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detox vs retox

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À l’heure où le dieu détox nous dicte ses 12 commandements, et où la culpabilité pèse sur ceux qui s’en écartent, la tendance 2019 se tourne désormais vers le plaisir. Saturés des jus de légumes, algues et tisanes, fatigués des préceptes hygiénistes à tout crin et de la tyrannie du « Well being »… on redécouvre sans complexe les joies de la gourmandise transgressive et des petits plaisirs interdits délectables. Repensée, réintroduite avec volupté et de manière intelligente, la retox consciente n’a que du bon. Alors, à l’image du yin et du yang, on équilibre, on alterne les cycles astreinte/ relâche… et on se fait du bien coûte que coûte !

© Hélène Ressayres

Florence De Le Rue, diététicienne et psycho-nutritionniste à Toulouse, fait fondre les idées reçues autour du régime, essore les contraintes, et mitonne une nouvelle approche du « bien manger ». Adepte de l’écoute de soi et d’une réconciliation avec la cuisine, cette militante pour le plaisir casse les codes. Ici, le diététiquement correct n’a plus sa place, et s’il est une règle, c’est de hacher fi n la culpabilité. « L’excès est en partie en lien avec le fait qu’il est diabolisé. De par son effet pervers, la culpabilité nous pousse à manger davantage. Plus on retrouve un lien sain et serein avec les aliments, plus on va vers un équilibre alimentaire. Si l’on se focalise vraiment sur les sensations que l’on ressent, on gère beaucoup mieux les quantités. Le but est de se plonger dans un état de pleine présence, pour un objectif 100% plaisir », explique la nutritionniste Florence De Le Rue.

 

Dans cette quête de lâcher prise, cette activiste du bien-être a récemment sorti « L’Anti-Mythe Alimentaire ». En partenariat avec l’illustratrice Emma Tissier, elle donne vie à Gigi, un personnage décalé et rigolo, qui passe à la moulinette 10 croyances alimentaires, avec amour et bienveillance. Du sucre, au gras, en passant par les produits laitiers, les protéines, les légumes, les féculents, et le grignotage… on jette les idées reçues au compost, et on se concocte une belle image de soi. Le tout garanti sans régime et 100% délice !

 

À l’heure où le dieu détox nous dicte ses 12 commandements, et où la culpabilité pèse sur ceux qui s’en écartent, la tendance 2019 se tourne désormais vers le plaisir. Saturés des jus de légumes, algues et tisanes, fatigués des préceptes hygiénistes à tout crin et de la tyrannie du « Well being »… on redécouvre sans complexe les joies de la gourmandise transgressive et des petits plaisirs interdits délectables. Repensée, réintroduite avec volupté et de manière intelligente, la retox consciente n’a que du bon. Alors, à l’image du yin et du yang, on équilibre, on alterne les cycles astreinte/ relâche… et on se fait du bien coûte que coûte !

Si le « Healthy » nous serine de privations en tous genres, la culpabilité pèse moins lorsque l’on consomme responsable et en circuits courts. Désormais, on sait comment manger gourmand sans faire de mal à la planète. « L’alimentation est la base de la vie, du lien social, de l’économie et a de gros impacts en ce qui concerne l’écologie, la politique et la société. Il est important d’en prendre conscience et de faire attention à ce que l’on met dans son caddie. C’est un système global qui, à mon sens, est censé multiplier les échanges au niveau local ; et chaque repas, s’il est bien pensé, est l’occasion de faire du bien à son corps et à l’environnement ». Des propos de Cyril Picot, co-fondateur de chez Minjat, qui en disent long sur l’état d’esprit de l’enseigne.

Ici, on remplit son assiette en fonction des saisons, on vient faire le plein d’idées recettes qui ont l’air d’accommoder les restes, et on se fait plaisir avec des produits du terroir pour la plupart. « Nos amandes viennent du Languedoc, nos noix, noisettes, et endives rouges du Tarn-et-Garonne, le chia d’Ariège et nos champignons ou légumes feuilles de la Haute-Garonne », explique Cyril Piquot. Mais ce qui fait aussi la vraie valeur ajoutée de « Minjat », demeure indéniablement la passion qui anime toute l’équipe de l’enseigne. Ici, on vient pour demander conseil et reprendre goût au partage, mais aussi à une cuisine conviviale et accessible à tous. Le plaisir est le maître-mot chez ses fils d’éleveurs et de producteurs d’Armagnac. La gourmandise n’est désormais plus un vilain défaut, puisqu’elle est éthique. Et les bières columérines, pâtes à tartiner locales et chips de l’Aveyron, trônent sans complexe sur les étals, pour le plus grand plaisir des épicuriens éveillés.

MINJAT
2/4 Av. André-Marie Ampère
31770 Colomiers
Tél. 05 82 08 30 73

À l’heure où le dieu détox nous dicte ses 12 commandements, et où la culpabilité pèse sur ceux qui s’en écartent, la tendance 2019 se tourne désormais vers le plaisir. Saturés des jus de légumes, algues et tisanes, fatigués des préceptes hygiénistes à tout crin et de la tyrannie du « Well being »… on redécouvre sans complexe les joies de la gourmandise transgressive et des petits plaisirs interdits délectables. Repensée, réintroduite avec volupté et de manière intelligente, la retox consciente n’a que du bon. Alors, à l’image du yin et du yang, on équilibre, on alterne les cycles astreinte/ relâche… et on se fait du bien coûte que coûte !

Très pratiquée dans les pays de l’Est, la CCE (Cryothérapie Corps Entier) Air sec, connue essentiellement pour la récupération et la réhabilitation après blessures, s’avérerait efficace dans bien des domaines. Anti-inflammatoire, anti-douleur et anti-stress, cette méthode fait de plus en plus parler d’elle. Le principe : un choc thermique à -110°C entraînant une cascade d’événements commandés par le système nerveux autonome, et qui aboutit à plusieurs phénomènes : une stimulation du système vasculaire, une sécrétion de cortisol-responsable du coup de fouet ressenti après les séances-, mais aussi de sérotonine, dopamine, et endorphines, assurant un état de bien-être. Magali Fourcade, infirmière et cryothérapeute du « Cryopôle » à Blagnac, explique : « Notre centre labellisé CCE Air Sec, offre tous les bénéfices du froid thérapeutique. Nous croyons fermement aux nombreux résultats en matière de qualité de vie apportés par ces séances. Et nous observons de réels progrès : une diminution des raideurs et douleurs articulaires ou musculaires, une meilleure récupération post-opératoire, une diminution des prises médicamenteuses, et un moral à la hausse, comme en témoigne nos patients souffrant de fibromyalgie, polyarthrite, ou encore d’arthrose. Précurseurs en la matière, nos centres proposent d’ailleurs des tarifs très préférentiels pour les personnes atteintes de sclérose en plaques ». Une technique qui serait aussi efficace face à la dépression, aux angoisses, aux burn-out, et aux problèmes de sommeil. « Nous recevons régulièrement des hôtesses de l’air qui veulent se recaler suite à un « jet-lag » », complète l’infirmière du « Cryopôle ».

Une technique totalement détox basée sur un froid thérapeutique qui boosterait les défenses immunitaires, aurait un fort pouvoir anti-oxydant et stimulerait la production de collagène. « Si l’idée de s’exposer au grand froid des cabines de cryothérapie angoisse certains, l’écoute des professionnels de santé et le bilan rigoureux effectué avant la première séance découverte, permettent de profiter de tous les bienfaits de cette thérapie naturelle », rassure la responsable du centre « Cryopôle ».

CRYOPÔLE
2 Impasse Emile Zola,
31700 Blagnac
Tél. : 05 61 86 34 20

À l’heure où le dieu détox nous dicte ses 12 commandements, et où la culpabilité pèse sur ceux qui s’en écartent, la tendance 2019 se tourne désormais vers le plaisir. Saturés des jus de légumes, algues et tisanes, fatigués des préceptes hygiénistes à tout crin et de la tyrannie du « Well being »… on redécouvre sans complexe les joies de la gourmandise transgressive et des petits plaisirs interdits délectables. Repensée, réintroduite avec volupté et de manière intelligente, la retox consciente n’a que du bon. Alors, à l’image du yin et du yang, on équilibre, on alterne les cycles astreinte/ relâche… et on se fait du bien coûte que coûte !

La pratique d’une activité physique régulière est, comme le sait tout un chacun, le b.a.-ba de la tribu détox. Mais tandis que, peu à peu, s’infiltre la nostalgie des longues soirées cocooning, on troquerait volontiers jogging et running contre canapé relax et pantoufles. Le temps de quelques lignes, on se l’autorise : on se love dans le fauteuil de chez « Fama » à retrouver chez « L’Ameublier » à Colomiers. On se laisser bercer par sa ligne modulable et attendrir par son tissu personnalisable, qui s’intègrera à tous les intérieurs.

 

© Julien Alias

Dans cette lutte pour le plaisir coupable qu’est le farniente, on revisite sa déco des sols au plafond, pour des ambiances zen. « Pour se couper de tout et se créer son petit coin de paradis, on optera pour des lignes épurées et light, aux couleurs sobres et douces », partagent Perrine Felus et Julien Alias, responsables du magasin « L’Ameublier » de Colomiers. Et ça tombe plutôt bien, puisque, cette année encore, le pastel est à l’honneur. Vert amande, rose poudré, beige, ou bleu layette, les atmosphères se ouatent. « Il y a aussi un vrai retour aux éléments, aux couleurs terracotta, à des textures authentiques comme le cuir ou le bois à noeud, aux motifs végétaux et au velours. Une tendance « Nesting » qui apporte chaleur et cocooning aux espaces », développent les professionnels de « L’Ameublier ». On se laissera aussi conquérir par la tendance du vert, qui envahit les intérieurs en 2019 et invite à la détente. Pour ceux qui voudraient profiter du bonheur de rester chez soi et se laisser aller à la paresse…

L’AMEUBLIER
16 Av. André-Marie Ampère,
31770 Colomiers
Tél. : 05 34 36 01 91

 

À l’heure où le dieu détox nous dicte ses 12 commandements, et où la culpabilité pèse sur ceux qui s’en écartent, la tendance 2019 se tourne désormais vers le plaisir. Saturés des jus de légumes, algues et tisanes, fatigués des préceptes hygiénistes à tout crin et de la tyrannie du « Well being »… on redécouvre sans complexe les joies de la gourmandise transgressive et des petits plaisirs interdits délectables. Repensée, réintroduite avec volupté et de manière intelligente, la retox consciente n’a que du bon. Alors, à l’image du yin et du yang, on équilibre, on alterne les cycles astreinte/ relâche… et on se fait du bien coûte que coûte !

Car quoi de plus anarchiste dans ce monde « Mens sana in corpore sano », que l’arrivée d’un jeu vidéo au sein de la famille. Pause contreproductive dans notre démarche de bien être à tout va, antéchrist de la « clean attitude » … et si l’on faisait le tri dans les bacs, pour finalement se laisser aller à la manette intelligemment ! « Il existe plusieurs sortes de jeux vidéos : de celui qui défoule et vide la tête à la fin d’une longue journée difficile, à celui qui vous apprend des choses ou développe vos sens », explique Mekki Selatnia, responsable du magasin Micromania Zing de Colomiers. En effet, si certains jeux en ligne peuvent se révéler addictifs voire nocifs, il existe nombre de programmes aux effets bénéfiques méconnus. « Les jeux éducatifs enseignent tout un tas de chose, selon l’âge et le niveau de chacun. Des langues étrangères, au maths, en passant par le français, l’apprentissage se fait désormais de façon ludique », développe Mekki Selatnia. C’est le cas d’« Adibou » sur PC, « Apprendre L’Anglais », ou encore « Le Programme D’Entraînement Cérébral Du Docteur Kawashima », stimulateur de sens et de neurones. D’autres jeux, comme « Mine Craft » développeraient quant à eux la créativité et l’imagination. « Les jeux plaisir privilégient la convivialité, en famille ou entre amis. Une bonne façon de se détendre autour de mini-thématiques au graphisme de plus en plus soigné », complète Mekki Selatnia. « Mario Party », « Mario Kart », « Rayman », ou encore « Ratchet And Clank », ambiancent ainsi les soirées autour du partage. Alors, avant de jeter la manette au bûcher, si on repensait le jeu autrement ?

MICROMANIA ZING
17 Place d’Occitanie
31770 Colomiers
Tél. : 05 61 30 24 54