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Tous les héros ne portent pas de capes. Parmi ces bienfaiteurs de l’ombre, la famille Plaud, à savoir Sébastien, Audrey et leur fille Julia, font figure de modèle. Depuis 2015 au travers de l’enseigne Maison De La Literie, ils veillent sur votre sommeil. Lorsque on sait qu’un Français moyen passe 7h47 dans son dodo, on réalise vite en quoi leur rôle est crucial dans notre quotidien.

Issu d’une famille de matelassiers, Sébastien Plaud a fait ses premières armes chez les grandes maisons du domaine, dans la Vienne. Au fil de ses expériences, il se retrouve en 2015 à la tête de 5 magasins Maison de La Literie sur la région (Colomiers, Fenouillet, St Orens et 2 àPortet). Dernière évolution, l’ouverture en mai 2021 d’une boutique à Blagnac, juste en face du centre commercial. Cette réussite, il l’a mené en équipe avec Audrey, sa femme. Fruit de leur union, la jeune Julia, 21 ans, a rejoint l’entreprise familiale il y a 2 ans de ça.

Bosser sur autant de sites entre femme, mari et enfant, voilà qui pourrait relever du défi. Interrogée sur le sujet, Audrey nous livre son secret avec humour : ne jamais travailler avec son mari dans le même magasin. Pour ce qui est de Julia, c’est auprès de sa Mère sur le site de Blagnac qu’elle officie. Au regard des résultats du groupe mais également de l’harmonie qui émane de cette famille, la formule est incontestablement gagnante. Pour autant, parlent-ils de matelas et de sommiers lors des repas de famille ? Un peu, du moins à l’initiative de Julia, passionnée par son travail et tours à l’affût de perfectionnement.

L’unanimité est atteinte lorsqu’on leur demande quels aspects sont fondamentaux pour ce métier : relationnel, écoute et renouvellement constant forment le trio de tête des qualités soulevées. En même temps, lorsque l’on recherche de quoi parfaitement dormir (et donc se ressourcer), le regard d’un spécialiste et les produits associés sont tout simplement cruciaux.

Portée par une famille comme on les aime, l’aventure Maison De La Litterie par les Plaud fait chaud au cœur.

Fille du Meilleur Ouvrier de France Jean-Luc Beauhaire, Barbara s’était très tôt mise en tête de ne pas suivre les traces familiales, au profil d’un projet de garde à cheval pour l’ONF. Bien que sa passion pour la Nature soit toujours intacte, l’appel de la boulangerie a été le plus fort, faisant de Barbara la 3ème génération de Beauhaire à embrasser cette carrière.

Ce qui peut être vu comme un destin tout tracé n’en est pas un. En effet, avec un tempérament conquérant et passionné, Barbara n’a absolument pas choisi la boulangerie par commodité. La toute jeune Maman ayant pour caractéristique principale une intarissable soif d’apprendre doublée d’une énergie à faire pâlir de jalousie le Lapin Duracell , elle s’est lancée pleine balle dans le monde de la boulangerie dès ses 14 ans. Connaissant l’exigence et les contraintes de ce métier, son Père ne tenait pas particulièrement à ce qu’elle le suive. C’était sans compter sur la volonté de fer de Barbara qui a accumulé au fil du temps et des diplômes pas loin de 8 ans d’études dans le domaine (quand on vous dit qu’elle fait les choses pied au plancher…).

De ce travail de fond, elle garde intacte la passion pour la création, la réalité, le faire de faire quelque chose de ses dix doigts. Travailler de la matière vivante qui évolue selon l’environnement, tout recommencer sans cesse, composer avec un produit qui dicte ses propres lois, ce sont toutes ces spécificités qui alimentent quotidiennement la flamme de la passion pour Barbara. Autre élément essentiel, la préservation de notre patrimoine alimentaire et culturel, le pain état LA base de nos repas Français.

Associée à la boulangerie de Léguevin depuis 3 ans, Barbara a en charge la gestion de la vente. Pour le moment satisfaite de sa position, elle aspire à poursuivre la pérennisation de l’entreprise en attendant que d’autres défis frappent à sa porte. D’ici là, elle élève avec son mari et pilier de vie Nicolas un petit Ézéquiel à qui elle transmet déjà l’amour de la découverte et du travail bien fait. Ces valeurs là, Barbara les a hérités de ses Grands Parents et tient à son tour à les inculquer à sa descendance. Un magnifique cycle de vie que nous avons plaisir à mettre en avant.

Ayant pour habitude de distribuer le courrier sur Colomiers avec une inaltérable bonne humeur depuis 1989, André Montégut tirera sa révérence le mercredi 31 août 2022 (pour une retraite effective début 2023).

Pour être tout à fait précis, c’est en 1983 qu’André a commencé sa carrière auprès de La Poste, n’arrivant à Colomiers que plus tard, en 1989. Son domaine : un des 18 quartiers de la ville, notamment celui du Perget associé à Monturon. Une magnifique carrière de quasiment 40 ans pour ce syndicaliste constructif qui a toujours mené son travail avec sympathie et sourire. Son rayonnant « Bonjouuur » matinal avait même le pouvoir de rendre ses distributions de factures plus douces à encaisser.

De par sa présence quotidienne sur le terrain, André a vu la ville changer et se développer. Témoin de l’agrandissement de la ville jusqu’à ce qu’elle touche Pibrac, il garde de toutes ces années le souvenir du contact et l’accueil avec les nouveaux arrivants, ce qui représente au final plus de 5000 personnes ! Lorsqu’on lui demande si il a ou va recevoir une médaille du travail, il répond instinctivement « La récompense, je l’ai déjà eu, je l’ai rencontrée tous les jours sur mon parcours ».

Passionné par son métier et les milliers de sourires qu’il a pu rencontrer, André Montégut part en retraite avec le sentiment d’avoir pleinement rempli sa mission. Il va désormais pouvoir se consacrer à son mandat d’adjoint au Maire d’Aussonne en tant qu’adjoint délégué à la vie associative, mais également à ses passions sportives. Membre et coureur pour l’association Columérine de course à pied Mac’Adam mais également du Cyclo Club Aussonnais, gageons qu’il n’aura pas le loisir de s’ennuyer !

Bonne retraite à lui!

Si la réputation de sérieux et de professionnalisme d’Excédent Électroménager et Literie Plaisance-Du-Touch ne sont plus à prouver, ils trouvent leurs fondements dans les équipes qui œuvrent au quotidien pour vous faire repartir de chez eux avec le sourire. À la manœuvre du SAV depuis 18 ans, Nicolas fait partie de ces talents.

Ayant débuté sa carrière chez eux en août 2003, en tant qu’alternant, Nicolas est aujourd’hui responsable SAV du magasin et s’occupe en plus de la gestion/animation du point de vente. En près de deux décennies dans le domaine, il a vu la technologie de ses produits évoluer, jouant tour à tour sur le design, la gestion de l’énergie ou sur l’encore sous développé volet connecté.
Les attentes des consommateurs ont également été idéales avec l’épineuse question de obsolescence programmée qui amène Nicolas à faire beaucoup de pédagogie et de conseil. C’est en effet là le moteur principal du jeune homme : satisfaire, répondre efficacement à une demande et régler tous les soucis qui se présentent, porté par une inébranlable bonne humeur.
Chronophage, le SAV réclame un investissement de long terme que notre portrait du jour aborde avec entrain et suivi. De cette implication naît une clientèle fidèle qui suit Excédent Électroménager et Literie avec confiance et de fait sérénité. À l’évidence, c’est bien là la marque de fabrique de l’enseigne rouge vif.

Le consommateur est exigeant et il a bien raison

Débordant de sources d’information, le client arrive potentiellement plus expert qu’un expert lorsqu’il est question de caractéristiques techniques d’un lave-vaisselle ou d’un aspirateur turbo. Un défi de plus pour Nicolas et ses confrères qui se forment qu quotidien pour maîtriser leurs produits. Autre challenge venu du web, celui des avis et de la e-réputation. Là encore Nicolas répond présent et maintient haut le pavillon Excédent, non pas parce qu’il le faut mais bien parce que cela représente pour lui la récompense de son implication et du travail bien fait.

Dans la gestion quotidienne du SAV, Nicolas aime à avoir un maximum d’informations sur le problème afin d’opter pour la solution la plus adaptée et rapide. La technique du « faut tout changer » quitte à consommer toujours plus, très peu pour lui. Calé sur les produits, il peut parfois régler votre problème juste en vous donnant des instructions par téléphone. Si cela ne suffit pas, il prend alors la main pour transmettre votre demande aux stations techniques dédiées car oui, chaque type de produit ne se répare pas au même endroit. En attendant le retour de votre appareil bien aimé, le prêt de matériel équivalent est légion chez Excédent. D’ailleurs, tout produit provenant de chez eux est garanti 2 ans pièces, main d’œuvre et déplacement.

Avec la satisfaction client comme idée fixe, Nicolas apporte une sérénité exemplaire à chacun des achats réalisés chez Excédent. Détendez vous, il n’y a plus de problèmes.

Ce mois-ci, Un Air de Famille s’est invité chez Rose-Marie et Pierre Fournier, dirigeants du Super U Colomiers et devenus figure du commerce local incontournable.

Diagonale : Quel a été votre parcours avant de reprendre le Super U de Colomiers
Pierre Fournier : Nous étions depuis de longues années dans le secteur de la grande distribution alimentaire, 20 ans pour ma part chez Carrefour en tant
que directeur d’hypermarché en particulier à Paris et dans le Pas-de-Calais et Rose-Marie en tant que chef de rayon. Nous étions déjà totalement immergés dans cette activité avant de prendre notre décision de nous mettre à notre compte. C’était donc une démarche mûrement réfléchie.

Pourquoi avoir choisi l’enseigne Super U ?

Rose-Marie et Pierre Fournier : Nous avions le choix entre plusieurs enseignes mais au final Super U nous a paru la plus dynamique et surtout la plus adaptée à notre vision du métier.

Comment s’est passée votre arrivée à Colomiers et en quelle année ?
Rose-Marie et Pierre Fournier : Nous avons repris ce magasin en 2006. Il était, à cette époque, en grande difficulté financière et ce, depuis déjà plusieurs années. Il nous fallait relever ce délicat challenge très rapidement. Nous avons pu le réaliser en impliquant nos collaborateurs à notre projet d’entreprise. Nous avons mis en place un système de rémunération de notre personnel lié aux performances économiques de chacun des rayons. Le résultat a été rapide et efficace puisqu’en deux ans, nous remettions le bateau à flot et nous avons pu ainsi responsabiliser toutes nos équipes sur des objectifs concrets. Depuis votre reprise, vous avez opéré à des modifications d’aménagement de votre magasin ?
Rose-Marie et Pierre Fournier : Tout à fait puisqu’après cette première étape financière, nous l’avons totalement relooké et réaménagé. C’était non seulement pour lui donner un coup de jeune mais également pour le réadapter aux besoins d’aujourd’hui en optimisant sur surface globale tout en créant deux boutiques (CamaÏeu et Jennyfer) qui donnent sur la rue du Centre. Cela a permis de rendre les achats dans notre magasin beaucoup
plus agréable pour notre clientèle et de répondre au mieux à leur demande.

Maintenant que ces deux grandes étapes sont passées, quels sont les projets pour les années à venir ?
Rose-Marie et Pierre Fournier : Notre prochain challenge, qui nous tient vraiment à cœur, s’inscrit dans la politique de la ville dans les années à
venir. Comme tous les Columérins le savent, le Centre Commercial Plein Centre qui date de 1979, a réellement besoin d’être repensé et intégré dans
un nouvel aménagement du centre ville, que ce soit pour les commerçants, les Columérins afin de redonner de l’attractivité à Colomiers Centre. Nous
souhaiterions être pleinement intégrés dans cette réflexion qu’aura, nous l’espérons, la future équipe municipale, quelle qu’elle soit. Nous espérons
que les futurs élus ont conscience de l’évidence, l’urgence et l’importance de ce nouveau projet. Certes, c’est un projet ambitieux mais réellement nécessaire pour redonner de l’attractivité au centre ville et éviter que les Columérins aillent faire leurs achats dans les villes voisines. Il faudra que les commerçants y soient totalement impliqués car c’est un projet qui redessinera le centre ville pour les 30 ou 40 ans qui viennent.