Du 4 au 26 janvier, offrez une seconde vie à vos sapins ! Après les festivités, les sapins de Noël méritent une fin de vie utile et respectueuse de l’environnement. Le Grand Ouest Toulousain propose aux habitants une alternative écologique à la déchetterie grâce à sa campagne gratuite de broyage des sapins. Du 4 au 26 janvier, les habitants sont invités à déposer leurs sapins dans les points de collecte prévus à cet effet. Pour permettre un broyage efficace, les sapins devront être déposés sans leur socle, guirlandes et décorations. Liste des lieux de dépose sur le site du Grand Ouest Toulousain : www.grandouesttoulousain.fr
Un broyat transformé pour nos territoires
Une fois broyés, les sapins seront valorisés de deux manières : – Alimentation des composteurs collectifs : le broyat servira de “brun”, la réserve de matière sèche indispensable pour équilibrer les composts. – Paillage des massifs : les espaces verts des communes bénéficieront de ce paillage naturel, permettant de protéger les sols et de limiter l’évaporation de l’eau.
Grâce à cette initiative, Le Grand Ouest Toulousain poursuit son engagement en faveur d’une gestion durable des déchets verts tout en impliquant les habitants dans une démarche simple et écologique.
Un geste écologique pour bien commencer l’année
En participant à cette campagne, chacun contribue à réduire les déchets et à préserver les ressources naturelles. Cette action s’inscrit pleinement dans la politique environnementale du territoire et dans l’objectif de sensibiliser à des pratiques écoresponsables.
Ce samedi 5 octobre, Pierre-André Durand, préfet de la région Occitanie, préfet de la Haute-Garonne, Jean-Michel Fabre, vice-président du Département de Haute-Garonne représentant le président Sébastien Vincini, Jean-Luc Moudenc, maire de Toulouse, président de Toulouse métropole, et Karine Traval-Michelet, maire de Colomiers, vice-présidente de Toulouse métropole, ont inauguré la Maison des Transitions Ecologiques aux côtés de plus de 200 Columérines et Columérins rassemblés pour l’occasion. Accessible au grand public comme aux acteurs professionnels ou institutionnels, cet éco-lieu imaginé par la Ville de Colomiers est dédié à la promotion et à la mise en œuvre de solutions concrètes en matière de transitions écologiques, pour une société résolument plus durable, participative et innovante. La Maison des Transitions Ecologiques sera ouverte au public à compter du lundi 21 octobre prochain.
La Maison des Transitions Ecologiques a été créée par la Ville de Colomiers pour promouvoir les enjeux de développement durable, accompagner le déploiement de bonnes pratiques et faciliter les synergies entre les acteurs de terrain. Construit à partir de matériaux et procédés bas carbone, ce bâtiment exemplaire et innovant de près de 280 m2 représente un investissement de plus d’1,8 M€, assuré par la Ville de Colomiers (938 900 €), l’État (305 800 €), le Département de la Haute-Garonne (150 000 €) et Toulouse Métropole (440 000 €) qui a également mis la parcelle à disposition de la Ville pour 1€symbolique.
La Maison des Transitions Ecologiques sera ouverte au public en libre accès tous les mercredis de 9h à 18h, et en fonction des animations et ateliers programmés les lundis, mardis, jeudis et vendredis. Dès sa mise en service, elle proposera de nombreuses animations et événements culturels ou pédagogiques visant à sensibiliser aux enjeux climatiques et à promouvoir les initiatives locales : expositions, escape game, visites pédagogiques, formations, ateliers bas carbone « 2 tonnes », ateliers sur le réemploi et la réparation, permanences mensuelles de la Maison de l’énergie de Toulouse métropole … (voir programme en ligne, lien ci-dessous).
À l’occasion de l’inauguration et sur proposition de Karine Traval-Michelet, les partenaires du projet ont également rendu hommage à Fabien Jouvé, ancien conseiller municipal et métropolitain, et à Marie-Odile Bertrand, ancienne conseillère municipale. Deux espaces de la Maison des Transitions Ecologiques portent désormais leur nom en mémoire de leur engagement pour la transition écologique et la ville de Colomiers.
« La transition écologique est un engagement, qu’il soit individuel ou collectif. Tout acteur citoyen associatif ou du monde économique doit pouvoir s’inscrire dans cette démarche de transition. Et nous, pouvoirs publics, devons faciliter et permettre cet engagement. La Maison des transitions écologiques est une véritable opportunité et constitue un espace ressource sur le territoire pour fédérer et promouvoir les initiatives en faveur des Transitions. L’État se veut facilitateur, notamment au travers des contrats pour la réussite de la transition écologique. Je souhaite pleine réussite à la Maison des transitions écologiques, un sujet d’avenir ! ». Pierre-André Durand, préfet de la région Occitanie, préfet de la Haute-Garonne.
« C’est une immense fierté d’inaugurer aujourd’hui la Maison des Transitions Ecologiques de Colomiers. D’abord parce qu’elle sera LA maison des Columérines et Columérins engagés à nos côtés pour une ville plus verte et une planète plus durable. Mais aussi parce qu’elle symbolise la forte ambition portée par la Ville sur le front de la lutte contre le réchauffement climatique. La mobilisation collective et partenariale autour de ce projet illustre en effet son potentiel de rayonnement et l’intérêt qu’elle représentera pour l’ensemble du territoire métropolitain. Cette Maison des Transitions Ecologiques, c’est du concret pour agir aujourd’hui et des idées pour imaginer le monde de demain ! Elle représente à la fois la responsabilité et l’optimisme qui animent notre projet de développement durable pour l’avenir de Colomiers et de ses habitants. » Karine Traval-Michelet, maire de Colomiers, vice-présidente de Toulouse métropole.
« Je me réjouis de voir la Maison des Transitions Écologiques ouvrir ses portes à Colomiers. Ce lieu de rencontres, de partage des connaissances et de synergies va dans le sens de la nécessaire bifurcation écologique que j’appelle de mes vœux pour répondre aux enjeux du réchauffement climatique. Car nous devons éclairer les citoyens, les acteurs publics et économiques sur ces enjeux pour prendre les bonnes décisions. Le Département de la Haute-Garonne reste un partenaire solide auprès des communes, des intercommunalités et des acteurs haut-garonnais pour la réalisation et la réhabilitation d’équipements de proximité qui vont dans ce sens. Et je ne doute pas que la Maison des Transitions Écologiques devienne un lieu de référence pour la promotion et la mise en œuvre de solutions concrètes pour la bifurcation écologique de notre territoire haut-garonnais. » Sébastien Vincini, président du Conseil départemental de la Haute-Garonne.
« Toulouse Métropole a pour mission d’accompagner nos communes dans la réalisation de leurs projets. Grâce à notre fonds de concours, doté de 10 millions d’euros, nous soutenons les initiatives communales visant à accélérer la transition écologique de notre Métropole. La création de cette Maison des Transitions écologiques, à Colomiers, répond parfaitement à cet objectif, tout comme les 26 autres projets communaux qui ont d’ores et déjà bénéficié de notre soutien. Complémentaire à la Maison de l’Energie de Toulouse Métropole, cette nouvelle structure informe et conseille les habitants sur les bonnes pratiques à adopter en matière de développement durable. Ensemble, nous construisons notre avenir de manière responsable, en prenant toute la mesure des enjeux liés aux transitions de nos villes et de notre Métropole. » Jean-Luc Moudenc, maire de Toulouse, président de Toulouse métropole.
Engagement pris par La Municipalité, la création d’un lieu fédérateur ayant pour vocation la promotion des alternatives destinées à préserver l’environnement est actuellement sur les rails. Située au niveau du square Maquis-Roger-Pierre-Touron, à la jonction entre la rue d’Auch et l’allée de la Corrèze, la Maison des transitions écologiques est constituée de deux espaces: une halle à ossature bois en cours de construction et la maison de l’ancien garde-barrière en cours de rénovation.
La Maison des Transitions Écologiques (ou MTE) porte les engagements de la Ville en matière d’écologie, de transitions écologiques, de développement durable et de lutte contre le réchauffement climatique : elle traduit une action publique structurée autour d’engagements phares pour agir dans ce champ. Ce lieu ressource éco-exemplaire donnera à voir et à comprendre les expériences mobilisables par chaque acteur et les accompagner dans leurs nouvelles pratiques de transition.
La Maison des transitions écologiques devra : – Être un accélérateur de l’engagement des transitions douces en accompagnant le changement des pratiques au quotidien, à l’échelle de chacune et chacun, – Mettre en réseau les acteurs pour développer leurs éco-gestes comme leurs initiatives collectives, – Proposer un portail territorial des différents dispositifs existants en matière de transition, en appui de la mise en œuvre des 6 axes du Plan Climat 2017-2030 de Toulouse Métropole : aides à la rénovation énergétique des logements, solutions et aides, mobilités décarbonées, qualité de l’air, événements en faveur de la reconnexion à la nature, circuits courts, qualité alimentaire…
Pour sa construction mais également son fonctionnement, la MTE se veut exemplaire. Matériaux naturels, locaux et de réemploi, énergies renouvelables, gestion raisonnée de l’eau et assainissement par phytoépuration… Le nouveau bâtiment, « La halle », proposera un espace central de près de 120 m², ainsi que deux salles et une cuisine, permettant d’imaginer de multiples activités.
Martine Berry-Sévennes, Adjointe à Mme le Maire déléguée à la Transition écologique, au patrimoine naturel et aux mobilités et Karine Traval-Michelet, Maire de Colomiers et Vice-Présidente de Toulouse Métropole lors de la visite du chantier
À l’extérieur, l’aménagement paysager permettra de reconsidérer la nature et le jardin, véritables supports de réflexions et d’ateliers pédagogiques. Différents espaces ont été pensés et sont en cours de définition : – Le jardin d’eau : les eaux usées de la halle seront orientées vers deux jardins filtrants. – Le potager sera créé avec les usagers de la maison – Le jardin chameau et l’arbre à palabres : le jardin chameau est un jardin en creux, qui s’insère dans la trame des cheminements piétons. Ces poches de verdure sont des réceptacles qui récupèrent les eaux de ruissellement du site. A l’ouest, le jardin se ponctue par le grand platane constituant « l’arbre à palabres » avec un aménagement de bancs pour discuter et faire des rencontres à l’ombre. – Le Jardin de la mémoire : la vocation première du site de conserver et transmettre la mémoire de la Résistance en étant dédié au Maquis Roger et à Pierre Touron est conservée. Initialement situé au milieu de la parcelle, cet espace sera repositionné sur le site. – Le taillis urbain : le taillis urbain est un refuge pour la faune, une zone tampon préservant le jardin de la circulation automobile. Sa lisière intérieure, en amphithéâtre, est propice à l’arrêt.
Séduits et convaincus par le projet, plusieurs partenaires ont choisi d’accompagner la Ville de Colomiers dans la construction de la Maison des transitions écologiques pour un budget total de 1,6 million d’euros Financements complémentaires à l’investissement de la Ville de Colomiers : Toulouse Métropole à hauteur de 440 000 euros et le Conseil départemental pour 150 000 euros
Par maladresse, inattention ou étroitesse d’esprit, force est de constater que la zone du Perget est parfois en proie à des dépôts sauvages. Aussi esthétiques que bons pour l’environnement, ces « oublis » défigurent à long terme un espace où il fait pourtant bon vivre et venir se faire plaisir. Bien décidée à se remonter les manches pour lutter contre ce fléau, l’Association des Commerçants du Perget prend le problème à bras le corps en s’associant ce jour au mouvement World Clean Up Day.
Appelé aussi « Journée Mondiale du Nettoyage », le World Clean Up Day est une opération planétaire, lancée par l’association à but non lucratif Let’s do it Fundation, ayant pour objectif la lutte contre la pollution à travers des nettoyages citoyens. Elle aura lieu cette année le 18 septembre partout dans le monde, date à laquelle l’action de l’Association des Commerçants du Perget ne fera pas exception. Cependant, elle prendra les devants en se tenant du 15 au 19 septembre, la journée du 18 étant le point d’orgue de la manifestation.
Portant le numéro CleanUp 220, il sera effectué par les collaborateurs des enseignes membres de l’association.
Cette 4ème édition de ce que les intimes appellent le WCUD n’a bien entendu pas échappé à la municipalité. À vrai dire, depuis la première édition à Colomiers, le comité de quartier puis le Conseil municipal des jeunes associé au service de démocratie locale (appelle désormais Pôle Participation Citoyenne) se sont de suite associés et ont soutenu le projet. Il en sera de même pour cette édition 2021!
C’est avec des températures négatives que le dispositif d’amélioration de confort et d’efficacité énergétique MaPrimeRénov’ est mis en place ce lundi 11 janvier 2021.
Remplaçant à la fois le crédit d’impôt pour la transition énergétique (CITE) et les aides de l’Agence nationale de l’Habitat (Anah), MaPrimeRénov’ est une aide de l’État pour la rénovation énergétique. Lancée le 1er janvier 2020, le dispositif a été renforcé depuis le 1er octobre 2020 dans le cadre du Plan de relance de l’économie. Ainsi, elle est désormais accessible à tous les propriétaires, à toutes les copropriétés et ce quels que soient vos revenus ou si vous occupiez ou mettiez en location le logement.
En plus de cette ouverture au plus grand nombre, plusieurs bonifications ont également été mises en place :
un bonus sortie de passoire (lorsque les travaux permettent de sortir le logement de l’état de passoire thermique – étiquette énergie F ou G)
un bonus bâtiment basse consommation (pour récompenser l’atteinte de l’étiquette énergie B ou A)
un forfait rénovation globale (pour les ménages aux revenus intermédiaires et supérieurs afin d’encourager les bouquets de travaux)
un forfait assistance à maîtrise d’ouvrage (pour les ménages souhaitant se faire accompagner dans la réalisation de leurs travaux).
Permettant donc de financer les travaux d’isolation, de chauffage, de ventilation ou d’audit énergétique, MaPrimeRénov’ est calculée en fonction des revenus du foyer et du gain écologique permis par les travaux. D’un montant forfaitaire, elle est encadrée par 4 plafonds en fonction des niveaux de revenu susnommés. Se distinguent ainsi la version bleue, jaune, violette et rose. Une 5ème variation existe pour fixer les barèmes lorsque les travaux sont réalisés par les copropriétés. Un simulateur « Simul’Aid€s » (disponible en cliquant ici) vous permet de savoir à quel profil vous appartenez et à quel niveau d’aide vous avez droit. Vous devrez simplement décrire votre projet de travaux et votre situation personnelle. À noter que les travaux doivent avoir été effectués par des entreprises labellisées RGE (Reconnues Garantes pour l’Environnement).
Autre bonne nouvelle, MaprimeRénov’ est cumulable avec d’autres aides à la rénovation énergétique comme les Certificats d’économie d’énergie (CEE), ou encore les aides des collectivités locales ou celles d’Action logement. Par ailleurs, vos travaux bénéficient d’un taux réduit de TVA à 5,5 %.
Pour bénéficier de ce dispositif, vous pouvez depuis ce jour déposer vos dossiers de demande sur le site www.maprimerenov.gouv.fr
En France, des entreprises se sont lancées dans la fabrication de petites maisons mobiles, les Tiny house. A l’origine conçues pour répondre à des situations d’urgence, elles sont également devenues un mode de vie alternatif, écolo et tout confort.
Vivre dans une roulotte au milieu d’un champ ? Un mode de vie devenu réalité pour certains, parfois par envie, parfois par nécessité. Que ce soit dans une caravane, un mobile home ou une Tiny house. La Tiny house, mais qu’est-ce que c’est ? Ces logements d’environ 20 m2, bon marché, en bois et montés sur remorque. Ils se veulent rapides à fabriquer et simples à déplacer. Le concept est né dans les années 2000 aux Etats-Unis. Il s’agissait d’un habitat d’urgence, en réponse à l’ouragan Katrina et à la crise de 2008. Depuis quelques années, le concept s’est développé outre-Atlantique, mais aussi en France, s’encrant dans une démarche alternative et marquée par le souhait de revenir à un habitat minimaliste, écologique, moins coûteux et mobile. Un mode de vie alternatif, mais qui se veut confortable…
MALGRÉ LEUR PETITE TAILLE, LE CONFORT EST LÀ.
Ces logements se caractérisent avant tout par leur petite surface qui renferme le strict minimum. Ni plus, ni moins. Mais ce mode de vie alternatif, ne rime pas forcément avec inconfort. Certains fabricants se positionnent sur ce nouveau concept tout en concevant des tiny house sur mesure et design. Pour être en conformité avec les normes européennes, la maison ne dépasse généralement pas les 3,5 tonnes, pour 2,5 m de large, 4 de haut et 6 de long. Loin d’être un palace 4 étoiles donc, les 20 m2 y sont néanmoins complètement optimisés. Résultat : l’espace comporte une cuisine équipée, une table, un canapé, une mezzanine faisant office de chambre, une salle de bains avec douche et lavabo, des toilettes séparés, un ballon d’eau chaude, un système de chauffage… Et la note chaleureuse que confère le bois. La chambre est généralement sur une mezzanine.
… ET ÉCOLOGIQUE
Les tiny sont souvent équipées de toilettes sèches. L’autre aspect majeur qui caractérise la Tiny house est sa dimension responsable. A cela s’ajoute des menuiseries en bois qui assurent la continuité esthétique avec le bois et améliorent les performances énergétiques avec leur double vitrage. Le bois est partout, des menuiseries aux parois. Les isolants sont souvent biosourcés ou recyclés.
UNE MAISON MOBILE MAIS…
Si la mobilité de la Tiny house est un atout à bien des égards, elle engendre néanmoins quelques inconvénients. Déjà parce qu’une voiture tractant une maison consomme beaucoup, ce qui va à l’encontre de l’argument écologique venté par les concepteurs. De plus, la Tiny House ne se destine pas vraiment aux voyageurs qui rêvent de s’aventurer partout puisqu’elle reste une grosse structure encombrante qui d’un point de vue logistique n’est pas pratique. Elle est en fait plus un hébergement semi-sédentaire que semi-nomade. A déplacer avec modération donc, plus en fonction des besoins que des envies !
Saviez-vous que chaque Français conserve chez lui en moyenne 58 kg d’appareils inutilisés ? C’est ce qu’affirme une étude de eco-systeme.fr ! Les objets neufs ont leur mode d’emploi, mais qu’en est-iil des appareils hors d’usage ou inutilisés ?
C’est pour répondre à cette problématique et palier à ce phénomène en permettant d’exploiter au mieux nos ressources, que les magasins Boulanger lancent la « big collecte » du 25 mai au 5 juin à l’occasion de la semaine du développement durable. Faites le tri, puis rendez-vous dans vos magasins Boulanger pour déposer vos vieux appareils, achetés ou non chez l’enseigne. De grands paniers de collecte vous y attendent !
Qu’arrive-t-il ensuite à vos vieux sèches-cheveux, micro-ondes et frigo ? Pour revaloriser vos appareils, il faut leurs offrir une seconde vie en les réparant ou en les recyclant. Chaque objet que vous apporterez sera « épluché », les déchets triés et aiguillés vers les filières de transformation. Tout est fait dans les règles de l’art, tout est tracé, tout est transparent. Si vous êtes curieux, l’enseigne explique tout juste ici. Grâce à cet engagement ce sont 17 913 tonnes d’anciens produits électriques et électroniques qui ont été ramenés en 2018, soit 1,3 tour Eiffel…
D’ailleurs, Boulanger s’allie avec l’association Reforest’Action avec pour objectif de planter 20 000 arbres ! Comment un réfrigérateur usé peut permettre de planter des arbres, me direz-vous ? En partenariat avec Reforest’Action, c’est un arbre qui est planté en France tous les 40 kg de produits électroniques et électroménagers usagés ou inutilisés collectés.
Vous respirerez doublement mieux en y amenant vos appareils qui traînent puisqu’ils aideront à planter un arbre !
Rendez-vous dans votre Boulanger de Colomiers ZAC du Perget, Rue Marie Curie, 31770 Colomiers Facebook Boulanger Colomiers
Proposée par l’association Pibraction Environnement, cette projection débat aura lieu le 4 juin à 20h30 à Pibrac. Ce film conte le périple de Mathieu Gimenez, depuis la source de la Garonne, au pied du glacier de l’Aneto, jusqu’à l’embouchure de la Gironde. Le voyage se déroule à pied. Mathieu découvre des paysages sauvages, insolites, intemporels, au fil de l’eau, où s’invite une réalité bien contemporaine : celle de l’action de l’homme, du réchauffement climatique et des nuages qui s’amoncellent sur le grand fleuve. Les rencontres se succèdent. Au bout du voyage, à l’embouchure, un constat : si rien n’est fait pour gérer l’eau de manière cohérente et parcimonieuse, la Garonne, « ce fleuve lisse», pourrait n’être qu’un lointain souvenir en 2050.
Mais des solutions de bon sens existent. À l’homme de s’inventer son champ des possibles…
On considère que les problèmes liés au réchauffement climatique s’inscrivent dans le long terme et très souvent loin de chez nous….et pourtant ! Réduction des glaciers des Pyrénées, hydrologie de bassin modifiée, sècheresses estivales plus marquées, va-t-on tout droit vers une pénurie et de ce fait des conflits socioprofessionnels entre différents utilisateurs de l’eau ? Des réponses diverses sont formulées, parfois antagonistes. L’Agence Adour Garonne a mené une étude prospective sur les fleuves pyrénéens en 2050 et les résultats ne sont pas rassurants.
Être acteur de changement est un élément positif et des éléments encourageants sont identifiés dans ce film. Thierry Gentet met en avant nos capacités techniques dans le domaine spatial, celui des biotechnologies et des méthodes agricoles innovantes. Et puis il faut penser également à économiser et revoir nos pratiques de consommation.
De la source de la Garonne au pied de l’Aneto, en passant par la vallée de l’Artiga, Saint Béat, Portet sur Garonne… et bien d’autres sites , nous pourrons comparer, évaluer et engager une discussion enrichie avec l’auteur.
Projection – débat en présence du réalisateur
« Quand la Garonne aura soif », un film de Thierry Gentet Mardi 4 Juin à 20h30 Salle polyvalente (6 boulevard des écoles) Entrée libre et gratuite
Hier l’association toulousaine Consign’Up lançait son projet réfléchit depuis 1 an dont le but est de revenir au système de consigne pour les bouteilles en verre.
L’expérience a lieu de mai à juillet entre producteurs de vin, de jus, de bières, points de vente et de collecte de l’agglomératon. La vingtaine de commerces qui se sont prêtés au jeu sont à retrouver sur le site de l’association www.consignup.org comme La vie Claire à Cornebarrieu, Le Grand Panier Bio à Purpan ou encore certains Biocoop. Consign’Up espère récolter en trois mois plus de 10 000 bouteilles en partenariat avec les brasseurs iconiques de la région tel le BBT, Jean Brasse, La Braxéenne, Ratz, Brasserie de La Seillonne…
Comment ça marche ?
Chaque bouteille possédant cette pastille fait partie de l’opération, vous n’aurez plus qu’à la rapporter à votre commerçants la prochaine fois que vous viendrez faire le plein et récupérer au passage le petit supplément versé à l’achat. Simple, non ?
Ensuite, les bouteilles sont envoyées à Bordeaux pour être lavées avant d’être renvoyées chez les partenaires pour être réutilisées.
Une volonté environnementale et écologique forte
Le but de Consign’Up est de revenir à cette pratique largement utilisée dans les années 60 avant que l’utilisation des emballages à usage unique ne devienne la nouvelle tendance, au détriment de la planète… En France, tous les ans 2,5 millions de tonnes de verre sont collectés. Le taux de recyclage est alors de 86%, une belle performance, qui entraine malheureusement des émissions de CO2 importantes. Alors pourquoi jeter une bouteille en parfait état ?
Un réemploi des bouteilles en verre entraine une réduction de 79% d’émissions de CO2, de 76% des besoins en énergie primaire et de 33% d’eau, comparé au recyclage.
On espère que l’expérience va porter ses fruits pour cette belle initiative toulousaine ! L’objectif pour Consign’Up sera ensuite de pouvoir financer une station de lavage et ainsi favoriser l’économie locale en créant de l’emploi. Une affaire à suivre de près !
L’un des fers de lance de la municipalité de Plaisance du Touch sera la lutte contre les gaz à effet de serre. Dans ce sens, l’équipe municipale a décidé de montrer l’exemple en s’équipant tout d’abord de véhicules propres. « L’idée est d’amorcer la lutte face à l’urgence écologique », explique le maire de la ville. Un gage d’exemplarité que l’on retrouvera aussi dans l’éducation des plus jeunes, et une féroce sensibilisation au respect de l’environnement. « La municipalité souhaite cette année planter des arbres aux abords des écoles, au lac Soula, et dans les lieux publics. Une végétalisation qui permettra de limiter les émissions de CO2, et de lutter contre le réchauffement climatique », appuie Michèle Lavayssières. C’est ainsi que, par le biais de l’éducation, les bons réflexes écologiques se sèment. « Cette opération “ 1 Classe 1 Arbre ” sera initiée en octobre 2019. Nous voulons montrer que chacun a un rôle à jouer, et encourager les parents à planter à leur tour », conclut Philippe Guyot. Un acte pédagogique qui promet des lendemains plus purs, ou du moins plus éclairés.