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Ce samedi 22 mars 2025, la municipalité de L’Isle-Jourdain a inauguré sa nouvelle cuisine centrale, un équipement moderne et ambitieux placé au cœur des priorités éducatives et sociales de la commune.

En présence de Francis Idrac, Maire de L’Isle-Jourdain, Régine Sainte-Livrade, adjointe à la scolarité, des élus de la commune, du député du Gers, David Taupiac, du Préfet du Gers, Alain Castanier, du secrétaire adjoint de la chambre d’agriculture du Gers, Cédric Pérès, des enseignants, des parents et des enfants, cette cérémonie a marqué une étape majeure dans la politique volontariste menée en faveur de la jeunesse et du territoire.

Une cuisine au service des enfants et du territoire

Fruit d’un investissement de 850 000 € HT (dont 500 000 € de subventions), cette cuisine centrale incarne une vision collective : offrir aux enfants des repas sains, locaux et savoureux, tout en soutenant les producteurs du territoire. Avec déjà plus de 50 % de produits locaux, l’objectif est d’atteindre le 100 % local et bio, renforçant ainsi les liens entre agriculture de proximité et restauration scolaire.

Sous la direction de Thierry Lair, chef expérimenté, une équipe dévouée prépare chaque jour 900 repas frais et équilibrés, salués par les enfants eux-mêmes : « On mange au restaurant tous les jours maintenant ! ».

Un projet éducatif et durable

Au-delà de l’assiette, cette cuisine s’inscrit dans une démarche pédagogique : éduquer au goût, aux saisons et à l’environnement. La municipalité envisage même, à terme, la création d’une régie maraîchère municipale, combinant production locale et activités pédagogiques (jardinage, compostage, etc.).

Une politique globale en faveur de la jeunesse

Cette inauguration s’intègre dans un projet plus large porté par la commune :

  • Rénovation énergétique du groupe scolaire,
  • Création d’équipements sportifs : terrain synthétique, pumptrack (inauguration le 4 avril),
  • Innovations éducatives (fablab, classes flexibles, salle des émotions),
  • Ouverture prochaine d’un complexe sportif.

Autant d’initiatives visant à offrir aux enfants un cadre d’épanouissement optimal.

Un modèle accessible et maîtrisé

Grâce aux subventions, le coût du repas reste stable à 6,97 €, sans augmentation pour les familles. « Nous voulons une restauration scolaire accessible à tous », a souligné le maire, remerciant l’État et le Département pour leur soutien.

« Quand je vois l’enthousiasme des enfants, je me dis que c’est pour ça que l’on s’engage », a conclu le maire, rappelant que cette cuisine est un investissement pour l’avenir.

Les prochaines années promettent de transformer radicalement le secteur de l’optique . Entre avancées technologiques, innovations en matière de matériaux et évolutions sociétales, les lunettes ne seront plus seulement un outil de correction visuelle, mais de véritables concentrés de technologie et de personnalisation au service de notre quotidien.

Des lunettes plus intelligentes et connectées

L’essor de la réalité augmentée et de l’intelligence artificielle laisse présager des lunettes de plus en plus interactives. Actuellement à leurs débuts, les modèles connectés seront courants, intégrant des affichages d’informations en temps réel : notifications, navigation GPS, ou encore traduction instantanée.

En parallèle, l’intelligence artificielle jouera un rôle clé dans l’adaptation des verres aux besoins des porteurs. Les lunettes du futur pourraient ajuster automatiquement la correction en fonction de l’éclairage ou de la fatigue oculaire, offrant une vision toujours optimale.

Des matériaux révolutionnaires et écoresponsables

L’aspect environnemental tiendra une place centrale dans l’industrie optique. Face aux enjeux écologiques, les fabricants proposeront des montures en biomatériaux, biodégradables ou recyclables tout en proposant des lunettes plus légères, résistantes et durables.

Les verres bénéficieront également de traitements inédits : anti-lumière bleue adaptative, auto-régénération des micro-rayures, ou encore des filtres solaires ajustables en fonction de l’intensité lumineuse. Ces innovations amélioreront le confort tout en réduisant la fréquence de remplacement des lunettes.

Une personnalisation poussée à l’extrême

Grâce à l’impression 3D et aux avancées en numérisation, chaque paire de lunettes sera totalement personnalisable. La morphologie du visage, le style et les préférences personnelles pourront être intégrés directement lors de la conception. Certaines marques proposent déjà des modèles sur-mesure imprimés en 3D, et cette tendance ne fera que s’accentuer.

Les lunettes de demain ne seront plus seulement un outil de correction visuelle, mais un accessoire de mode intelligent, écoresponsable et parfaitement adapté à chaque individu. En France, où le marché de l’optique est florissant, ces évolutions dessinent un avenir prometteur pour les consommateurs et les professionnels du secteur.

Par maintes fois, les casques de réalité virtuelle ont tenté de conquérir nos demeures. Après des tentatives plus ou moins réussies, allant du peut être trop avant-gardiste Oculust Rift au hors de prix Apple Vision Pro, c’est au tour de la firme tentaculaire Meta de s’essayer à l’exercice avec un casque de réalité mixte bourré d’arguments.

D’emblée, ce Meta Quest 3 ne parle pas ici de réalité virtuelle qui supplante pleinement notre environnement mais bien de mixte, hybride mêlant monde virtuel et physique. Cette approche résolument novatrice ne souffre pas d’une déconnexion trop brutale avec le réel (expliquant à elle seule la difficulté pour la réalité virtuelle de s’implanter), rassurant d’autant son utilisateur. Il est bien entendu capable de produire de la VR mais c’est clairement passer à côté du projet central de ce Meta Quest 3.

Après une paire de réglages/ajustements permettant d’apprécier un confort matériel du casque, c’est parti pour les expériences. Divertissement, sport, gaming, fitness, les applications sont déjà multiples et porteuses de bien plus de possibilités. Résolument novatrice, la réalité mixte a ce côté futur promis par la Playstation mais que nous n’avons jamais eu au final. Celui où des écrans et contrôles apparaissent pour nous faciliter la vie, où la frontière entre l’homme et la machine est vaporeuse, nous enveloppant dans un réconfortant sentiment d’optimisation. Force est de constater que ce Meta Quest 3 est de loin la meilleure voie pour nous rapprocher de ce rêve de robotique humanoïde. S’il ne fera pas de nous des Répliquants, il est sans conteste une avancée majeure sur la route de la science plus si fiction que ça.

Meta Quest 3, ses variations et accessoires sont à découvrir chez Boulanger Colomiers

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Rue Marie Curie 31770 Colomiers 
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Ce samedi 5 octobre, Pierre-André Durand, préfet de la région Occitanie, préfet de la Haute-Garonne, Jean-Michel Fabre, vice-président du Département de Haute-Garonne représentant le président Sébastien Vincini, Jean-Luc Moudenc, maire de Toulouse, président de Toulouse métropole, et Karine Traval-Michelet, maire de Colomiers, vice-présidente de Toulouse métropole, ont inauguré la Maison des Transitions Ecologiques aux côtés de plus de 200 Columérines et Columérins rassemblés pour l’occasion. Accessible au grand public comme aux acteurs professionnels ou institutionnels, cet éco-lieu imaginé par la Ville de Colomiers est dédié à la promotion et à la mise en œuvre de solutions concrètes en matière de transitions écologiques, pour une société résolument plus durable, participative et innovante. La Maison des Transitions Ecologiques sera ouverte au public à compter du lundi 21 octobre prochain.

© Eric Corlay – Mairie de Colomiers

La Maison des Transitions Ecologiques a été créée par la Ville de Colomiers pour promouvoir les enjeux de développement durable, accompagner le déploiement de bonnes pratiques et faciliter les synergies entre les acteurs de terrain. Construit à partir de matériaux et procédés bas carbone, ce bâtiment exemplaire et innovant de près de 280 m2 représente un investissement de plus d’1,8 M€, assuré par la Ville de Colomiers (938 900 €), l’État (305 800 €), le Département de la Haute-Garonne (150 000 €) et Toulouse Métropole (440 000 €) qui a également mis la parcelle à disposition de la Ville pour 1€symbolique.

La Maison des Transitions Ecologiques sera ouverte au public en libre accès tous les mercredis de 9h à 18h, et en fonction des animations et ateliers programmés les lundis, mardis, jeudis et vendredis. Dès sa mise en service, elle proposera de nombreuses animations et événements culturels ou pédagogiques visant à sensibiliser aux enjeux climatiques et à promouvoir les initiatives locales : expositions, escape game, visites pédagogiques, formations, ateliers bas carbone « 2 tonnes », ateliers sur le réemploi et la réparation, permanences mensuelles de la Maison de l’énergie de Toulouse métropole … (voir programme en ligne, lien ci-dessous).

À l’occasion de l’inauguration et sur proposition de Karine Traval-Michelet, les partenaires du projet ont également rendu hommage à Fabien Jouvé, ancien conseiller municipal et métropolitain, et à Marie-Odile Bertrand, ancienne conseillère municipale. Deux espaces de la Maison des Transitions Ecologiques portent désormais leur nom en mémoire de leur engagement pour la transition écologique et la ville de Colomiers.

« La transition écologique est un engagement, qu’il soit individuel ou collectif. Tout acteur citoyen associatif ou du monde économique doit pouvoir s’inscrire dans cette démarche de transition. Et nous, pouvoirs publics, devons faciliter et permettre cet engagement. La Maison des transitions écologiques est une véritable opportunité et constitue un espace ressource sur le territoire pour fédérer et promouvoir les initiatives en faveur des Transitions. L’État se veut facilitateur, notamment au travers des contrats pour la réussite de la transition écologique. Je souhaite pleine réussite à la Maison des transitions écologiques, un sujet d’avenir ! ». Pierre-André Durand, préfet de la région Occitanie, préfet de la Haute-Garonne. 

« C’est une immense fierté d’inaugurer aujourd’hui la Maison des Transitions Ecologiques de Colomiers. D’abord parce qu’elle sera LA maison des Columérines et Columérins engagés à nos côtés pour une ville plus verte et une planète plus durable. Mais aussi parce qu’elle symbolise la forte ambition portée par la Ville sur le front de la lutte contre le réchauffement climatique. La mobilisation collective et partenariale autour de ce projet illustre en effet son potentiel de rayonnement et l’intérêt qu’elle représentera pour l’ensemble du territoire métropolitain. Cette Maison des Transitions Ecologiques, c’est du concret pour agir aujourd’hui et des idées pour imaginer le monde de demain ! Elle représente à la fois la responsabilité et l’optimisme qui animent notre projet de développement durable pour l’avenir de Colomiers et de ses habitants. » Karine Traval-Michelet, maire de Colomiers, vice-présidente de Toulouse métropole.

 « Je me réjouis de voir la Maison des Transitions Écologiques ouvrir ses portes à Colomiers. Ce lieu de rencontres, de partage des connaissances et de synergies va dans le sens de la nécessaire bifurcation écologique que j’appelle de mes vœux pour répondre aux enjeux du réchauffement climatique. Car nous devons éclairer les citoyens, les acteurs publics et économiques sur ces enjeux pour prendre les bonnes décisions. Le Département de la Haute-Garonne reste un partenaire solide auprès des communes, des intercommunalités et des acteurs haut-garonnais pour la réalisation et la réhabilitation d’équipements de proximité qui vont dans ce sens. Et je ne doute pas que la Maison des Transitions Écologiques devienne un lieu de référence pour la promotion et la mise en œuvre de solutions concrètes pour la bifurcation écologique de notre territoire haut-garonnais. » Sébastien Vincini, président du Conseil départemental de la Haute-Garonne.

« Toulouse Métropole a pour mission d’accompagner nos communes dans la réalisation de leurs projets. Grâce à notre fonds de concours, doté de 10 millions d’euros, nous soutenons les initiatives communales visant à accélérer la transition écologique de notre Métropole. La création de cette Maison des Transitions écologiques, à Colomiers, répond parfaitement à cet objectif, tout comme les 26 autres projets communaux qui ont d’ores et déjà bénéficié de notre soutien. Complémentaire à la Maison de l’Energie de Toulouse Métropole, cette nouvelle structure informe et conseille les habitants sur les bonnes pratiques à adopter en matière de développement durable. Ensemble, nous construisons notre avenir de manière responsable, en prenant toute la mesure des enjeux liés aux transitions de nos villes et de notre Métropole. » Jean-Luc Moudenc, maire de Toulouse, président de Toulouse métropole.  

Plus d’infos et agenda de la Maison des Transitions Écologiques : https://www.ville-colomiers.fr/mon-quotidien/tiers-lieux-citoyens/maison-des-transitions-ecologiques

© Airbus

Airbus a dévoilé ce jour trois concepts préfigurant ce que sera le premier avion commercial zéro émission au monde. La mise en service de ces engins est prévue en 2035. Chacun de ces concepts présente une approche différente du vol zéro émission, notamment en termes d’autonomie et de capacités d’embarquement. Avec des lignes inédites, ils explorent diverses pistes technologiques et configurations aérodynamiques afin de soutenir l’ambition d’Airbus qui entend se positionner comme chef de file dans la décarbonisation de l’industrie aéronautique. En effet, le transport aérien grandissant entraine fatalement une hausse des émissions qui n’est actuellement plus soutenable.

Tous ces concepts utilisent l’hydrogène comme source d’énergie principale. Cette piste est selon Airbus, exceptionnellement prometteuse comme carburant aéronautique propre. Elle pourrait permettre à l’industrie aérospatiale et à de nombreux autres secteurs (comme l’automobile) d’atteindre leurs objectifs de neutralité climatique là ou l’électrique est peine à trouver son autonomie.

« Il s’agit d’un moment historique pour l’ensemble du secteur de l’aviation commerciale, et nous entendons jouer un rôle de premier plan dans la transition la plus importante que notre industrie ait jamais connue. Notre vision d’un avenir “zéro-émission” pour l’aviation est audacieuse, et les concepts que nous dévoilons aujourd’hui livrent au monde un aperçu de notre ambition en la matière », a déclaré Guillaume Faury, CEO d’Airbus. Il poursuit « Je suis convaincu que l’hydrogène, utilisé aussi bien dans les carburants synthétiques que comme source d’énergie primaire, peut permettre de réduire significativement l’impact climatique de l’aviation.»

Tous désignés sous le nom de code « ZEROe », ces trois concepts d’avion commercial zéro émission au monde sont:

Un concept de turboréacteur  (120-200 passagers) capable d’effectuer des vols intercontinentaux de plus de 3500 km et alimenté par une turbine à gaz modifiée fonctionnant à l’hydrogène, au lieu du kérosène, par combustion. L’hydrogène liquide sera stocké et distribué grâce à des réservoirs situés derrière la cloison étanche arrière.

© Airbus

Un concept de turbopropulseur  (capable d’embarquer jusqu’à 100 passagers) utilisant un moteur turbopropulseur au lieu d’un turboréacteur, également alimenté par la combustion d’hydrogène dans des turbines à gaz modifiées, et capable de parcourir plus de 1800 km. Une option idéale pour les vols court-courriers.

© Airbus

Un concept d’aéronef à fuselage intégré  (jusqu’à 200 passagers), dont la voilure se fond dans le fuselage principal de l’appareil et qui présente un rayon d’action comparable à celui du concept de turboréacteur. Le fuselage exceptionnellement large offre de multiples possibilités pour le stockage et la distribution d’hydrogène, ainsi que pour l’aménagement de la cabine.

© Airbus

Pour le moment, ces projets sont encore en cours d’étude. Au regard de la technologie totalement innovante qu’ils emploieront, ils entraineront également de profondes modifications des infrastructures comme les aéroports ainsi que les circuits d’alimentation et de stockage en hydrogène.

Malmené par la crise, Airbus tient grâce à ses efforts en recherche et sa projection dans le futur, une occasion exceptionnelle de renouveler un secteur durement touché. S’alignant sur les exigences écologiques de demain, ce projet ZEROe incarne un avenir responsable et prometteur.

On en parlait depuis quelques années et aujourd’hui, comme vous l’avez peut-être remarqué en rentrant dans Léguevin, d’importants travaux de cette future zone de l’Escalette ont démarré.

 Etendue sur plus de 48 ha, bénéficiant d’un accès rapide vers Toulouse, vers la SNCF, en bordure de Léguevin, à proximité de la zone aéronautique, des sites Airbus et de l’Aéroport Toulouse Blagnac, cette zone est au coeur des nouveaux projets de Toulouse Métropole, de la Région (implantation d’un lycée sur la commune en 2017) mais aussi communaux et notamment immobiliers.

L’Escalette sera une zone de développement, dont la qualité de vie des personnes travaillant ou vivant sur place, des riverains restera une des préoccupations majeures de l’aménageur. Et au coeur de celle-ci verra le jour un pôle technologique dédié à la robotique, aux transports du futur et au développement durable. La mairie de Pibrac est d’ailleurs à la recherche de sociétés de services, d’entreprises de haute technologie, qui font encore défaut et qui sont porteuses en terme de développement de territoires, comme l’a souligné le rapport France Robots Initiatives. La  ville de Pibrac facilitera l’implantation et la création d’entreprises sur cette zone en mobilisant toutes ses ressources.

Ville de Pibrac
Tél. 05 62 13 48 10
www.ville-pibrac.fr

C’est lors de la journée dédiée à l’innovation organisée par la municipalité de Colomiers que nous avons découvert le Bizlab d’Airbus. Établi dans un bâtiment derrière le Delivery Center Airbus, ce Bizlab a pour vocation d’accélérer le développement des start-ups qu’il héberge. Venues du monde entier, elles se voient, après sélection, accorder une aide de 50 000€ pour 6 mois de travail.
L’originalité de cette structure est qu’elle est ouverte à tout porteur de projet, qu’il soit déjà employé chez Airbus ou non, bien qu’au final, 42 des start-up hébergées signent une collaboration avec Airbus au terme de cette phase. L’intérêt pour le constructeur aéronautique est évident. De par son dynamisme et son fonctionnement, cette formule attire les idées les plus innovantes. Du coup, les sujets des porteurs de projets sont extrêmement vastes : drones, applications, matériaux, tout y passe dans cet établissement aux pièces éclectiques. Les bureaux reflètent parfaitement les recherches en cours. Le décor change dès que l’on fait quelques pas, allant de la collection d’objets imprimés en 3D à l’alignement parfait de MacBook dernier cri pour finir sur un atelier digne de Géo Trouvetout. Le seul point commun de ces passionnés studieux est la recherche de résultat dans leurs travaux. La technologie de demain se trouve peut être dans l’une d’entre elles…

Bruno Gutierres, directeur du Bizlab est loin du chef rigide et froid. Souriant, connaissant chaque personne qui travaille dans les locaux, il se place plus comme un capitaine que comme un directeur enfermé dans un vaste bureau. Résultat, tout le monde se sent bien et travaille avec envie. Comme quoi le management basé sur le bien être du salarié se montre productif…