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Le Lave-Dog, kézako ? Il s’agit d’une station de lavage pour chien en libre-service. Pour un temps de nettoyage moyen de 20 minutes, vous disposez d’une baignoire antidérapante avec laisse intégrée et rampe d’accès, d’un jet d’eau chaude avec ou sans savon et d’un outil de séchage. 

Le centre de lavage permet également d’obtenir du shampoing naturel au PH neutre et du démêlant. Pensez à prendre une serviette et quelques friandises pour récompenser toutou quand c’est fini ! Pour un montant de 5 à 15€, selon la taille du chien, vous lui évitez l’angoisse de la baignoire et n’inonderez plus votre salle de bain. Vous pouvez retrouver ce système du futur dans votre enseigne Truffaut Colomiers. Rendez-vous dans la partie animalerie au fond à gauche du magasin, non loin des poissons, pour y trouver cette invention très pratique. Plus besoin de se casser le dos dans la baignoire ou d’amener son compagnon poilu chez le toiletteur régulièrement, moyennant tarif, pour qu’il soit propre. Fini les balades dans la Forêt de Bouconne en automne, qui se terminent par un nettoyage complet de tout ce qui a approché de près ou de loin votre chien, lui compris. Maintenant, vous faites un saut par le Perget et vous évitez les inconvénients ! Seuls 12 Truffaut en France, la plupart en région parisienne, ont adopté ce service de toilettage en libre-service. Une chance pour nous et surtout pour nos amis à quatre pattes d’en avoir un au Perget !

Truffaut Colomiers 
Z.A.C. Du Perget, RN 124, sortie 6 Route d’Auch
Tél. 05 34 50 53 65
Facebook : @TruffautColomiers
www.truffaut.com/colomiers

Alors que le gouvernement britannique prévoit son interdiction des voitures à essence ou diesel pour 2040, l’inventeur James Dyson demande à son Premier Ministre que cette date soit avancée à 2030.

Pour aller de pair avec cette annonce, ce dernier vient de dévoiler les plans de sa voiture électrique. Prévues pour un lancement en 2021, elle sera « 100% électrique et tout-terrain » pour une utilisation en ville comme en terrains plus escarpés. La voiture qui apparaît avoir un design de SUV peut cependant encore changer d’allure. Comme le dit lui-même James Dyson « nous ne dévoilons jamais nos futures innovations avant qu’elles ne soient totalement prêtes  à être lancées et il en sera de même pour notre véhicule électrique. »

DR

500 personnes planchent sur le projet au Royaume-Uni et à Singapour (où Dyson a entrepris la création d’une usine dédiée à son véhicule électrique) depuis 2017. Pas moins de 2,5 milliards de livres (environ 2,9 milliards d’euros) ont été alloué par l’entreprise pour l’investissement et les recherches de nouvelles technologies. James Dyson, fort de son expérience en électroménager, prévoit en effet de maximiser l’aérodynamique et l’efficience énergétique du véhicule pour assurer la plus grande autonomie possible.

« Bon nombre de nos concurrents se basent sur des formats déjà existants lorsqu’ils conçoivent un véhicule électrique, et y adaptent le système de propulsion électrique. Une telle approche est certes rentable, mais elle a tendance à négliger la possibilité des réductions de masse et d’améliorations sur le plan aérodynamique qui permettrait de favoriser l’efficacité énergétique du véhicule. »

Pourquoi les Trophées Défis d’Entreprise ?
« Le Club d’Entreprises de l’Ouest Toulousain défend, depuis plus de 20 ans, les valeurs de l’homme au sein de l’entreprise qu’il dirige. Notre réseau rassemble des chefs d’entreprises animés par les mêmes sentiments d’appartenance, de respect, de réciprocité, de solidarité et de partage. C’est dans cet état d’esprit et conscient des challenges que relèvent les entreprises quotidiennement que les membres du CEO organisent la cinquième édition des « Défi s d’Entreprises » au Hall Comminges de Colomiers le 14 mars 2019.
Ces Défis d’Entreprises récompenseront les PME dans les domaines de l’emploi, de l’innovation, de l’export et mettront à
l’honneur les hommes qui font la force de notre tissu économique local. » Bernard GATIMEL, Président du CEO

Des encouragements et un soutien réitérés par tous.
Le 14 mars prochain, Karine Traval-Michelet, maire de Colomiers et vice-présidente de Toulouse Métropole, Présidente d’honneur de cette soirée, sera accompagnée de nombreux élus. En effet, seront présents ou représentés: Etienne GUYOT, préfet de la région Occitanie, Carole DELGA, présidente de la région Occitanie, Georges MERIC, président du Conseil Départemental, Jean-Luc MOUDENC, président de Toulouse Métropole, Alain DI CRESCENZO, président de la CCI Occitanie,… L’événement est également soutenu par des partenaires prestigieux.

Un concours sur trois catégories
Une entreprise sera récompensée dans chacune des trois catégories :
– Emploi : pour les entreprises qui ont généré de l’emploi et un dynamisme salarial ou qui œuvrent pour une qualité de vie au sein de leur structure.
– Innovation : technologique, juridique, humaine ou commerciale. Il sera pris en compte le caractère innovant du produit / service ou procédé présenté afin de le différencier d’une amélioration.
– Export : une stratégie export exemplaire et performante ; un savoir-faire qui dynamise les ventes et renforce l’image de
la Métropole toulousaine, de la Haute-Garonne et de la Région Occitanie sur les marchés internationaux.

À Cornebarrieu, à côté du bricomarché se cache un petit restaurant au nom cocasse. « Le nez dans l’bocal » est devenu pour certains un rendez-vous incontournable entre amis où règne la bonne humeur et pour d’autres la pause déjeuner entre collègues qui fait du bien pour souffler entre deux gros dossiers.

Ouverte en octobre 2015, ce bristot est pour Sébastien, le patron, « le rêve d’une vie ». On se rend d’ailleurs vite compte que ce projet lui tient à cœur lorsque l’on s’y attarde et que l’on discute avec lui. Ses 25 années d’expérience dans la restauration se ressentent dans sa cuisine diversifiée et constamment renouvelée ! Tous les matins, l’équipe affiche sur la page Facebook du restaurant (@lenezdanslbocal) les entrées, salades, plats et desserts du jour que vous pourrez commander le midi ou le soir. Vous l’aurez compris avec le nom du restaurant, les jeux de mots sont les bienvenus ici. Le menu du jour devient alors « Les éphémères du Nez », qui disparaissent au bout d’un jour comme les célèbres insectes, tandis que les desserts se transforment en « Mets d’la faim ». On sent que Sébastien s’amuse jusque dans ses noms de plats « Cassoulet Ki Lé Tou Méson », « Ze fish’n chips wiz ze sauce tartare », « le Tout fou l’quand aux girolles »  parmi les plus originaux.

 

Le Tout fou l’quand aux girolles

Pourquoi innover chaque jour me direz-vous ? Il y a deux raisons à ce choix, la première vient de l’imagination débordante de Sébastien qui se plaît à vous confectionner chaque année des recettes qui changent malgré une certaine identité culinaire, la deuxième est la fraîcheur de ses produits nobles qui influencent constamment ses créations. Au fil du temps et des discussions de nouvelles idées germes, « quand un produit plait, je le prends et j’en fais une recette » , me dit le patron. Chez Le Nez Dans L’bocal, tout est 100% fait maison de l’entrée jusqu’aux desserts, pour vous proposer des mets divers et variés. C’est également pour cela que la saisonnalité incite, ici, à la nouveauté des plats. Que vous soyez plutôt viande ou poisson, vous serez sûr de trouver de quoi vous régaler entre le filet de turbot poêlé, le pot au feu bœuf et veau, la terrine de colin ou encore le burger au bœuf et son pain à l’encre. Vos sens seront mis en éveil !

Le côté intimiste de ce restaurant est d’autant plus agréable qu’il est possible de le privatiser. Pour les gros groupes, jusqu’à 50 personnes, un buffet vous sera servi, fusion entre tapas et cocktail dinatoire. Si vous êtes en comité plus réduit, de 25 personnes par exemple, et souhaitez être assis ; vous bénéficierez sur rendez-vous d’un menu personnalisé créé par Sébastien en tenant compte de vos envies. Ici, beaucoup d’habitués viennent pour la bonne ambiance et ça se comprend ! Nombreux sont ceux qui viennent seulement prendre un apéro entre amis et se contentent d’une planche de tapas fait-maison à partager qui régale leurs papilles. Alors pourquoi pas vous ?

 

On a tous vécu ce moment où le seul moyen de paiement que l’on a sur nous est la carte ; tandis qu’en face de nous, le commerçant ne dispose pas de lecteur. Dilemme alors qu’aujourd’hui, la carte bancaire est le moyen de paiement préféré des français. Lorsque l’on se penche de plus près sur la question, on se rend pourtant compte que près de 2 entreprises sur 3 sont dans ce cas et ne possède pas de terminaux.

Pourquoi autant d’entreprise n’en possèdent-elles pas ? Frais bancaires élevés, abonnement coûteux et dépendance à une banque par un contrat sont les raisons principales de ce manque à gagner, notamment pour les TPE (très petites entreprises) qui n’ont pas les fonds nécessaires.

C’est pour palier ce manque, très pénalisant pour le chiffre d’affaires des petits commerces, que la start-up française Smile and Pay* a vu le jour en 2014. Cette jeune entreprise propose via son site www.smileandpay.com de recevoir sous 48h un boitier d’encaissement, que l’on peut ensuite relier à un smartphone via bluetooth.

Une offre sans engagement ni frais caché et dont Smile and Pay ne prélève qu’une faible commission de 1,2 à 2% HT en fonction du volume de transaction réalisé. En d’autres mots, si pendant une période il n’y a pas d’encaissement par carte bancaire, alors il n’y a pas de commission prélevé par Smile and Pay* !

Un système innovant qui permet aux entreprises saisonnières, aux start-up et aux commerces n’ayant que peu d’encaissement par CB de ne perdre aucun client, mais aussi de subir moins de vol et d’impayés. Il ne vous reste plus qu’à sourire et payer* !