Les enseignes et commerces de la ville attendaient des actes forts de la part de la municipalité en faveur de la protection des commerces. Au terme du conseil municipal du 9 juin, il semblerait que ce soit chose faite. 3405261938
La première mesure concerne l’exonération du droit d’occupation du domaine public (terrasses). Ainsi, les cafés, restaurants et commerces assujettis à un droit d’occupation du domaine public en seront purement et simplement exonérés pour l’année 2020. Cette mesure représente un montant global de 20 000 euros.
La seconde est un abattement de 20% de la Taxe Locale sur la Publicité Extérieure (TLPE) pour l’année en cours. Pour rappel, cet impôt concerne les dispositifs publicitaires et varie selon la nature et la surface desdits supports. Il impact 25% des commerces de la ville pour une valeur totale d’environ 100 000 euros.
Ces aides locales viennent en complément des aides aux entreprises mises en œuvres par Toulouse Métropole, la Région Occitanie et l ’Etat.
Très bonne nouvelle pour nos petites entreprises :
lundi 4 mai, le ministre de l’Action et
des Comptes publics Gérald Darmanin a annoncé « la suppression
des charges sociales pour toutes les entreprises de moins de dix salariés qui
ont fait l’objet d’une fermeture administrative depuis le
15 mars ». Cette annonce fait suite à celle du 24 avril concernant
les pme des secteurs de l’hôtellerie/restauration et
des arts et spectacles qui prévoyait l’exonération des
cotisations sociales de la période de mars à juin.
Cette exonération est une des premières pierres d’un
plan d’action de relance économique qui sera présenté à la rentrée par Bruno Le Maire, le ministre de l’Economie.
Sortie du confinement approchant, le casse-tête commence pour les entreprises qui reprennent une activité « normale » (si je puis-dire). Outre les désormais acquis gestes barrière, d’autres types d’aménagements ont vu le jour, comme les sens de circulation ou les différents EPI (Equipement de Protection Individuelle). Nonobstant cet armada de mesures, la question de la sécurisation du personnel et des clients reste épineuse selon la nature de l’activité. Respecter une distance d’un mètre entre chaque personne quand on est coiffeur relève de l’utopie.
Voila pourquoi, Le ministère du Travail dans le cadre d’un groupe de travail piloté par l’INTEFP (Institut National du Travail, de l’Emploi et de la Formation professionnelle), avec le concours du ministère de l’agriculture, de l’Anses, du réseau Assurance maladie risques professionnels, de l’INRS, de l’Anact et des médecins du travail coordonnés par Présance, a rédigé des fiches conseils destinées aux employeurs. Ce dernier est en effet responsable de la santé et de la sécurité de ses salariés, bien que ces fiches soient utiles aussi à tous les travailleurs pour se protéger des risques de contamination au COVID-19.
Comme vous en dresser la liste exhaustive serait aussi lourd qu’inintéressant, je vous invite à cliquer ici afin d’en retrouver l’intégralité. Elles sont classées par thème et vous pouvez également compter sur la barre de recherche du même site.
Lors de sa visite chez Leroy Merlin Colomiers samedi 25 mai, Alain Di Crescenzo, président de la Chambre de Commerce et d’Industrie d’Occitanie nous a accordé une interview. Entre réactivité, solidarité et agilité, il revient sur cette crise en cours et la façon dont nos entreprises l’abordent. Également présent et intervenant, Mr Claude Carrère, directeur de Leroy Merlin Colomiers et président de l’Association des Commerçants du Perget, qui a pu nous apporter son témoignage.
Diagonale : Alain Di Crescenzo bonjour, pouvez-vous avant tout faire un point sur la situation ?
Alain Di Crescenzo : Bonjour Diagonale. Bien que le déconfinement soit pour le 11 mai, bien des entreprises n’ont pas arrêté leur activité depuis le mois de mars. Je pense notamment aux commerces de première nécessité mais également toutes les sociétés qui ont pu passer en télétravail. Ainsi, nous sommes dans une phase de reprise avec à terme l’accueil dans des conditions de sécurité parfaites pour les clients et le personnel. Ces derniers voient énormément de gens dans la journée, il est donc essentiel de les armer efficacement avec des équipements de protection individuelle mais également des marquages au sol, de la gestion de file et des sens de circulation dans les magasins.
Diago : Vous êtes aujourd’hui chez Leroy Merlin pour la réouverture du magasin, les aménagements et EPI (Equipement de Protection Individuels) sont-ils à la hauteur ?
ADC : Le magasin est tout simplement exemplaire. Avant même d’y entrer, la gestion de la file d’attente extérieure est assurée par un membre du personnel. Il en va de même pour la circulation dans le magasin avec du gel hydro-alcoolique à disposition. Au niveau des caisses, rien ne manque : plexi, masques, gants, la sécurité des collaborateurs et des clients est pleinement assurée.
Claude Carrère : Je tiens justement à remercier mon équipe car le magasin a continué de fonctionner depuis 5 semaines par le drive et le site web. Cette agilité, nous la devons à une trentaine de collaborateurs tous volontaires qui ont permis à Leroy Merlin de s’adapter en un temps record. Nous avons réinventé notre métier dans un mouvement collectif très motivant et communicatif. Merci à tous ces employés qui permettent aujourd’hui d’accueillir le public dans des conditions irréprochables. Ce public est également à saluer : respectueux des procédures, faisant preuve de patience et d’une formidable bonne humeur, leur confiance nous prouve que nous sommes sur la bonne voie face à cet enjeu sanitaire et économique inédit.
Diago : On sait que cette crise va impacter également les grosses entreprises, notamment Airbus et ses sous-traitants. De quelle façon cet ensemble va-t-il être impacté et en réponse, abordé ?
L’aéronautique est notre 3ème employeur en région Occitanie, derrière l’agriculture et le tourisme. Airbus, c’est environ 26 000 emplois directs (tout autant en indirect) sur Toulouse et alentours, représentant 20% de la masse salariale totale de l’entreprise. Des baisses de chiffre d’affaires sont inévitables mais la réponse doit être définie de façon globale en considérant cet écosystème complexe dans son ensemble.
Diago : La CCI répond donc présente au défi en cours. Quels sont les moyens de s’armer pour les entrepreneurs qui n’ont pas poursuivi leur activité durant le confinement pour la reprise du 11 mai ?
ADC : Premièrement les aménagements essentiels pour les lieux accueillant du public et la protection des salariés qui sont absolument essentiels. Ensuite, il est très important de communiquer sur la réouverture et horaires de l’établissement. Vous pouvez pour cela intégrer la carte des entreprises actives disponibles sur le site de la CCI. Sous forme d’un Google Map et gratuite, elle est la vitrine des sociétés actives. Demandez les aides gouvernementales pour les entreprises telles que le chômage partiel, le prêt garanti d’Etat ou encore le fond de soutien. Nos 212 agents de la cellule de crise sont à votre écoute au 0805 18 19 20. Depuis le début de cette crise, la CCI a réalisé 23000 actions d’aides et de soutien aux entreprises. À disposition également, des fiches conseils métiers pour aider les salariés et les employeurs dans la mise en œuvre des mesures de protection contre le COVID-19 sur les lieux de travail (disponibles en cliquant ici )
Claude Carrère : il est important de savoir se remettre en question et tendre vers des solutions agiles et efficaces. J’ai pour exemple Minjat, magasin d’alimentation locale à Colomiers qui a su rester pleinement actif lors du confinement en trouvant les solutions auprès de ses fournisseurs et en aménagent son circuit de vente avec bon sens. Avec pour mots d’ordre réactivité et solidarité, ils ont abordé cette situation de façon exemplaire.
Dans le contexte de crise sanitaire lié au COVID-19, Boulanger ouvre 80 Drives Piétons et Parking sans contact partout en France, pour permettre à ses clients de commander et retirer des produits d’équipement de première nécessité en toute sérénité. Dans notre région, c’est le magasin de Colomiers qui rentre dans cette activité avec une organisation exceptionnelle mise en place pour garantir la sécurité des collaborateurs et des clients
Servir les besoins essentiels de la vie en confinement
Service actuellement disponible, l’ensemble des produits en vente sur boulanger.com sont éligibles et permettent de servir avant tout les besoins essentiels de la vie en confinement.
Aucun contact physique n’a lieu entre les équipes Boulanger et les clients. Les collaborateurs volontaires sont tous équipés de gants, de masques et de gel hydroalcoolique. Les gestes barrières sont respectés de la manière la plus stricte. De la commande au retrait de produits, une organisation exceptionnelle a été mise en place pour assurer la sécurité sanitaire de tous.
Comment se déroule ce système d’achat :
1. Le client
commande sur boulanger.com et sélectionne le Drive
Piéton ou Parking à proximité de son domicile.
2. Le retrait
peut s’effectuer lorsque le client reçoit un SMS confirmant la disponibilité de
leur commande au Drive. Il peut alors venir quand il le souhaite dans le
respect des créneaux d’ouverture.
3. Une fois
arrivé sur place le client peut se signaler soit par téléphone dans le cas d’un
Drive Parking, ou à l’entrée du magasin pour un Drive Piéton, en présentant son
numéro de commande et sa pièce d’identité.
4. La commande
est placée directement dans le coffre préalablement ouvert pour un Drive Parking,
sur une table dans le respect le plus strict des gestes barrières pour un Drive
Piéton. Tout est organisé pour éviter les contacts
physiques.
Aussi inédite que contraignante, la crise pandémique que nous
vivons est, outre une question sanitaire, un véritable labyrinthe pour les
acteurs économiques. Pour y voir plus clair, l’Etat et le Parlement ont pris à
travers la loi d’urgence sanitaire un certain nombre de mesures exceptionnelles.
Au-delà, la Région Occitanie Pyrénées-Méditerranée, le Département de la Haute Garonne
et Toulouse Métropole ont également annoncé des dispositifs d’aides et de
soutien aux différents acteurs du monde économique.
Dans ce contexte, l’Office du Commerce, de l’Artisanat et des
Services (OCAS) de Colomiers va désormais recueillir vos éventuelles
interrogations, afin d’agir de façon collective. En effet, cette structure est
le relais approprié pour faire le lien avec la Chambre de Commerce et de la
Chambre des Métiers. De la même manière, le Club d’Entreprise de l’Ouest Toulousain
a également été sollicité.
Entrepreneurs, si vous souhaitez apporter des idées, poser
vos questions ou manifester vos doléances liées à cette crise sanitaire, vous
pouvez adresser vos courriers à la Mairie de Colomiers ou vos mails à l’adresse :
contact@colomiers-malin.com
Par ailleurs, quand cela sera possible, la municipalité en
place proposera un examen des situations et, après un vote en conseil
municipal, des mesures exceptionnelles et des exonérations ciblant des taxes et
redevances communales.
Enfin, il est important de valoriser toutes les entreprises
et tous les commerces ouverts. Pour ce faire, ces derniers sont invités à se
faire connaître à la même adresse électronique.
Egalement soucieuse du bien-être économique de la zone, la
rédaction de Diagonale s’associe à cette démarche et ouvre ses colonnes à toute
entreprise ou association en activité afin d’en faire écho auprès du plus grand
nombre.
Ce mois-ci, Un Air de Famille s’est invité chez Rose-Marie et Pierre Fournier, dirigeants du Super U Colomiers et devenus figure du commerce local incontournable.
Diagonale : Quel a été votre parcours avant de reprendre le Super U de Colomiers Pierre Fournier : Nous étions depuis de longues années dans le secteur de la grande distribution alimentaire, 20 ans pour ma part chez Carrefour en tant que directeur d’hypermarché en particulier à Paris et dans le Pas-de-Calais et Rose-Marie en tant que chef de rayon. Nous étions déjà totalement immergés dans cette activité avant de prendre notre décision de nous mettre à notre compte. C’était donc une démarche mûrement réfléchie. Pourquoi avoir choisi l’enseigne Super U ? Rose-Marie et Pierre Fournier : Nous avions le choix entre plusieurs enseignes mais au final Super U nous a paru la plus dynamique et surtout la plus adaptée à notre vision du métier.
Comment s’est passée votre arrivée à Colomiers et en quelle année ? Rose-Marie et Pierre Fournier : Nous avons repris ce magasin en 2006. Il était, à cette époque, en grande difficulté financière et ce, depuis déjà plusieurs années. Il nous fallait relever ce délicat challenge très rapidement. Nous avons pu le réaliser en impliquant nos collaborateurs à notre projet d’entreprise. Nous avons mis en place un système de rémunération de notre personnel lié aux performances économiques de chacun des rayons. Le résultat a été rapide et efficace puisqu’en deux ans, nous remettions le bateau à flot et nous avons pu ainsi responsabiliser toutes nos équipes sur des objectifs concrets. Depuis votre reprise, vous avez opéré à des modifications d’aménagement de votre magasin ? Rose-Marie et Pierre Fournier : Tout à fait puisqu’après cette première étape financière, nous l’avons totalement relooké et réaménagé. C’était non seulement pour lui donner un coup de jeune mais également pour le réadapter aux besoins d’aujourd’hui en optimisant sur surface globale tout en créant deux boutiques (CamaÏeu et Jennyfer) qui donnent sur la rue du Centre. Cela a permis de rendre les achats dans notre magasin beaucoup plus agréable pour notre clientèle et de répondre au mieux à leur demande.
Maintenant que ces deux grandes étapes sont passées, quels sont les projets pour les années à venir ? Rose-Marie et Pierre Fournier : Notre prochain challenge, qui nous tient vraiment à cœur, s’inscrit dans la politique de la ville dans les années à venir. Comme tous les Columérins le savent, le Centre Commercial Plein Centre qui date de 1979, a réellement besoin d’être repensé et intégré dans un nouvel aménagement du centre ville, que ce soit pour les commerçants, les Columérins afin de redonner de l’attractivité à Colomiers Centre. Nous souhaiterions être pleinement intégrés dans cette réflexion qu’aura, nous l’espérons, la future équipe municipale, quelle qu’elle soit. Nous espérons que les futurs élus ont conscience de l’évidence, l’urgence et l’importance de ce nouveau projet. Certes, c’est un projet ambitieux mais réellement nécessaire pour redonner de l’attractivité au centre ville et éviter que les Columérins aillent faire leurs achats dans les villes voisines. Il faudra que les commerçants y soient totalement impliqués car c’est un projet qui redessinera le centre ville pour les 30 ou 40 ans qui viennent.
Le 28 janvier s’est tenue la 1ère réunion de la nouvelle association des commerçants et professions libérales de Tournefeuille baptisée Made In Tournefeuille. Les 2 associations historiques « Mon Village et ACPL 31170 » ont été dissoutes pour n’en faire plus qu’une. La parité est de mise dans cette organisation, puisque les postes du bureau sont tenus égalitairement par des membres des 2 anciennes associations.
Made In Tournefeuille la représentation de l’ensemble des artisans, commerçants et professions libérales de la commune auprès des administrations, collectivités locales, chambres consulaires et tous autres organismes administratifs, associatifs ou économiques, qu’ils soient publics ou privés. Elle aura également en charge la défense des intérêts de ses membres, l’opposition, par tous les moyens légaux et toutes les voies de droit, aux actes de concurrence déloyale et bien sûr la contribution à la dynamisation commerciale de la commune de Tournefeuille et de ses différents quartiers.
C’est donc un tout nouveau bureau , plein de dynamisme qui a accueilli près de 70 personnes autour d’un verre de l’amitié. Il a pu présenter les projets qu’il souhaitait porter au sein de la commune sur les mois à venir. Un temps de questions/réponses a permis à l’assemblée d’échanger avec le bureau mais également avec Monsieur le Maire et ses représentants. Au terme de la réunion, l’association compte déjà 40 membres et espère bien en acquérir de nouveaux d’ici la prochaine réunion du 25/02.
Made In Tournefeuille contact@madeintournefeuille.fr Fb @MadeInTournefeuille
Dès le début d’année 2020, l’entreprise EasyMile testera pour la troisième fois à Toulouse ses navettes autonomes. Seulement, pour la première fois, il n’y aura pas d’opérateur à bord grâce au nouveau cadre législatif promis par la ministre des Transports lors d’une visite en 2017 à Toulouse. Ce nouveau test, qui s’effectuera à l’Oncopole, permettra aux navettes de faire la jonction entre l’Institut et son parking visiteurs.
Après deux expérimentations concluantes à Pibrac, puis dans le centre-ville de Toulouse, la pépite locale EasyMile avait annoncé début mai le lancement prochain d’un troisième test de ses navettes autonomes à Toulouse, sur le site de l’Oncopole. Néanmoins, aucun calendrier de mise en oeuvre n’avait été communiqué hormis la tenue d’une réunion préparatoire entre Toulouse Métropole et EasyMile à la mi-juin.
18 mois d’expérimentation
Ainsi, cette nouvelle phase de tests se déroulera en quatre temps. Tout d’abord, en février 2020, le véhicule d’une capacité de 12 personnes dont six places assises se déplacera sur la contre-allée nord du trajet reliant l’Oncopole à son parking visiteurs. Puis il effectuera le même trajet durant l’été 2020, mais cette fois-ci sans opérateur à bord.
Jusqu’à présent, la réglementation française permettait de réaliser ce type d’expérience seulement sur des voies fermées à la circulation. En visite à Toulouse le 10 novembre 2017, la ministre des Transports, Élisabeth Borne, avait alors promis de « donner un cadre plus souple pour les expérimentations de véhicules autonomes », face aux équipes de la jeune pousse. Parole tenue grâce notamment à la loi Pacte, promulguée en 2018, sans oublier la loi LOM récemment adoptée par l’Assemblée Nationale, et qui facilite aussi la tenue d’expérimentation de véhicules autonomes.
Une distance de 800 m à effectuer
Avec ce nouveau cadre législatif, les divers acteurs du dossier ont pensé ce test pour faire le lien entre le parking déporté visiteurs et patients et l’Institut. Les navettes EasyMile seront ainsi un complément au service actuel de navettes thermiques, qui font aujourd’hui la jonction.
Vous êtes à la recherche d’un emploi ? Nous vous avons regroupé les annonces les plus récentes de la région !
Monkey Park – Plaisance-du-Touch et L’Union
Dans le cadre de son développement Monkey Park Plaisance-du-touch et L’Union recrutent deux CDD 24h évolutif. Permis B indispensable. Travail le mercredi, vendredi, samedi, dimanche vacances scolaires et jours fériés. Merci d’envoyer vos CV à contact@monkeypark.fr
Cotton Club – Colomiers
La brasserie le Cotton Club située en plein centre de Colomiers (Place de la Mairie) recrute :
un serveur pour un CDI en temps plein de 39h. Le poste dispose de 2 jours de repos dont le dimanche. À pourvoir immédiatement.
un commis de cuisine pour un contrat en CDI 39h.Cuisine traditionnelle française à base de produits frais. Le poste dispose également de 2 jours de repos hebdomadaire dont le dimanche. Vous serez en continu ou en coupure. À pourvoir immédiatement.
Adressez votre CV par mail à cottonclub31@hotmail.fr ou contactez Mr Éric PIMENTA au 0669415119.
Basket Club – Léguevin
Suite a un désistement, le Basket Club Léguevinois est à la recherche d’un coach motivé pour prendre leur jeune équipe U20 garçons. Pour 2 entraînements par semaine + une vingtaine de matchs sur la saison (championnat régional). Pour toute information complémentaire ou pour proposer vos services, contactez : president.bcl@gmail.com
Le d’Artagnan – L’Isle-Jourdain
Le restaurant Le d’Artagnan et sa jeune équipe proposent une cuisine » bistronomique » ! Ils recherchent deux temps pleins:
Un Chef de partie ( formé en pâtisserie de préférence)
Un Commis de cuisine
Qualités demandées : Ponctualité, Dynamisme, Gaieté, Esprit d’équipe ! Horaires sans dépassement : Du mardi au vendredi midis : 8h30 -15h et les Vendredis- samedis soirs : 17h30-23h . Salaire selon profil.
Possibilité de covoiturage au départ de Colomiers !
Contactez Jason et Céline au 0652845056
Crossfit – Colomiers
Le Crossfit Colomiers Athletic Center recherche un coach pour dispenser des cours de CrossFit entre 7 et 10h par semaine. Envoyez votre CV à crossfitcolomiers@gmail.com