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Un nouveau cuisiniste vient de voir le jour chemin de la Ménude ! Se plaçant sans équivoque sur le segment premium, Leicht s’adresse à celles et ceux qui recherchent l’excellence pour leur cuisine mais également pour tout ameublement de la maison.

À la base Arte Cuisine, Leicht Colomiers est un clone du magasin situé à Saint Gaudens. Ce dernier assoit sa légitimité avec 1300 clients conquis en 10 années d’existence. Même exigence pour ce magasin tout neuf qui expose en ses murs ses dernières nouveautés et tendances. Le constat est immédiat : les productions Leicht sont absolument magnifiques. Matériaux, conception et même électroménager (fait de marques comme V-Zug, Gaggenau ou encore Bora) dégagent à l’unisson une impression de qualité et d’élégance. Rien n’est laissé au hasard, rendant chaque création exacte et précise. Bien entendu, tout est sur mesure chez Leicht avec une attention toute particulière portée à la qualité du service.

Ayant souffert de politiques de vente discutables, le secteur de la cuisine a pu avoir mauvaise presse. Ne versant pas dans les promos, anniversaires et autres réductions constantes, l’enseigne donne dans le prix juste et la production durable.

C’est dans cette optique strictement qualitative que Leicht opte pour des poseurs à la formation de menuisiers et salariés de l’entreprise. Trop souvent sous traité, ce rôle capital est ici pleinement considéré, vous assurant une expérience parfaite, de la conception à la livraison.

Alors à qui s’adresse Leicht Colomiers ? Tout simplement aux amoureux du beau, du qualitatif et des productions qui durent dans le temps. Avec la réalisation de vos souhaits en ligne de conduite, Leicht ne conçoit votre projet que dans une optique de satisfaction totale et ce à toutes les étapes de sa réalisation. Du grand art.

Leicht Colomiers
4 chemin de la Ménude
31770 Colomiers

Le chantier de la Ligne C prend de la hauteur ! Ce jeudi 13 mars 2025, les élus et partenaires du projet se sont réunis pour poser symboliquement la première pierre de la station Labège Madron, future star du sud-est toulousain.

Située à deux pas de Labège 2, cette station n’est pas tout à fait comme les autres : perchée au-dessus du sol, elle s’étirera sur 55 mètres de long, 36 de large et 15 de haut. De quoi offrir un nouveau point de vue sur la ville ! Elle fera office de terminus pour la ligne B et assurera la connexion avec la toute nouvelle ligne C. Un véritable carrefour de mobilité pour le sud-est toulousain !

Cerise sur le chantier : la signature de la charte de Haute Ambition Environnementale, concrétisant les engagements de Tisséo en faveur d’une mobilité plus durable. Une avancée technique, mais aussi écologique, qui souligne la volonté de concevoir des infrastructures modernes, performantes et respectueuses de l’environnement.

150 arbres à Colomiers !

Et si un chantier de métro pouvait aussi faire pousser des arbres ? C’est le pari de Tisséo, qui a pris un engagement clair : pour chaque arbre retiré pendant les travaux de la future Ligne C, trois nouveaux seront replantés. Résultat attendu : 5 000 arbres remis en terre d’ici 2028 !

Deux zones ont été définies pour ces plantations : l’emprise directe des travaux (où il faudra attendre la fin du chantier pour replanter) et un périmètre plus large, dit « quartier », où les communes partenaires peuvent anticiper les plantations.

À Colomiers, on n’a pas traîné : entre 2022 et 2024, 150 arbres ont déjà trouvé racine dans des espaces soigneusement choisis après étude paysagère. L’idée ? Leur permettre de pousser tranquillement pendant que la ligne C se construit, pour qu’ils soient bien en place à la fin des travaux.

Au programme : érables, chênes, tilleuls, ormes résistants, frênes, noisetiers, arbousiers, pommiers, pruniers… Une belle diversité, pensée pour s’adapter au sol, au climat, et enrichir la biodiversité locale. Et ce n’est pas tout : dix arbres qui devaient être retirés ont été transplantés avec succès dans la commune.

Un bel exemple de coopération entre les acteurs du chantier et les collectivités, au service d’un urbanisme plus vert et plus durable.

A-Grow Bio : Des plants bio pour une récolte plus éthique

C’est à quelques kilomètres d’ici, dans la commune de Saint-Christaud, que nous avons rencontré A-Grow Bio, une petite exploitation dédiée à la culture de plants en agriculture biologique. Ici, chaque pousse et chaque récolte sont le fruit d’un travail respectueux de l’environnement et des cycles naturels. Plus qu’une simple pépinière, A-Grow Bio défend une agriculture biologique et éthique, où la qualité et la diversité des plants priment sur la production intensive.

Implantée depuis 2008, l’exploitation cultive une large gamme de plants de tomates et de légumes issus de variétés anciennes, ainsi que des plantes aromatiques et des fleurs, telles que des Belamcanda, des capucines, des iris du Japon, et bien d’autres.

Chez A-Grow Bio, le respect du vivant est une priorité. Aucune serre n’est chauffée, permettant ainsi aux plants de grandir à leur propre rythme, en s’adaptant naturellement aux conditions climatiques locales. Ce mode de production favorise une croissance plus vigoureuse et une meilleure résistance aux maladies, garantissant ainsi des plants solides et adaptés à leur futur environnement.

L’exploitation privilégie également les circuits courts, favorisant ainsi une production locale, plus respectueuse de l’environnement et des consommateurs. Acheter chez A-Grow Bio, c’est donc faire le choix d’une agriculture raisonnée et durable, tout en bénéficiant de plants cultivés avec soin et savoir-faire. Une belle manière de cultiver autrement, au plus près de la nature.

Biocoop La Ramée : un magasin au plus proche de ses clients

Biocoop La Ramée c’est dix-sept années d’engagement quotidien proposant des produits bio de qualité, dans le respect des valeurs de l’enseigne. Et cette fidélité aux engagements de Biocoop, les clients la reconnaissent et la saluent, puisque 85 % d’entre eux reviennent régulièrement faire leurs courses dans ce magasin. Un chiffre qui témoigne de la confiance accordée à l’enseigne et à ses valeurs, fondées sur une agriculture durable, locale et éthique.

Biocoop La Ramée, c’est aussi une équipe de passionnés, engagés pour une alimentation saine et responsable. Ici, on fidélise non seulement les clients, mais aussi les employés. L’équipe compte 13 collaborateurs investis, à l’image de Valérie, spécialiste du rayon fromage depuis plus de 8 ans, qui transmet son savoir-faire et son expérience à Nina, une nouvelle recrue. Ensemble, elles tiennent d’une main de maitre ce rayon riche en diversité, avec une sélection variée de fromage.

Les amateurs de fromage seront d’ailleurs ravis de découvrir les dernières nouveautés du rayon. Ce mois-ci, deux nouveaux fromages viennent enrichir l’offre du magasin. L’Arbolet, une tomme de chèvre savoureuse, et le Mondély, un petit fromage de chèvre qui se déguste aussi bien sur un toast, en salade que pané. Autant de plaisirs gourmands à savourer et à partager.

Au-delà de l’offre alimentaire, Biocoop La Ramée s’engage également en faveur d’une consommation plus responsable. Du 6 au 24 mars, une opération spéciale mettra à l’honneur le rayon vrac avec une réduction de 15 %. Une belle opportunité pour allier économies et réduction des déchets, en phase avec la philosophie zéro déchet défendue par l’enseigne.

Enfin, pour célébrer l’arrivée du printemps, Biocoop La Ramée proposera prochainement un arrivage spécial de plants issus de la ferme A-Grow Bio, située dans le Volvestre. Fraises, mûres, tomates, plantes aromatiques et fleurs viendront ainsi compléter l’offre du magasin, permettant aux clients de cultiver eux-mêmes leurs fruits et légumes ou d’embellir leurs jardins et balcons.

Plus qu’un magasin, Biocoop La Ramée est un véritable lieu de vie et d’échange, où se croisent valeurs humaines, produits de qualité et engagement pour une consommation plus responsable. Dix-sept ans après son ouverture, l’enseigne continue d’évoluer au plus près des attentes de ses clients, dans un esprit de proximité et d’authenticité.

Pleinement conscient des enjeux liés à la gestion de l’eau, Ugolf de Teoula travaille depuis plus de 20 ans à la réduction de sa consommation avec des résultats impressionnants.

Photo illustration : Julien Hank Fitte

Techniquement résolue par des arroseurs mieux gérés, des zones d’arrosage mieux ciblées ou encore un logiciel informatique régissant l’utilisation de l’eau, la question de la gestion du monoxyde de dihydrogène est au cœur des préoccupations de Ugolf de Teoula depuis plus de 20 ans. L’un des piliers de ce combat est Serge Boutes, le Greenkeeper des lieux. « Dès le milieu des années 2000, j’ai tiré la sonnette d’alarme sur tout l’aspect environnemental de l’entretien des golfs, témoigne-t-il. Je me suis rapproché d’Ecocert (entreprise française agissant comme organisme de certification écologique), avec qui on a créé le Label Golf éco-durable. Les économies d’eau et la différentiation par types d’usages ont constitué le premier chapitre de leur cahier des charges. »

Ainsi, avec la lecture pertinente des différents espaces qui font ce terrain de sport couplée à une technologie de gestion des arroseurs très poussée ont fait passer UGolf de Téoula d’une consommation de 90 000 mètres cubes en 1990 à environ 45 000 et 50 000 mètres cubes en 2020. Division par deux, un résultat sans appel.

Photo : UGolf de Téoula 

Outre cette conduite technique millimétrée, la sensibilisation des joueurs est un autre levier sur lequel Ugolf de Teoula travaille. Serge Boutes développe « Il faut être capable de leur expliquer pourquoi l’herbe est un peu plus sèche l’été. Dans les années 1980, tout le monde voulait se caler sur les grands golfs, et avoir tout le temps des fairways très verts. Il faut faire comprendre que ce n’est plus possible aujourd’hui, qu’on est revenu à une gestion beaucoup plus naturelle.« 

Avec détermination, pédagogie et mesures concrètes, Ugolf de Teoula signe donc une gestion de l’eau exemplaire. Loin de considérer la mission comme terminée, d’autres projets sont en cours afin de gagner en efficacité. Cela passe par plusieurs dossiers pour solliciter des financements auprès de l’Agence de l’eau Adour-Garonne afin notamment de créer un système de recyclage de l’eau servant au nettoyage des machines d’entretien.

Aussi anodin qu’il puisse paraître, le fait de faire ses courses s’avère en fait être un pouvoir au moins aussi fort que celui de voter. Au-delà de remplir son panier, il permet de définir un ou des modes de consommation et influence les circuits de production/distribution du monde de l’alimentaire. À l’origine péjoratif, le « je consomme donc je suis » est aujourd’hui synonyme de levier de décision que rien ne peut arrêter pour peu que nous nous y mettions tous. Dans cette logique de « consom-acteur », Diago a rencontré les Locavores de Colomiers, association de défense d’une alimentation locale et plus durable.

C’est Dominique Rochedreux qui est à la tête de cette association qui gère La [Ruche qui dit oui]. Ils en utilisent le site et les moyens de paiement sécurisés car d’une part ces infrastructures sont très bien faites et d’autre part elles représentent un investissement qui serait bien trop lourd pour une asso locale. Le point fort des Locavores et de sa [Ruche qui dit oui] : la rencontre entre consommateurs et producteurs.

Ainsi, lorsqu’on vient retirer son panier (tous les jeudis de 17h à 19h à la Friendly Auberge de Colomiers), on a la chance de pouvoir s’entretenir avec ceux qui font les vraies choses, qui savent vraiment de quoi ils parlent dans la mesure où il s’agit de leur métier et bien souvent de leur passion. Cette subtilité fait une très grande différence car, outre le volet humain, ces échanges vous permettent de mieux saisir les produits et de facto mieux les consommer.

Pour être certain de ce que nous avançons, nous avons dégusté les produits proposés par les Locavores de Colomiers . Œufs de truite, cake citron/pavot ou encore confiture de pétales de roses, le constat est sans appel : tout est irréprochable !

À ce propos, tout ce que vous trouvez chez les Locavores de Colomiers est produit dans un rayon de 200km maximum. Si des produits sont bios, certains sont issus de l’agriculture raisonnée. « Le bio n’est pas une fin en soi, il est en effet plus important à notre avis de privilégier des produits locaux, français et de la région Occitanie ou limitrophe, produits dans les règles de l’art par de petits producteurs passionnés par leur métier et leurs produits. » précise Dominique.

Dans cette optique d’équité, le prix de ce que vous trouverez chez les Locavores de Colomiers sera donc au bénéfice pratiquement exclusif (80%) des producteurs eux-mêmes. Un prix juste qui permet à ces producteurs de vivre dignement. Oui on pourra trouver moins cher ailleurs mais comparons ce qui est comparable. La notion de prix importe certes mais ici elle est transparente. Ce que vous payez, c’est la réalité d’un travail, pas des courtiers, intermédiaires et autres distributeurs… De plus, tous comptes faits, à produits « équivalents » (et je mets bien ça entre guillemets car on parle d’équivalence de type, certainement pas de qualité), l’écart sur le ticket final est réellement faible.

Au regard des qualités et surtout de l’optique durable et humaine que propose les Locavores de Colomiers, il n’y a pas photo… je me suis régalé ! Alors pourquoi pas vous !?

Locavores de Colomiers
Inscription gratuite sur le site https://laruchequiditoui.fr/
Pour en savoir plus :
https://locavorescolomiers.jimdofree.com/
Fb@locavores.colomiers