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Etendue sur 65 hectares sur les hauteurs de Saint Caprais, l’exploitation gersoise de la Ferme Bio Bourdette a été précieusement confiée de génération en génération. La ferme agricole comprend notamment un hectare de maraîchage consacré à la culture de la pomme de terre, un des produits phare de l’hiver, déclinée en quatre variétés aux noms poétiques, pour répondre à toutes vos envies : Désirée, Chérie, Monalisa et Eden !

Fruit du travail minutieux et passionné de plusieurs générations, la Ferme Bio Bourdette est une belle histoire de famille. Les actuels propriétaires, Aurélie et Laurent Laffont, jeunes quarantaines, se sont spécialisés dans la grande culture : blé, tournesol, soja, pois chiches et lentilles sont récoltés et vendus aux coopératives bio de la région. Lorsque Laurent a repris l’exploitation de son beau-père en avril 2013, sa conversion en bio est apparue comme une évidence. Aurélie, par ailleurs active dans le secteur hospitalier, a quant à elle rejoint l’entreprise en 2018. Elle est à l’initiative de la culture de pommes de terre, qui rencontre un franc succès en vente directe et dans les Biocoop gersoises et de la région toulousaine.

La pomme de terre est sans nul doute l’un des produits les plus appréciés par les Français pour sa diversité de goût et d’utilisations possibles, et sa longévité, puisqu’elle se conserve longtemps, et on la retrouve à toutes les saisons ! « Ce qui nous rend fiers, c’est certainement notre sélection de pommes de terre qui permet de satisfaire une clientèle variée, il y en a pour tous les goûts ! La Chérie possède une chaire ferme, idéale pour une cuisson vapeur. Elle agrémentera parfaitement vos salades. Avec sa chaire délicieusement tendre mais qui tient bien à la cuisson, La Désirée est vivement recommandée pour un gratin ou une raclette », nous confie Aurélie. Retrouvez également l’Eden pour vos frites maison gourmandes et la polyvalente Monalisa, qui conviendra à toutes vos préparations, dans votre Biocoop de Purpan !

Initialement prévu pour le 7 juin, le Triathlon des portes de Gascogne s’est vu ,comme l’immense majorité de ses consorts, dans l’incapacité de se tenir à cette date. Touché mais pas coulé, il se tiendra finalement le dimanche 20 septembre à la base de loisirs de L’Isle-Jourdain, dans le Gers.

Photo : Triathlon des portes de Gascogne

Organisée par les deux clubs SPLACH Triathlon et Portet Triathlon, il propose deux formes de compétition individuelles : le format S et le format M.  Plébiscité par les participants, ce dernier fait son grand retour avec un nouveau parcours sur les belles routes du Gers.

Les inscriptions sont dores et déjà ouvertes en suivant ce lien
https://tripodega32.assoconnect.com/page/800030-tarifs-inscriptions

Ce décalage est donc l’occasion de peaufiner votre technique, notamment pour ceux qui n’ont pas pu s’entraîner correctement lors du confinement. Saluons au passage le travail mené par l’organisation afin de pouvoir faire de cette édition 2020 une réalité. Niveau sécurité, et conformément aux directives de la FFTRI, un protocole particulier sera appliqué et adapté aux spécificités de l’événement.

Plus d’infos sur le site:
https://tripodega32.assoconnect.com/page/799962-accueil 
et sur la page facebook:
https://www.facebook.com/pg/TriathlonPortesDeGascogne/about/?ref=page_internal

L’été est là. Il fait chaud. Rien de tel que le voile de coton si léger à porter.

MAISON de SAVE vous propose des kimonos, des nuisettes, des robes légères, des pantalons larges : des vêtements parfaitement adaptés aux chaleurs estivales. Et plein d’autres idées originales, des objets inspirés par leur voyages que vous ne trouverez nulle part ailleurs : comme du linge de table, des nappes, des serviettes aux imprimés colorés.

Maison de Save abrite des chambres d’hôtes de luxe, une boutique de décoration et une terrasse salon de thé, à L’Isle-Jourdain , dans le Gers, juste à l’ouest de Toulouse.

Alors que les Français sont toujours plus nombreux à adopter des poules comme animaux de compagnie, à la campagne mais aussi dans les jardins en ville. Le Gersois Gasco innove avec une gamme inédite de graines bio pour basse-cour. À la clef : du bien-être pour les volailles domestiques et des œufs de qualité ! Le tout avec des céréales produites par des agriculteurs du Gers et en circuit court.

Sur le marché du bio européen, la France se tient à la 2ème place. 85% des Français se disent intéressés par des produits bio et locaux. C’est en partant de ce constat que Gasco a décidé de lancer une gamme bio pour animaux de basse-cour, plébiscités par une population de retraités, jeunes cadres, néo-ruraux en demande de produits frais et naturels. Par définition le bio sécurise. Les poules nourries à base d’aliments biologiques ne nécessitent pas de traitement, sont en meilleure santé et produisent des œufs de qualité. Le bio est bénéfique au bien-être de l’homme et à celui de l’animal : tout le monde y gagne.

La gamme de produits a été développée pour répondre aux besoins particuliers des habitants de nos basses-cours : poussin ou poule adulte, poule pondeuse, canard, dindon… Plusieurs mélanges, du plus simple au plus complexe, sont disponibles en différents formats.

Gasco pense également aux producteurs dans cette démarche : « Nous veillons à répondre en permanence aux attentes des consommateurs toujours en quête de produits locaux sains, novateurs et responsables. Dans le même temps, nous dynamisons la filière en offrant aux producteurs locaux qui décident de convertir leurs cultures au bio un débouché de commercialisation directe sur un marché porteur » explique Damien Leca, dirigeant de Gasco.

En résumé, cette entreprise fait les choses bien. Que ce soit pour les poules, les consommateurs, les producteurs ou l’environnement, tout le monde s’y retrouve !

Gasco
www.gasco.fr
Fb : @Gasco.gers

Avec l’heure estivale, vient celle des festivals. Rock, du monde, mainstream, ou classique, toutes les musiques sont à l’honneur. Mais les stars de la pop, les riffs de guitare et les mouvements pour violoncelles ne sont pas les seules têtes d’affiche de ces rendez-vous incontournables. En effet, le théâtre aussi fera vibrer les planches cet été… Tour d’horizon des pépites qui rythmeront cet été 2019.

 

Miles Davis disait qu’« il ne faut pas avoir peur des fausses notes en jazz.. ça n’existe pas ! ». C’est pourtant bel et bien un festival sans fausse note qui nous attend avec cette édition 2019 de « Jazz In Marciac ». Du 25 juillet au 15 août, une programmation savamment orchestrée, avec des têtes d’affiche comme « Mélody Gardot », « Sting », « Roberto Fonseca », ou encore le grand « Chucho Valdés », envoûtera les vallons du Gers. Le temps d’une déambulation sous les arcades, ou d’une pause sur la place de la Mairie, le temps sera à la découverte sonore, avec des pépites à savourer sur place : « El Comité », « Christian Scott », ou « Samy Thiebault », viendront ainsi rythmer la journée de temps forts en émotion. Du calme des ruelles adjacentes, à la symphonie tonitruante qui s’échappe du chapiteau, amateurs et aficionados se côtoient alors, autour des mêmes effluves jazzy. Et jours après jours, les surprises s’enchainent au rythme du métronome : « Grégory Porter », « Kimberose », « Thomas Dutronc Et Les Esprits Manouches », « Roberto Fonseca » seront aussi à compter parmi les pépites de cette 41e édition.
Infos : www.jazzinmarciac.com

 

© Rick Triana

Dans un secteur qui évolue de jour en jour, Immo-Solo innove en aidant les propriétaires à mettre en valeur leur bien immobilier de façon professionnelle, tout en économisant 100% des honoraires d’agence.

Le concept d’Immo-Solo est né dans l’esprit d’Annick et Hubert, deux quinquas bondissants, à la lecture d’un sondage : 70% des propriétaires qui vendent un bien immobilier préfèreraient se passer d’agence. Mais le duo fondateur de la start-up a aussi été frappé, au cours de ses propres recherches de biens à acheter, par l’aspect généralement très amateur des petites annonces de particuliers. Rendre ces biens visibles et crédibles tout en laissant les propriétaires piloter de manière autonome la diffusion de leur annonce et la gestion des visites. Depuis fin 2018, l’entreprise accompagne les propriétaires qui décident de mener par eux- mêmes la vente de leurs biens immobiliers. Le service est disponible pour l’instant sur le Gers et la Haute-Garonne et s’étendra rapidement au reste de la France.

PAS DE COACHING MAIS UN ACCOMPAGNEMENT À L’AUTONOMIE

5 outils professionnels d’exception sont mis à disposition des propriétaires :

  • une annonce qui accroche
  • des photos remarquables
  • des centaines de fl yers à distribuer dans leur quartier
  • un dossier de vente absolument exhaustif, rarement vu même pour des biens immobiliers haut de gamme
  • un guipe pratique complet et fiable

DES ÉCONOMIES DE 10 000 € À… BEAUCOUP PLUS

Avec cette solution, les vendeurs économisent également  les frais d’agence qui s’élèvent souvent à des dizaines de milliers d’euros. Et ne doivent plus débourser qu’une somme forfaitaire « tout compris » en fonction du pack correspondant à leur taille de logement (- de 100 m2, + de 100 m2 ou vastes domaines). Le positionnement original d’Immo-Solo est donc de proposer des services d’agence… de communication pour ne plus devoir passer par une agence… immobilière !

100% DES BIENS VENDUS DANS UN DÉLAI DE 15 JOURS À 1 MOIS

De ces premiers mois d’activité, Immo-Solo a pu dresser un bilan très positif de son concept : « 100% des propriétaires qui nous ont confié la valorisation de leur bien grâce à notre pack d’outils professionnels ont vu se réaliser leur vente dans un délai record de 15 à 28 jours. » a constaté Hubert.

Si vous cherchez à vendre un bien, ces arguments vous amèneront sûrement à contacter Immo-Solo.

Annick Ohayon – Tél. 06 78 72 55 27
Hubert Sauner – Tél. 06 11 02 87 27
www.immo-solo.com contact@immo-solo.com

Puisqu’ «on ne mange toujours qu’une fois, même quand on mange beaucoup » (dixit Alexandre Dumas), autant choisir sa table avec attention. Sur les conseils de la boutique Maison de Save, c’est sur le restaurant le d’Artagnan situé à l’entrée de l’Isle-Jourdain, que nous avons jeté notre dévolu.

À peine la porte franchie que le personnel nous prend en charge avec vitesse mais sans précipitation. Il en sera de même pour l’arrivée des plats sitôt la commande passée. Un rapide coup d’œil sur le menu nous donne le ton : la cuisine est élaborée sans trop en faire tout en donnant la part belle au Gers. Clairement une bonne chose donc. Dans le même registre, la large carte des vins représente fièrement nos productions nationales, de Bordeaux jusqu’à Narbonne.

Nous optons pour la classique formule entrée+plat pour la somme de 14€90, soit un tarif classique pour ce genre de prestation. Assiette sur table, nous restons admiratifs devant la présentation implacable de cette entrée composée de légumes qui s’avère être ensuite parfaitement harmonieuse en bouche. Constat identique sur le plat (à savoir un filet de lotte façon paëlla servi dans une grande assiette noire aux allures de 33 tours) qui offre une remarquable cohérence, due notamment à une cuisson et un assaisonnement maîtrisés. C’est d’ailleurs ce terme qui qualifie le mieux ce restaurant : la maîtrise. Que ce soit dans l’accueil, le service ou dans l’auge, on sent une volonté de faire bien sans en faire trop. Exactement ce qu’on aime.

Restaurant Le d’Artagnan
35 Route de Toulouse, 32600 L’Isle-Jourdain
05 62 67 83 94
Fb : @ledartagnan32600

Natif de Lavelanet en Ariège où ses parents sont agriculteurs et producteur de volailles, Kévin Antony a eu très tôt le goût des bonnes choses cultivées de produits naturels. Il change de profession et décide d’aborder une nouvelle activité, dans un domaine qui lui est cher, les produits naturels de notre terroir. Avec sa camionnette réfrigérée aux dernières normes françaises, il sillonne notre département pour apporter les produits commandés direct producteur. Son but, faire connaître les produits exclusivement de la région tel que la truite, le fromage, les tisanes et confits de fleurs d’Ariège, la viande de l’Aveyron et Ariège, les légumes (tous bio) du Gers et les fruits (bio) du Tarn et Garonne.

Des produits d’épicerie sont aussi proposés à la vente ! Un site 100% LOCAL et 100% en ligne qui permet aux gens qui veulent consommer local le moyen de le faire. 

Vous pourrez voir apparaître la liste des produits et toutes les informations concernant les commandes qui doivent se faire avant le mardi midi, pour une livraison, en point retrait le vendredi et à domicile le samedi. Possibilité de livraison dans votre entreprise.

« Evidemment je ne remplace pas un supermarché, mais si je peux apporter aux personnes qui le souhaitent une alternative pour faire travailler nos agriculteurs alors tout le monde est gagnant. »

Deuxième commune la plus peuplée du Gers avec 8 800 habitants (22 000 habitants dans la communauté de commune), L’Isle Jourdain connaît une croissance démographique fortement accélérée depuis les années 2000 . Le bouillonnant ouest Toulousain n’est pas étranger à cette tendance mais la ville est loin d’être un simple dortoir Airbus. Nous avons rencontré Monsieur Idrac, Maire de la commune et président de la Communauté de communes de la Gascogne Toulousaine pour connaître sa vision du développement socio-économique territorial. Le moins que l’on puisse dire, c’est que son approche est des plus humaines. Explications.

Une valse à 3 temps

Si vous arrivez à l’Isle-Jourdain depuis Toulouse, vous ne pouvez pas manquer la zone d’activité Le Roulage où se dresse fièrement le bâtiment d’eXcent à la façade en résille des plus futuristes. Les 15,8 hectares du site accueillent et vont accueillir des entreprises spécialisées dans l’aéronautique mais également de l’artisanat. Avec 250 emplois créés (objectif 500 dans 3 ans), les 20 lots sont tous attribués et les dernières implantations auront lieu en 2020. En gros, cette zone à peine établie est déjà remplie. D’où la création de la zone Pont Peyrin 3. Il s’agit de 15 hectares en cours de viabilisation jouxtant Pont Peyrin 2 (derrière Bricomarché) dans une optique de zone commerciale et de service. Bien que ce projet soit en route, le profil de Pont Peyrin 4 et 5 est déjà en projet tellement la demande des entreprises est forte. Dans une spécialisation purement tertiaire, la zone Les Martines est en cours d’achat. D’une surface de 24 hectares et située en face du golf, elle aurait pour vocation de créer notamment une clinique gériatrique, répondant à la demande croissante de ce genre de service.

Une ville à la campagne

Ce succès n’est pas dû au hasard. Interrogé sur cette réussite en cours, Monsieur Idrac reste humble et met en avant le travail de toute son équipe. La volonté première est de conserver l’identité de la région. « Quand vous arrivez à Pujaudran, vous sentez que vous êtes dans le Gers. On veux garder ça » nous confie-t-il. Un travail constant de valorisation du patrimoine est d’ailleurs réalisé sur la zone, entretenant une forte activité touristique. Il insiste ensuite sur le maintien habitat/travail. Hors de question d’avoir une ville vide aux heures de bureau qui ne reprend vie que passé les embouteillages. La clef de ce succès repose sur l’articulation entre offre de services pour les résidents (la ville de l’Isle-Jourdain compte pas moins de 120 associations culturelles et sportives, un cinéma, une gare bien desservie sans oublier un attrait touristique très important) et un climat qui incite les entreprises à s’implanter durablement (larges zones d’activité, activités connexes, connexion très haut débit…). Résultat, une commune moteur au sein de sa communauté de communes qui se développe sans dénaturer son héritage. Le développement économique ne se fait d’ailleurs pas au détriment de l’agriculture locale qui est pleinement intégrée à cette logique d’équilibre.

Cette volonté de cohérence va plus loin et permet de maintenir un centre ville commercialement actif tout en assurant des zones extérieures en plein essor. Peu peuvent se targuer d’un tel résultat. Comme quoi, quand on pense à l’humain avant l’argent, tout est finalement plus simple…

10h. C’est le coup de sifflet qui annonce le départ du marché au gras. Sous la halle de 500m2, producteurs locaux et acheteurs négocient. Venus du Var, de Marseille, de Toulouse, ou même de Chine, les clients investissent les lieux. « Le plus fort afflux de fréquentation se fait de novembre à mars, le dimanche matin », explique Sylvie Varin, adjointe en charge de la Halle Au Gras. Et pour assurer un service maximal, quatre découpeurs sont mis à disposition du public, qui le temps de l’attente, profite des animations proposées. Démonstrations culinaires, dégustations, et petit marché bio : autant de festivités qui rythment les dimanches froids de la saison forte du canard. « A l’image de ceux de Samatan, Eauze ou Seissan, ce lieu fait partie des derniers marchés au gras authentiques », confie Sylvie Varin. Avec près de 300 foies et carcasses exposés, les halles brassent jusqu’à 500 visiteurs en pleine saison, et voient de plus en plus de jeunes initiés parcourir les stands. « On apprécie revenir au “bien-manger”, redécouvrir les produits, et se faire conseiller pour préparer nous-même nos foies », développe Clémence, 25 ans et originaire de Toulouse. De nouveaux clients séduits par le contact direct avec le producteur, et rassurés par la qualité d’exception du produit.

Zoom sur JACQUES CANDELON, producteur de foie gras et patron de la société « Paysan Gersois ».

Originaire de Vic Fezansac, cet éleveur de canetons arbore le visage du producteur 2.0. Toujours dans le respect de la tradition et du produit, c’est à grande échelle qu’il veut promouvoir le savoir-faire du Gers. « Nous vendons à ce jour 240 000 canards par an. La moitié sera destinée aux gaveurs et revendue sur les marchés, tandis que les 120 000 restants seront abattus, découpés et transformés », explique Jacques Candelon, qui poursuit : « Nous suivons un cahier des charges strict, qui garantit au client que toutes les étapes de fabrication se font dans le Gers. Nous ne voulons surtout pas céder aux modes de fonctionnement actuel, qui poussent à la claustration des animaux par exemple. En préservant les modes traditionnels, nous garantissons le même niveau qualitatif depuis nos débuts ». Doté d’un marketing bien ficelé, et maniant avec dextérité les réseaux sociaux et les outils de communication, le producteur a su faire décoller sa marque et son entreprise. En effet, il bénéficie aujourd’hui de son propre panel d’éleveurs et de gaveurs. Le chef d’entreprise est d’ailleurs autonome en ce qui concerne la logistique, l’abattage, la découpe et la transformation. « Gimont est la capitale du foie gras. Le marché me permet de garder un lien avec le terroir, un contact direct avec le terrain, la clientèle et les producteurs », confie le patron de « Paysan Gersois ». Un entrepreneur qui demeure avant tout fils de producteur, et qui ne tient pas à oublier ses racines.