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Cette rentrée 2022 s’annonce particulièrement compliquée pour l’ensemble du marché toulousain. En effet, on se retrouve avec une concentration de points négatifs comme la pénurie de logements neufs, la hausse des matières premières, des taux d’intérêt et du prix au m2, qui auront des répercussions évidentes sur les transactions de la métropole toulousaine pendant quelques semestres.

Photo : Julien Hank Fitte

Ne nous méprenons pas, toutes les grues que nous voyons sont liées à des autorisations de construire qui datent de deux ans. Mais aujourd’hui entre la pandémie et la remise à plat du Pluih, le nombre de permis de construire acceptés a terriblement chuté, ce qui aura pour conséquence un déficit de logements neufs. Pénurie qui a déjà commencé il y a deux ans dans notre métropole qui accueille chaque année l’équivalent d’une ville comme Cugnaux !Tout d’abord, celle-ci aura des incidences sur les 3 ou 4 prochaines années car on ne pourra pas rattraper le retard rapidement. On parle en effet d’une chute de 60% de mises en circulation de lots !!Les taux d’intérêt sont remontés fortement ces derniers mois et le taux d’usure n’ayant pas été revus à la hausse, les acceptations de crédit ont par conséquent baissé également.

La hausse des matières premières s’est encore renforcée à la sortie du Covid avec la guerre en Ukraine. A cela se rajoute la loi Climat et Résilience votée en 2021 qui vise à diviser par deux l’artificialisation des sols d’ici 2030.Tous ces points vont mécaniquement provoquer une baisse du marché en volume de transactions que l’on estime à près de 50% et d’une hausse du prix au mde près de 15% d’ici 4 ans. Et tout cela avant l’arrivée du LGV !

On y est enfin ! Libres des contraintes sanitaires, de nouveau dans les beaux jours, le temps est enfin au renouveau et on compte bien en profiter ! Pour vous inspirer, Diago consacre ce mois-ci son dossier aux activités indoor/outdoor à découvrir sur notre territoire ainsi qu’aux partenaires indispensables pour les couronner de réussite.

Sport de raquette majeur en France, le tennis pourtant est une adaptation anglaise du jeu de paume. Totalement démocratisée, sa pratique intéresse encore et toujours, comme en témoigne la bonne santé de grandes infrastructures dédiées telle l’US Colomiers Tennis.

Avec 16 courts (8 terres battues dont 4 couverts, 3 greenset intérieurs et 5 extérieurs en béton poreux avec éclairage), le club est un inévitable de la région. Bien que sa pratique soit ouverte à toutes et à tous, l’US Colomiers Tennis dispose dans ses rangs de joueurs de très haut standing comme Kenny de Schepper ou encore Thibaut Verdier pour ne citer qu’eux. De véritables exemples pour les pratiquants qui peuvent d’ailleurs commencer dès 3 ans par le biais de l’école de tennis. La formation est un point clef de cette structure qui accompagne et suit toute personne désireuse de s’impliquer dans ce sport. Il naît de cette posture différentes formules adaptées à toute forme de public. Je vous invite à vous rapprocher du club pour en savoir plus.

Établi depuis 1963, l’US Colomiers Tennis s’est pleinement intégré dans son environnement. En plus de partenariats avec les collectivités territoriales (Ville, Département, Région…), des partenaires privés comme celui avec Decathlon Colomiers sont fermement établis. Quand on sait que la marque vient de devenir le nouvel équipementier de Gael Monfils, on imagine bien l’importance d’une telle entente.
US Colomiers Tennis
2 Bis Allée des Alpilles
31770 Colomiers
05 61 78 16 78
www.uscolomierstennis.com

À l’heure où le dieu détox nous dicte ses 12 commandements, et où la culpabilité pèse sur ceux qui s’en écartent, la tendance 2019 se tourne désormais vers le plaisir. Saturés des jus de légumes, algues et tisanes, fatigués des préceptes hygiénistes à tout crin et de la tyrannie du « Well being »… on redécouvre sans complexe les joies de la gourmandise transgressive et des petits plaisirs interdits délectables. Repensée, réintroduite avec volupté et de manière intelligente, la retox consciente n’a que du bon. Alors, à l’image du yin et du yang, on équilibre, on alterne les cycles astreinte/ relâche… et on se fait du bien coûte que coûte !

Diagonale : Comment arrivez-vous à allier détox et gourmandise dans vos assiettes ? 
Le Canard Sur Le Toit : « Travailler avec les producteurs locaux est notre manière de contribuer à l’économie locale, et est surtout devenu notre identité. Une recette « healthy » peut tout à fait être gourmande, tout dépend des produits utilisés et de la manière dont ils sont cuisinés. Par exemple, accompagner un suprême de volaille ou un poisson blanc avec un accompagnement plus gourmand. Tout est dans l’équilibre ! »

D : Que recherche votre clientèle lorsqu’elle franchit le seuil de votre restaurant ?
LCSLT : « Notre clientèle cherche avant tout à se faire plaisir, avec de bons produits du terroir revisités et préparés Maison par notre Chef. Elle cherche des mets raffinés et de bons produits, nous essayons de les satisfaire avec des quantités généreuses et des plats suffisamment équilibrés. De plus, de par notre clientèle de plus en plus cosmopolite en séminaire, nous avons dû et su nous adapter à de nombreux régimes spéciaux : sans gluten, végétarien, végétalien… et cela fait notre force. Nous faisons du sur-mesure ! »

D : Alors détox versus retox : quelle est la tendance en ce qui concerne l’alimentation ?
LCSLT : « Je dirai que la tendance est de favoriser les petites cartes, qui tournent aux rythme des saisons, pour proposer à une clientèle de plus en plus exigeante et éduquée, des produits de qualité et de saison. L’hygiène de vie et l’activité physique sont devenues courantes chez les actifs. Attention, se priver n’est pas synonyme de santé mentale et physique ! Mais il demeure important de se faire plaisir et d’avoir un régime sain équilibré. »

LE CANARD SUR LE TOIT
58 Chemin de la Salvetat,
31770 Colomiers
Tél. : 05 61 30 37 83

 

À l’heure où le dieu détox nous dicte ses 12 commandements, et où la culpabilité pèse sur ceux qui s’en écartent, la tendance 2019 se tourne désormais vers le plaisir. Saturés des jus de légumes, algues et tisanes, fatigués des préceptes hygiénistes à tout crin et de la tyrannie du « Well being »… on redécouvre sans complexe les joies de la gourmandise transgressive et des petits plaisirs interdits délectables. Repensée, réintroduite avec volupté et de manière intelligente, la retox consciente n’a que du bon. Alors, à l’image du yin et du yang, on équilibre, on alterne les cycles astreinte/ relâche… et on se fait du bien coûte que coûte !

Tandis que les citadins branchés font la moue face à la « restauration rapide », rechignent devant leur steak-frites, et boudent les lipides, les enseignes cherchent des compromis face à cette tyrannie du « détox ». Désormais, les burgers deviennent gourmets, la « Junk food » prend des airs de cuisine bistrot, et les fruits et légumes reviennent au menu. « Mc Donald’s était la première chaîne de restaurants à déployer en Europe un système d’information nutritionnelle sur les emballages de ses produits », explique Fabienne Dupuy, du service marketing et communication de l’enseigne. Une politique qui a dès lors réformé le fast-food, pour le plus grand plaisir des consommateurs en quête de « bien manger ».

« Nous avons commencé par l’introduction de fruits saisonniers et de petites tomates, notamment dans le « Happy Meal ». Puis avons continué par la refonte de toute notre gamme de salades : les gourmands l’accompagneront de poulet frit, tandis que les plus raisonnables opteront pour celle au poulet grillé », développe Fabienne Dupuy. Du côté des burgers, les recettes coutures -comme celles du « Signature »- , côtoient les intemporels « Cheeseburgers ». « Nous travaillons avec des produits fins, comme des fromages AOP et des viandes charolaises, qui apportent une vraie valeur gustative et qualitative, sur ce type de produits », rappelle Fabienne Dupuy. Alors, si le temps d’un repas, on suggérait que tout ce qui est mignon n’est pas péché ?

MCDONALD’S Le Perget
Chemin du Loudet
31770 Colomiers
Tél : 05 34 55 96 01

 

À l’heure où le dieu détox nous dicte ses 12 commandements, et où la culpabilité pèse sur ceux qui s’en écartent, la tendance 2019 se tourne désormais vers le plaisir. Saturés des jus de légumes, algues et tisanes, fatigués des préceptes hygiénistes à tout crin et de la tyrannie du « Well being »… on redécouvre sans complexe les joies de la gourmandise transgressive et des petits plaisirs interdits délectables. Repensée, réintroduite avec volupté et de manière intelligente, la retox consciente n’a que du bon. Alors, à l’image du yin et du yang, on équilibre, on alterne les cycles astreinte/ relâche… et on se fait du bien coûte que coûte !

Après avoir célébré la détox à coup de jus de citron pressé et de tisanes dépuratives, on lève son verre aux retrouvailles et à la dégustation. Après les bouillons et les purges, on ravit ses papilles autour d’un alcool d’exception, et on retrouve le doux plaisir de liqueurs sélectionnées par un expert. Grégory Fagot, sommelier de formation, a ouvert les portes de « L’Apéricave », en février 2015. Fort de son expérience il est constamment en quête de pépites surprenantes. « Je suis constamment aux aguets de la nouveauté et du bon goût. J’aime surprendre et proposer des produits que l’on ne trouve nulle part ailleurs », développe Grégory Fagot. Des vins en biodynamie à des prix très attractifs, à des Rhums de Panama vieillis en fût de Cognac, en passant par les étonnants accords de « Daffy’s Gin »… les conseils avisés et personnalisés de l’hôte font la valeur ajoutée des lieux. Formé en Angleterre et ayant notamment travaillé pour la prestigieuse maison Hennessy, c’est toujours dans l’excellence qu’il s’échine à trouver la perle rare adaptée au budget de chacun.

© Hélène Ressayres

«L’ Apéricave » perpétue la tradition milanaise de l’« Aperitivo » lors de ses afterworks de 17h30 à 18h30. Dans une ambiance cosy, les « Craft beers » y sont à l’honneur, et les « Vins des copains » accompagnent divinement les planches de fromage et charcuterie italiens. Passionné des accords mets et vins, c’est tout naturellement que, pour les deux derniers vendredis de janvier, « L’Apéricave » ouvre ses portes à une vente d’huitres à déguster sur place et à emporter.

L’APERICAVE
4/6 Av. André-Marie Ampère
31770 Colomiers
Tél. : 05 31 22 85 48

L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, consommez avec modération.

 

À l’heure où le dieu détox nous dicte ses 12 commandements, et où la culpabilité pèse sur ceux qui s’en écartent, la tendance 2019 se tourne désormais vers le plaisir. Saturés des jus de légumes, algues et tisanes, fatigués des préceptes hygiénistes à tout crin et de la tyrannie du « Well being »… on redécouvre sans complexe les joies de la gourmandise transgressive et des petits plaisirs interdits délectables. Repensée, réintroduite avec volupté et de manière intelligente, la retox consciente n’a que du bon. Alors, à l’image du yin et du yang, on équilibre, on alterne les cycles astreinte/ relâche… et on se fait du bien coûte que coûte !

© Hélène Ressayres

Florence De Le Rue, diététicienne et psycho-nutritionniste à Toulouse, fait fondre les idées reçues autour du régime, essore les contraintes, et mitonne une nouvelle approche du « bien manger ». Adepte de l’écoute de soi et d’une réconciliation avec la cuisine, cette militante pour le plaisir casse les codes. Ici, le diététiquement correct n’a plus sa place, et s’il est une règle, c’est de hacher fi n la culpabilité. « L’excès est en partie en lien avec le fait qu’il est diabolisé. De par son effet pervers, la culpabilité nous pousse à manger davantage. Plus on retrouve un lien sain et serein avec les aliments, plus on va vers un équilibre alimentaire. Si l’on se focalise vraiment sur les sensations que l’on ressent, on gère beaucoup mieux les quantités. Le but est de se plonger dans un état de pleine présence, pour un objectif 100% plaisir », explique la nutritionniste Florence De Le Rue.

 

Dans cette quête de lâcher prise, cette activiste du bien-être a récemment sorti « L’Anti-Mythe Alimentaire ». En partenariat avec l’illustratrice Emma Tissier, elle donne vie à Gigi, un personnage décalé et rigolo, qui passe à la moulinette 10 croyances alimentaires, avec amour et bienveillance. Du sucre, au gras, en passant par les produits laitiers, les protéines, les légumes, les féculents, et le grignotage… on jette les idées reçues au compost, et on se concocte une belle image de soi. Le tout garanti sans régime et 100% délice !

 

À l’heure où le dieu détox nous dicte ses 12 commandements, et où la culpabilité pèse sur ceux qui s’en écartent, la tendance 2019 se tourne désormais vers le plaisir. Saturés des jus de légumes, algues et tisanes, fatigués des préceptes hygiénistes à tout crin et de la tyrannie du « Well being »… on redécouvre sans complexe les joies de la gourmandise transgressive et des petits plaisirs interdits délectables. Repensée, réintroduite avec volupté et de manière intelligente, la retox consciente n’a que du bon. Alors, à l’image du yin et du yang, on équilibre, on alterne les cycles astreinte/ relâche… et on se fait du bien coûte que coûte !

Si le « Healthy » nous serine de privations en tous genres, la culpabilité pèse moins lorsque l’on consomme responsable et en circuits courts. Désormais, on sait comment manger gourmand sans faire de mal à la planète. « L’alimentation est la base de la vie, du lien social, de l’économie et a de gros impacts en ce qui concerne l’écologie, la politique et la société. Il est important d’en prendre conscience et de faire attention à ce que l’on met dans son caddie. C’est un système global qui, à mon sens, est censé multiplier les échanges au niveau local ; et chaque repas, s’il est bien pensé, est l’occasion de faire du bien à son corps et à l’environnement ». Des propos de Cyril Picot, co-fondateur de chez Minjat, qui en disent long sur l’état d’esprit de l’enseigne.

Ici, on remplit son assiette en fonction des saisons, on vient faire le plein d’idées recettes qui ont l’air d’accommoder les restes, et on se fait plaisir avec des produits du terroir pour la plupart. « Nos amandes viennent du Languedoc, nos noix, noisettes, et endives rouges du Tarn-et-Garonne, le chia d’Ariège et nos champignons ou légumes feuilles de la Haute-Garonne », explique Cyril Piquot. Mais ce qui fait aussi la vraie valeur ajoutée de « Minjat », demeure indéniablement la passion qui anime toute l’équipe de l’enseigne. Ici, on vient pour demander conseil et reprendre goût au partage, mais aussi à une cuisine conviviale et accessible à tous. Le plaisir est le maître-mot chez ses fils d’éleveurs et de producteurs d’Armagnac. La gourmandise n’est désormais plus un vilain défaut, puisqu’elle est éthique. Et les bières columérines, pâtes à tartiner locales et chips de l’Aveyron, trônent sans complexe sur les étals, pour le plus grand plaisir des épicuriens éveillés.

MINJAT
2/4 Av. André-Marie Ampère
31770 Colomiers
Tél. 05 82 08 30 73

À l’heure où le dieu détox nous dicte ses 12 commandements, et où la culpabilité pèse sur ceux qui s’en écartent, la tendance 2019 se tourne désormais vers le plaisir. Saturés des jus de légumes, algues et tisanes, fatigués des préceptes hygiénistes à tout crin et de la tyrannie du « Well being »… on redécouvre sans complexe les joies de la gourmandise transgressive et des petits plaisirs interdits délectables. Repensée, réintroduite avec volupté et de manière intelligente, la retox consciente n’a que du bon. Alors, à l’image du yin et du yang, on équilibre, on alterne les cycles astreinte/ relâche… et on se fait du bien coûte que coûte !

Très pratiquée dans les pays de l’Est, la CCE (Cryothérapie Corps Entier) Air sec, connue essentiellement pour la récupération et la réhabilitation après blessures, s’avérerait efficace dans bien des domaines. Anti-inflammatoire, anti-douleur et anti-stress, cette méthode fait de plus en plus parler d’elle. Le principe : un choc thermique à -110°C entraînant une cascade d’événements commandés par le système nerveux autonome, et qui aboutit à plusieurs phénomènes : une stimulation du système vasculaire, une sécrétion de cortisol-responsable du coup de fouet ressenti après les séances-, mais aussi de sérotonine, dopamine, et endorphines, assurant un état de bien-être. Magali Fourcade, infirmière et cryothérapeute du « Cryopôle » à Blagnac, explique : « Notre centre labellisé CCE Air Sec, offre tous les bénéfices du froid thérapeutique. Nous croyons fermement aux nombreux résultats en matière de qualité de vie apportés par ces séances. Et nous observons de réels progrès : une diminution des raideurs et douleurs articulaires ou musculaires, une meilleure récupération post-opératoire, une diminution des prises médicamenteuses, et un moral à la hausse, comme en témoigne nos patients souffrant de fibromyalgie, polyarthrite, ou encore d’arthrose. Précurseurs en la matière, nos centres proposent d’ailleurs des tarifs très préférentiels pour les personnes atteintes de sclérose en plaques ». Une technique qui serait aussi efficace face à la dépression, aux angoisses, aux burn-out, et aux problèmes de sommeil. « Nous recevons régulièrement des hôtesses de l’air qui veulent se recaler suite à un « jet-lag » », complète l’infirmière du « Cryopôle ».

Une technique totalement détox basée sur un froid thérapeutique qui boosterait les défenses immunitaires, aurait un fort pouvoir anti-oxydant et stimulerait la production de collagène. « Si l’idée de s’exposer au grand froid des cabines de cryothérapie angoisse certains, l’écoute des professionnels de santé et le bilan rigoureux effectué avant la première séance découverte, permettent de profiter de tous les bienfaits de cette thérapie naturelle », rassure la responsable du centre « Cryopôle ».

CRYOPÔLE
2 Impasse Emile Zola,
31700 Blagnac
Tél. : 05 61 86 34 20

À l’heure où le dieu détox nous dicte ses 12 commandements, et où la culpabilité pèse sur ceux qui s’en écartent, la tendance 2019 se tourne désormais vers le plaisir. Saturés des jus de légumes, algues et tisanes, fatigués des préceptes hygiénistes à tout crin et de la tyrannie du « Well being »… on redécouvre sans complexe les joies de la gourmandise transgressive et des petits plaisirs interdits délectables. Repensée, réintroduite avec volupté et de manière intelligente, la retox consciente n’a que du bon. Alors, à l’image du yin et du yang, on équilibre, on alterne les cycles astreinte/ relâche… et on se fait du bien coûte que coûte !

La pratique d’une activité physique régulière est, comme le sait tout un chacun, le b.a.-ba de la tribu détox. Mais tandis que, peu à peu, s’infiltre la nostalgie des longues soirées cocooning, on troquerait volontiers jogging et running contre canapé relax et pantoufles. Le temps de quelques lignes, on se l’autorise : on se love dans le fauteuil de chez « Fama » à retrouver chez « L’Ameublier » à Colomiers. On se laisser bercer par sa ligne modulable et attendrir par son tissu personnalisable, qui s’intègrera à tous les intérieurs.

 

© Julien Alias

Dans cette lutte pour le plaisir coupable qu’est le farniente, on revisite sa déco des sols au plafond, pour des ambiances zen. « Pour se couper de tout et se créer son petit coin de paradis, on optera pour des lignes épurées et light, aux couleurs sobres et douces », partagent Perrine Felus et Julien Alias, responsables du magasin « L’Ameublier » de Colomiers. Et ça tombe plutôt bien, puisque, cette année encore, le pastel est à l’honneur. Vert amande, rose poudré, beige, ou bleu layette, les atmosphères se ouatent. « Il y a aussi un vrai retour aux éléments, aux couleurs terracotta, à des textures authentiques comme le cuir ou le bois à noeud, aux motifs végétaux et au velours. Une tendance « Nesting » qui apporte chaleur et cocooning aux espaces », développent les professionnels de « L’Ameublier ». On se laissera aussi conquérir par la tendance du vert, qui envahit les intérieurs en 2019 et invite à la détente. Pour ceux qui voudraient profiter du bonheur de rester chez soi et se laisser aller à la paresse…

L’AMEUBLIER
16 Av. André-Marie Ampère,
31770 Colomiers
Tél. : 05 34 36 01 91

 

À l’heure où le dieu détox nous dicte ses 12 commandements, et où la culpabilité pèse sur ceux qui s’en écartent, la tendance 2019 se tourne désormais vers le plaisir. Saturés des jus de légumes, algues et tisanes, fatigués des préceptes hygiénistes à tout crin et de la tyrannie du « Well being »… on redécouvre sans complexe les joies de la gourmandise transgressive et des petits plaisirs interdits délectables. Repensée, réintroduite avec volupté et de manière intelligente, la retox consciente n’a que du bon. Alors, à l’image du yin et du yang, on équilibre, on alterne les cycles astreinte/ relâche… et on se fait du bien coûte que coûte !

La retox se veut provoc et carnassière. En 2019, on est suffisamment bien informé pour savoir où se fournir en bonne viande, savoureuse, et respectueuse du bétail. Pure résistance au « végétarisme », ou retour au source, le steak/ frite revient en force. On le choisit issu d’un élevage conscient, de circuits courts, mais toujours gourmand. Fraîchement débarqué de sa Lorraine natale, Patrick Weber, boucher-charcutier de formation, l’a bien compris. « Ici, nous proposons de la viande haut de gamme. Nous nous fournissons à Saint-Gaudens chez « Jucla ». Nos volailles « Label Rouge » proviennent de chez « Fermiers Landais », où elles sont exclusivement élevées en plein air, et nourries à 80% de céréales et 20% de graines et insectes. Et pour Pâques, nous vendons un agneau abattu dans les Pyrénées en zone de haute montagne », renseigne Patrick Weber. En effet, le responsable du magasin met un point d’honneur à proposer des produits de qualité, avec le sel pour unique conservateur.

© Hélène Ressayres

À « L’Atelier Weber », le fumage est artisanal, les pâtés, saucisses à cuire, et tous les plats traiteurs sont faits maison…. Mais surtout, les spécialités lorraines sont remises au goût du jour ! Ici, on déguste sans complexe la saucisse à griller au fromage, on reprend de « La Lyonner », à la viande cuttérée et fumée, et on se délecte des saucisses de pomme de terre. Et pour parfaire cette orgie de lipides éco-responsables, on profite des colis proposés par la maison à partir de 20 € : « Colis Automne », « Colis Fondue », « Colis Choucroute », ou encore « Colis Pierrade », accompagnent vos soirées d’hiver. De l’assiette au doux réconfort, il n’y a qu’un pas.

 

ATELIER WEBER
2 Boulevard Général de Gaulle
31770 Colomiers
Tél. : 05 61 71 83 09