à l’économie sociale et solidaire. La parcelle ciblée, qui compte un peu plus de 8 hectares, permettait en effet d’accueillir les trois projets. »

Relocalisation de l’alimentation

« La relocalisation de l’alimentation est plus que jamais au cœur des débats, complète Karine Traval-Michelet, Maire de Colomiers et Vice-Présidente de Toulouse Métropole. Au-delà d’une solution possible face aux enjeux climatiques, de biodiversité, de qualité de l’eau, des sols et de l’air, elle est aussi un besoin humain et une empreinte culturelle. C’est pourquoi nous avons structuré le projet de Ville fertile de la Ville de Colomiers autour de trois piliers forts : le bien-produire et le bien-manger, le vivre-ensemble et la participation citoyenne, l’éveil et l’éducation populaire. Ce projet participe également aux objectifs du Projet agricole et alimentaire métropolitain. »

Le stade de l’alerte renforcée vient d’être franchi pour le ruisseau du Bassac à Colomiers, qui fait partie des petits affluents de la rive gauche de la Garonne non réalimentés. A ce titre, des restrictions d’eau sont désormais en vigueur.

Ces mesures s’appliquent à l’ensemble des usagers (institutions publiques, professionnels, particuliers, etc) :

  • pour tout prélèvement dans le Bassac directement
  • pour tout prélèvement dans les nappes d’accompagnement de ce cours d’eau, c’est-à-dire dans un périmètre de 100 mètres de part et d’autre du Bassac. A ce titre, les restrictions concernent donc l’usage de l’eau des puits des particuliers.

Concernant l’usage de l’eau potable, celui-ci n’est pas soumis aux restrictions mentionnées. Toutefois, l’ensemble des Columérines et des Columérins est invité à réduire les consommations et à avoir une utilisation raisonnée de ce bien commun.

Arrosage

  • L’arrosage des jardins potagers (y compris serres, non agricoles) est interdit de 8 h à 20 h.
  • L’arrosage des pelouses, des massifs fleuris, des jardins d’agrément et des espaces verts est interdit sauf pour l’arrosage des arbres et arbustes de moins de 3 ans (arrosage alors limité à 2 fois par semaine entre 20h et 8h).
  • L’arrosage des terrains de sport (y compris aires d’évolutions équestres, centres équestres, hippodromes, circuits motocross, circuits vtt) est interdit de 8h à 20h et limité à deux fois par semaine.
  • L’arrosage des plantations d’arbres et arbustes de moins de 3 ans par les collectivités et sur les canaux est interdit de 13h à 20h et de 22h à 4h.

Lavage et nettoyage

  • Le lavage de véhicules et engins nautiques par les professionnels est interdit sauf avec du matériel haute pression ou avec un système de recyclage de l’eau (sauf impératif sanitaire). Un affichage de l’arrêté de restriction en vigueur est obligatoire par les professionnels.
  • Le lavage de véhicules et engins nautiques privés chez les particuliers est interdit (sauf impératif sanitaire).
  • Le nettoyage des façades, toitures, trottoirs, voiries et autres surfaces imperméabilisées est interdit sauf impératif sanitaire, sécuritaire ou lié à des travaux.

Loisirs

  • Le remplissage des piscines familiales est interdit sauf pour la remise à niveau et pour le premier remplissage si le chantier avait débuté avant les premières restrictions.
  • Le remplissage de piscines accueillant du public est interdit sauf renouvellement de l’eau prévu par l’arrêté du 07/04/1981 modifié relatif aux dispositions techniques applicables aux piscines ou sauf impératif sanitaire soumis à validation de l’agence régionale de santé.
  • La vidange des piscines est interdite.
  • L’alimentation des fontaines publiques et privées d’ornement en circuit ouvert est interdite.

Si le mois de février rime avec « amour », dans votre Biocoop Cornebarrieu, c’est la passion du terroir qui est à l’honneur ! Nous partons donc ce mois-ci à la rencontre d’Alexandre, employé polyvalent, pour découvrir les astuces d’une alimentation bio’ et locale !

Pour Alexandre, qui travaille depuis bientôt 3 ans chez Biocoop, « manger bio et local, ça concerne l’entièreté du produit ! » Son conseil : se tourner vers des enseignes spécialisées et transparentes telles que Biocoop, où l’on n’a pas besoin de décrypter toute la liste d’ingrédients pour deviner la provenance…

« Il y a quelques mois, avec la pénurie de moutarde dans les rayons, les consommateurs se sont rendus compte qu’un produit qu’ils pensaient être français, ‘l’emblème de nos régions’, était en réalité issu en bonne partie [les graines] du Canada… » À l’heure où l’on prône la sobriété énergétique et le développement durable, l’urgence est à la relocalisation et Biocoop l’a bien compris ! « La moutarde estampillée Biocoop est désormais 100% française ! » souligne fièrement Alexandre. Cette dynamique de relocalisation est également menée pour la production de miel dont beaucoup provenaient d’Italie ou d’Espagne. Ainsi, dans vos magasins Biocoop, 86% de l’offre est d’origine France, avec pour objectif d’atteindre les 90% à l’horizon 2025 !

À la Biocoop, l’amour dure depuis 35 ans… Et ce n’est pas près de s’arrêter ! Le réseau accompagne et soutient les agriculteurs de nos régions à travers le dispositif « Avec nos Paysan.ne.s associé.e.s ». Ce logo, repérable sur les produits de la marque Biocoop, recouvre pas moins de 3 500 fermes bio’, rassemblées en 19 groupements coopératifs. Leurs produits sont commercialisés chez Biocoop dans des conditions équitables et co-construites : respect mutuel et totale transparence dans les échanges, recherche de convergence entre producteur et commerçant et juste rémunération. « Et pour le client, pas de doute : ce logo atteste qu’il s’agit d’une production bio et 100% française ! » souligne Alexandre. Car il est important de savoir ce qu’il y a au bout de notre fourchette…

La production française est notamment à l’honneur au rayon primeur de votre Biocoop Cornebarrieu ! On y retrouve en ce moment les légumes anciens (panais, rutabagas, topinambours), les choux romanesco ou de Bruxelles et les endives pour de délicieuses salades agrémentées de noix et de bleu d’Auvergne ! Côté fruits, faites-le plein de vitamine C : oranges, oranges sanguines, mandarines, citrons, … C’est la saison des agrumes ! Et pour plus de douceur, on opte pour les poires ou les pommes, 100% locales (notamment celles d’Arbiodyn, qui propose également de délicieux jus !). Opal, Pixie, Fuji, Crimson Crisp, ou encore Chantecler : les variétés ne manquent pas !

La Saint-Valentin est certes passée, mais l’amour des bons produits, c’est toute l’année chez Biocoop ! Pour un dîner en amoureux, laissez-vous tenter (avec modération bien sûr !) par la très belle bouteille de vin « Je t’aime » du Domaine Bassac, situé à Puissalicon, à côté de Béziers. Un mélange de Cabernet-Franc, Grenache et Syrah, qui dégage en bouche des arômes tendres de fruits cuits et d’amande grillée.