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Le chantier de la Ligne C prend de la hauteur ! Ce jeudi 13 mars 2025, les élus et partenaires du projet se sont réunis pour poser symboliquement la première pierre de la station Labège Madron, future star du sud-est toulousain.

Située à deux pas de Labège 2, cette station n’est pas tout à fait comme les autres : perchée au-dessus du sol, elle s’étirera sur 55 mètres de long, 36 de large et 15 de haut. De quoi offrir un nouveau point de vue sur la ville ! Elle fera office de terminus pour la ligne B et assurera la connexion avec la toute nouvelle ligne C. Un véritable carrefour de mobilité pour le sud-est toulousain !

Cerise sur le chantier : la signature de la charte de Haute Ambition Environnementale, concrétisant les engagements de Tisséo en faveur d’une mobilité plus durable. Une avancée technique, mais aussi écologique, qui souligne la volonté de concevoir des infrastructures modernes, performantes et respectueuses de l’environnement.

150 arbres à Colomiers !

Et si un chantier de métro pouvait aussi faire pousser des arbres ? C’est le pari de Tisséo, qui a pris un engagement clair : pour chaque arbre retiré pendant les travaux de la future Ligne C, trois nouveaux seront replantés. Résultat attendu : 5 000 arbres remis en terre d’ici 2028 !

Deux zones ont été définies pour ces plantations : l’emprise directe des travaux (où il faudra attendre la fin du chantier pour replanter) et un périmètre plus large, dit « quartier », où les communes partenaires peuvent anticiper les plantations.

À Colomiers, on n’a pas traîné : entre 2022 et 2024, 150 arbres ont déjà trouvé racine dans des espaces soigneusement choisis après étude paysagère. L’idée ? Leur permettre de pousser tranquillement pendant que la ligne C se construit, pour qu’ils soient bien en place à la fin des travaux.

Au programme : érables, chênes, tilleuls, ormes résistants, frênes, noisetiers, arbousiers, pommiers, pruniers… Une belle diversité, pensée pour s’adapter au sol, au climat, et enrichir la biodiversité locale. Et ce n’est pas tout : dix arbres qui devaient être retirés ont été transplantés avec succès dans la commune.

Un bel exemple de coopération entre les acteurs du chantier et les collectivités, au service d’un urbanisme plus vert et plus durable.

Loisir un tant soit peu dévoreur de budget, le ski n’échappe pas à l’inflation. Doit-on pour autant se priver des joies de la glisse ? Pas forcément, pour peu qu’on sache où aller planter le bâton.
Direction nos belles Pyrénées avec la station de Cauterets. À la fois station de sports d’hiver et station thermale, cette charmante destination au bord du Parc National des Pyrénées est située à 950m d’altitude. Elle propose 2 domaines skiables, à savoir le Cirque de Lys avec ses 36 km de pistes de ski balisées et le domaine du Pont d’Espagne. Si le premier s’adresse au ski classique, le second privilégie les skieurs de fond, les activités nordiques et les balades en raquettes. Avec ses allures de ville à la montagne, la station de Cauterets est également riche d’un solide patrimoine historique et culturel, notamment dans le domaine du thermalisme.

Autre bon plan pour profiter des joies de la neige, la station de ski des Angles dans les Pyrénées-Orientales. S’il s’agit d’une petite station au cœur de la vallée de Capcir, elle propose pas moins de 55 km de pistes de ski alpin, soit l’un des plus grands domaines skiables des Pyrénées ! Alliant tradition et modernité, cette station se pare de nombreux équipements technologiques au service des visiteurs. Une télécabine 16 places unique sur le massif, une batterie de canons à neige impressionnante et le ballet nocturne des dameuses dernier cri assurent, durant tout l’hiver, des conditions optimales aux amoureux de la glisse.

Certes, le ski reste une activité plus onéreuse que la pétanque mais en faisant le choix de ces destinations proches de chez nous et reconnues pour leur accessibilité, ne vous privez pas de cette belle neige dont 2024 nous a gratifiés !

La satanée douceur du climat ayant fortement affecté les chutes de neige et leur tenue dans le temps cette saison, on pourrait de prime abord considérer la saison au ski comme foutue. Or, conscients que le climat change, les stations des Pyrénées se sont depuis bien longtemps adaptées pour proposer des alternatives au ski. De fait, il est parfaitement possible de passer des vacances de compétition à la montagne sans pouvoir pratiquer cette activité. À travers ce dossier, nous mettons en avant la richesse des alternatives montagnardes offertes par nos courageuses stations. Des sublimes randonnées en raquettes à la construction d’igloo jusqu’à la fascinante plongée sous la glace, découvrez les fabuleuses activités qui vous attendent au proche Sud de notre territoire.

Luchon Superbagnères

Situé à 1h30 de Toulouse, le domaine skiable de Luchon Superbagnères, véritable balcon naturel, offre grâce à ses 4 versants, une vue panoramique sur la vallée de Luchon et le toit des Pyrénées : l’Aneto.

Depuis le centre de Luchon, la télécabine offre un accès direct aux pistes de Superbagnères en moins de 10 minutes. S’ouvre alors à vous un domaine privilégié avec une topographie satisfaisant tous les goûts en termes de glisse. Des pentes douces pour les débutants, des descentes à contempler au cœur de la forêt ou de longues pistes aux forts dénivelés, tout le monde y trouvera son compte.

Diversifiée, la station offre bien plus que de l’expérience ski, à commencer par la possibilité de vous essayer au seul hammam naturel d’Europe ! Cultivant la tradition thermale depuis 2000 ans, la ville propose ce vaporarium exceptionnel dans les galeries creusées à même la roche.  Les vapeurs à l’odeur légèrement soufrée distillées à des températures oscillant entre 32°C et 47°C offrent une sensation unique à vivre au cœur des Pyrénées.

La station se parcours également en Arapaho. Cette trottinette des temps modernes taillée pour la montagne est bien plus accessible que son cousin le VTT grâce au centre de gravité placé très bas. Sensations fortes de la descente garanties !

Amis randonneurs, voici un décor à votre mesure ! Au départ de l’Hospice de France, différents sentiers sont à parcourir pour en prendre plein les yeux.

Chaussez vos raquettes depuis le Col de Menté et partez en famille et en forêt à la conquête de l’Escalette. Vous pourrez rentrer chez vous en ayant la fierté d’avoir vaincu un pic, rien que ça!

À noter que cette balade est idéale pour s’initier aux raquettes l’hiver mais est également une balade de choix à faire en famille l’été

En chiffres

28 pistes avec dominante de bleues (44%)

32 km de domaine skiable

13 remontées

Altitude 2122 – 1465 soit 657m de dénivelé

Photo : ESA

Vous vous souvenez de votre rêve de devenir astronaute? Parce qu’il est temps de l’exhausser.

À l’initiative de l’Agence Spatiale Européenne et pour la quatrième fois depuis sa création en 1975, une campagne de sélection d’astronautes est ouverte. Lors de la dernière en 2008, le génial Thomas Pesquet avait été retenu. C’est désormais à vous de tenter votre chance.

Il suffit (façon de parler) de remplir plusieurs critères. Avant tout, il faut être titulaire de la citoyenneté de l’un des 22 pays membres de l’ESA ou de ses 2 associés*. Le critère de l’âge est plafonné à 50 ans. Jusqu’ici, tout va bien. Il faut ensuite pouvoir se targuer d’un diplôme de niveau Master en sciences, mathématiques ou ingénierie assorti de 3 années d’expérience professionnelle pertinente. Maitrise de l’anglais niveau CEFR C1 minimum requise, connaissance d’une autre langue niveau CEFR B1-B2 appréciée (l’annonce ne dit pas si l’Occitan en fait partie).

En plus de ces éléments, les candidates ou candidats doivent avoir une forte motivation, la capacité de travailler à des horaires très fluctuants et ne pas ignorer qu’ils/elles voyageront beaucoup et seront donc souvent absent(e)s de leur domicile. Si vous comptiez être rentré pour regarder les Marseillais à Dubai c’est plié donc.

Entre 4 et 6 astronautes seront retenus pour des missions vers la Station Spatiale Internationale qui se déroulent actuellement mais également la Lune et plus tard Mars qui font partie des objectifs à venir.

À noter que cette démarche est ouverte aux parastronautes : concrètement, il s’agit d’étudier la possibilité d’inclure comme astronautes des personnes touchées par un handicap physique. Sont ainsi cités la perte d’un membre inférieur, une différence de taille des jambes ou une taille inférieure à 130 cm. L’idée est de ne pas se priver de talents pour une question de handicap physique qui ne gênerait en rien la bonne tenue des missions. Une très très bonne chose qui est cependant limitée (et on le comprend) par la faisabilité imposée par les contraintes techniques inhérentes au métier de visiteur spatial.

Le processus de sélection se tiendra comme suit :
– 31 mars au 28 mai 2021 : phase de candidatures.
– Mai à juin 2021 : examen des candidatures.
– Juillet à novembre 2021 : tests psychologiques.
– Janvier à avril 2022 : tests pratiques et psychométriques.
– Mai à juillet 2022 : sélection médicale.
– Juillet à septembre 2022 : première phase d’entretiens.
– Septembre 2022 : deuxième phase d’entretiens.
– Octobre 2022 : annonce de la sélection.

Lien pour postuler en cliquant ici

*Allemagne, Autriche, Belgique, Danemark, Espagne, Estonie, Finlande, France, Grèce, Hongrie, Irlande, Italie, Luxembourg, Norvège, Pays-Bas, Pologne, Portugal, Roumanie, Royaume-Uni, Suède, République Tchèque et Suisse. Plus la Slovénie et la Lettonie qui sont les membres associés.