En ce mois de mai, nous vous proposons une recette délicieusement printanière et joliment colorée !
Pour 4 personnes
Préparation : 15 min
Cuisson : 45 min
Ingrédients : 2 poivrons, 250 g de courgette, 120 g de riz basmati, 100 g de fromage de chèvre frais, 30 g de cerneaux de noix, 1 gousse d’ail, quelques feuilles de basilic (frais ou séché).
Préchauffer le four à 180°C.
Faire cuire le riz basmati dans une casserole d’eau bouillante salée en suivant les indications du paquet.
Laver et couper la courgette en petits dés. Mixer les courgettes avec la gousse d’ail préalablement épluché, le fromage de chèvre et 20 g de cerneaux de noix. Saler et poivrer.
Mélanger la farce avec le riz. Réserver
Ôter la tige des poivrons, les couper en deux et les évider. Remplir les poivrons avec la farce puis enfourner pour 45 min jusqu’à ce que les poivrons soient tendre.
Servir avec quelques cerneaux de noix et accompagné d’une salade verte.
Ingrédients : 1 pâte brisée, 2 courgettes, 2 carottes, 10 champignons, 150 g de houmous (classique ou autres légumineuses), 1 oignon, 150 g de fromage de brebis, huile d’olive, sel, poivre, herbes de Provence.
Préchauffer le four à 200 °C.
Laver et couper les courgettes et les carottes en fines rondelles. Essuyer et couper les champignons et émincer l’oignon.
Dans une poêle avec un filet d’huile d’olive, faire dorer les légumes avec une pincée de sel pendant 5 min environ.
Étaler puis piquer la pâte brisée dans un moule à tarte.
Garnir le fond de la tarte de houmous et répartir les légumes par-dessus.
Cuire au four pendant 25 min environ.
À la sortie du four, parsemer de fromage de brebis émietté et d’herbes de Provence. Servir immédiatement accompagnée d’une salade.
Le changement climatique, la pollution, la surexploitation des ressources naturelles qui empêche leur renouvellement, … Notre biodiversité est en danger et il est urgent d’agir pour la préserver ! Pour vous aider, nous avons rencontré Héloïse, responsable épicerie de votre Biocoop La Ramée, qui nous a livré ses conseils et astuces. Protéger la biodiversité en faisant ses courses, c’est aussi ça Biocoop !
Après avoir commencé sa vie professionnelle dans le secteur du bâtiment, Héloïse a rejoint Biocoop en 2020 « par conviction écologique », explique fièrement la jeune trentenaire. « Nous assistons aujourd’hui à une véritable érosion de la biodiversité mais cela ne doit pas être une fatalité ; nous pouvons toutes et tous agir, à notre échelle, pour la préserver ! » Ainsi, Biocoop s’engage activement en luttant contre l’appauvrissement des semences en France, en accompagnant de nouvelles techniques de culture comme l’agroforesterie… Et bien plus encore dans les mois et années à venir !
La protection de la biodiversité passe aussi par la diversification de son alimentation. « Consommer différemment, en se tournant vers de nouvelles farines, huiles et autres légumineuses contribue à préserver la biodiversité tant végétale qu’animale » souligne Héloïse. « On va par exemple retrouver de la farine de petit épeautre mais aussi de pois chiches, de sarrasin, de châtaigne, de noix, … Nous travaillons avec 5 producteurs locaux de farines, dont certains nous fournissent également en huiles ! »
Cette variété de farines se retrouve également du côté de la boulangerie, avec un très beau choix de pains, que Pauline se fera un plaisir de vous présenter ! « Nous avons une clientèle de gourmets, qui aime varier les goûts et découvrir de nouveaux produits », souligne Héloïse.
En ce mois d’avril, synonyme de Pâques, les gourmands peuvent se tourner les yeux fermés vers les délicieux chocolats de Bouga CacaO, dont l’atelier se trouve dans les Pyrénées ariégeoises. Côté primeur, profitez de la fin des légumes d’hiver pour préparer une jolie tarte (suggestion de recette ci-dessus !).
À vos agendas ! Du 3 au 8 avril, votre Biocoop La Ramée organise sa « Semaine des producteurs ». Chaque jour, un producteur différent sera présent sur place pour vous présenter ses produits et vous en proposer la dégustation. Rendez-vous en magasin pour découvrir le programme !
L’aventure a commencé en 2001 avec le regroupement de 5 producteurs de lait de brebis, rejoints par d’autres éleveurs autour d’une démarche éthique globale, respectueuse des hommes, des animaux, et de l’environnement.
Aujourd’hui, la coopérative Aveyron Brebis Bio fédère 77 producteurs 100% bio et 4,7 millions de litres de lait bio (certifié Biocohérence et Bio Equitable en France) sont collectés chaque année. « Notre lait sert notamment à fabriquer des tommes, des fromages frais, des fromages, des yaourts, … en tout, ce sont 80 produits bio qui utilisent le lait d’Aveyron Brebis Bio ! » souligne Vincent Benoît, directeur de la coopérative.
Aveyron Brebis Bio fournit directement le réseau Biocoop pour son lait de brebis, ses yaourts et ses fromages blancs de la marque Biocoop. Récemment, la collaboration entre les deux coopératives s’est encore approfondie autour d’un projet participatif, en partenariat avec une fromagerie, qui a abouti à la création de plusieurs fromages : Le P’tit Bleubi (un petit bleu, comme son nom l’indique !), La Céleste (une belle fourme bleue) et La Rebêêêlle (une tomme de brebis au goût doux et fruité). Ces fromages, produits en quantités limitées ont rencontré un franc succès dans les magasins Biocoop où ils ont été proposés. « Le ‘test’ est réussi, les consommateurs ont répondu présents, nous sommes ravis ! L’objectif maintenant est de changer d’échelle, afin de pouvoir les produire en plus grande quantité » conclut Vincent.
Pour avoir un aperçu des beaux pâturages, des femmes et des hommes (et des brebis !) qui font vivre Aveyron Brebis Bio, c’est par ici :
Ce mois-ci, nous nous sommes intéressés aux aliments ultra-transformés, qui ont progressivement envahi les rayons de la grande distribution… et nos placards ! Rencontre avec Pierre Le Gall, gérant de la Biocoop Blagnac, pour connaître ses conseils afin de mieux manger !
Les aliments ultra-transformés, c’est quoi ? Des aliments déstructurés et reconstitués par des procédés industriels, contenant des ingrédients rajoutés pour modifier le goût, l’aspect et la texture. Leurs avantages ? Ils permettent de proposer des produits attractifs, faciles à consommer, avec un coût plus faible. Le problème : ils sont riches en sucre, sel, graisse et additif, sans intérêt nutritionnel, et leur consommation excessive serait néfaste pour la santé (risque accru de surpoids et de maladies chroniques). Comment les repérer ? « Une composition à rallonge, avec des ingrédients que vous ne retrouvez pas dans vos cuisines, est un indicateur » explique Pierre.
Plus de 70% de l’offre emballée de la grande distribution sont des aliments ultra-transformés ! Face à cette tendance, Biocoop a décidé d’agir et conçoit, depuis 2019, ses nouveaux produits (et reformule les anciens) en limitant, voire en supprimant, les marqueurs d’ultra-transformation. « Par exemple, toute la gamme charcuterie Biocoop est garantie sans sel nitrité et sans dextrose, un engagement fort » souligne Pierre. « Ne soyez pas surpris par la couleur du jambon, moins rose que celle dont vous avez peut-être l’habitude, c’est la couleur naturelle ! » Confiture sans pectine ajoutée, pâte à pizza sans levure phosphatée, … et bien plus encore dans les rayons de votre magasin !
La production locale est particulièrement à l’honneur dans votre Biocoop Blagnac : parmi les 8500 références, 25% sont produites en local, ce qui représente plus de 100 producteurs différents. Au rayon traiteur notamment, retrouvez de délicieuses tartes salées, soupes, quiches, … cuisinées par des producteurs locaux, à consommer sur place ou à emporter, avec un petit dessert, dont les Pasteis de nata de Bom Pasteis, que nous vous avons présentés il y a quelques mois !
Le printemps arrive, et avec lui, l’envie de prendre soin de soi et peut-être, de faire une petite détox ! Pour cela, retrouvez dans votre Biocoop Blagnac la sève de bouleau fraîche du producteur Eve Sève de Montagnes, proposée en cubi de 1 ou 3 L, « à consommer le matin à jeun » conseille Pierre.
Si le mois de février rime avec « amour », dans votre Biocoop Cornebarrieu, c’est la passion du terroir qui est à l’honneur ! Nous partons donc ce mois-ci à la rencontre d’Alexandre, employé polyvalent, pour découvrir les astuces d’une alimentation bio’ et locale !
Pour Alexandre, qui travaille depuis bientôt 3 ans chez Biocoop, « manger bio et local, ça concerne l’entièreté du produit ! » Son conseil : se tourner vers des enseignes spécialisées et transparentes telles que Biocoop, où l’on n’a pas besoin de décrypter toute la liste d’ingrédients pour deviner la provenance…
« Il y a quelques mois, avec la pénurie de moutarde dans les rayons, les consommateurs se sont rendus compte qu’un produit qu’ils pensaient être français, ‘l’emblème de nos régions’, était en réalité issu en bonne partie [les graines] du Canada… » À l’heure où l’on prône la sobriété énergétique et le développement durable, l’urgence est à la relocalisation et Biocoop l’a bien compris ! « La moutarde estampillée Biocoop est désormais 100% française ! » souligne fièrement Alexandre. Cette dynamique de relocalisation est également menée pour la production de miel dont beaucoup provenaient d’Italie ou d’Espagne. Ainsi, dans vos magasins Biocoop, 86% de l’offre est d’origine France, avec pour objectif d’atteindre les 90% à l’horizon 2025 !
À la Biocoop, l’amour dure depuis 35 ans… Et ce n’est pas près de s’arrêter ! Le réseau accompagne et soutient les agriculteurs de nos régions à travers le dispositif « Avec nos Paysan.ne.s associé.e.s ». Ce logo, repérable sur les produits de la marque Biocoop, recouvre pas moins de 3 500 fermes bio’, rassemblées en 19 groupements coopératifs. Leurs produits sont commercialisés chez Biocoop dans des conditions équitables et co-construites : respect mutuel et totale transparence dans les échanges, recherche de convergence entre producteur et commerçant et juste rémunération. « Et pour le client, pas de doute : ce logo atteste qu’il s’agit d’une production bio et 100% française ! » souligne Alexandre. Car il est important de savoir ce qu’il y a au bout de notre fourchette…
La production française est notamment à l’honneur au rayon primeur de votre Biocoop Cornebarrieu ! On y retrouve en ce moment les légumes anciens (panais, rutabagas, topinambours), les choux romanesco ou de Bruxelles et les endives pour de délicieuses salades agrémentées de noix et de bleu d’Auvergne ! Côté fruits, faites-le plein de vitamine C : oranges, oranges sanguines, mandarines, citrons, … C’est la saison des agrumes ! Et pour plus de douceur, on opte pour les poires ou les pommes, 100% locales (notamment celles d’Arbiodyn, qui propose également de délicieux jus !). Opal, Pixie, Fuji, Crimson Crisp, ou encore Chantecler : les variétés ne manquent pas !
La Saint-Valentin est certes passée, mais l’amour des bons produits, c’est toute l’année chez Biocoop ! Pour un dîner en amoureux, laissez-vous tenter (avec modération bien sûr !) par la très belle bouteille de vin « Je t’aime » du Domaine Bassac, situé à Puissalicon, à côté de Béziers. Un mélange de Cabernet-Franc, Grenache et Syrah, qui dégage en bouche des arômes tendres de fruits cuits et d’amande grillée.
Ingrédients : 200 g de flocons d’avoine, 400 ml de boisson végétale à l’amande, 60 g de sucre de canne complet, 4 cs de purée d’amande, 1 sachet de poudre à lever, 2 pommes, 2 poires, 8 carrés de chocolat, 2 pincées de cannelle.
Préchauffer le four à 190°C.
Dans un saladier, mélanger les flocons d’avoine, la boisson végétale, le sucre de canne, la poudre à lever, la purée d’amande et la cannelle.
Déposer le mélange dans 4 petits ramequins individuels.
Sur le dessus de chaque ramequin, déposer une demi-pomme et une demi-poire coupées en petits morceaux. Ajouter 2 carrés de chocolat concassés grossièrement.
Enfourner 10 minutes. À déguster encore chaud avec un trait de purée d’amande sur le dessus !
Astuce : Le porridge peut aussi se préparer la vieille au soir et être conservé au frais, avant d’être réchauffé le matin.
En plein cœur du Lot-et-Garonne, c’est entre Laffite-sur-Lot et La Sauvetat-sur-Lède que se trouvent les vergers d’Arbiodyn ! Nous sommes partis à la rencontre de Zoubeïr, gérant de cette belle exploitation, où poussent une vingtaine de variétés de pommes, mais aussi des cerises, des prunes, des noix et bientôt, des poires !
Ingénieur de formation, Zoubeïr fait le choix en 2021 de se reconvertir dans l’arboriculture, après une carrière dans l’industrie lourde à l’international. « J’avais envie de faire quelque chose de plus ‘concret’. De plus, nous habitions à ce moment-là à Paris avec ma femme et, après la naissance de notre premier enfant, nous voulions nous mettre au vert. Ma mère étant originaire de la région, j’ai saisi avec joie l’opportunité de reprendre ce verger de pommes, qui était déjà en bio », sourit Zoubeïr. Un an après son installation, le couple fait l’acquisition d’autres vergers, où poussent des cerisiers, des pruniers et des noyers, ainsi que d’une bâtisse, en cours de rénovation. Pourquoi Arbiodyn ? « C’est l’acronyme d’Agriculture Régénératrice, BIOlogique et en bioDYNnamie » nous explique Zoubeïr, qui a également à cœur de valoriser l’ultra-local et le circuit court.
Près d’une vingtaine de variétés de pommes poussent dans les vergers d’Arbiodyn, des pommes dites précoces (qui arrivent dès le mois d’août), des pommes de saison et des pommes d’arrière-saison, qui peuvent être consommées jusqu’en juin. Cette diversité permet à l’exploitation de fournir des pommes presque toute l’année, « en petite quantité, synonyme de qualité » souligne Zoubeïr. Citons par exemple la « Story » une pomme sucrée avec une couleur rouge vif ou encore la « Goldrush » et la « Dalirène », deux variétés légèrement acides et sucrées.
Véritablement passionné, Zoubeïr va prochainement planter près de 80 variétés de pommes anciennes qui proviennent du Conservatoire végétal de Nouvelle-Aquitaine. L’objectif est double : faire perdurer ces variétés et faire (re)découvrir aux consommateurs des goûts oubliés. Autre nouveauté : Arbiodyn a aussi prévu des plantations de poiriers !
Pour mener à bien ses nombreux projets et faire vivre l’exploitation, Zoubeïr s’est entouré d’une fine équipe, composée d’Ana Caterina et d’un couple, Monica et Antonio. Outre les fruits, Arbiodyn propose aussi des cidres et des jus ! Au choix : pomme, pomme-cerise, pomme-kiwi (« avec des kiwis produits à 1,8 km du verger »), mais aussi pomme sanguine, « une pomme à la chair rouge, très acide crue mais délicieuse en jus ! ». Il y en a pour tous les goûts !
Retrouvez les jus et les pommes d’Arbiodyn dans votre Biocoop Cornebarrieu ! « Nous partageons les mêmes valeurs que Biocoop : le circuit court, le lien de confiance, la solidarité envers les producteurs locaux. Et le contact avec l’équipe du magasin, dans un respect mutuel, est très agréable ! » À consommer de toute urgence : la « Pinova », une variété de pomme très croquante, juteuse et fruitée, reconnaissable à son aspect bicolore jaune-rouge. Elle ne sera disponible que jusqu’en mars, alors foncez !
Pour un goûter réconfortant, qui séduira petits et grands, suivez notre recette très facile de cookies amandes et chocolat, préparés avec de la farine de sarrasin qui apportera un petit goût de noisette. Bon appétit !
Niveau de difficulté : 1 étoile
Pour 8 cookies
Préparation : 10 minutes
Cuisson : 15 minutes
Ingrédients : 4 blancs d’œufs, 200 g de purée d’amande blanche, 1 cuillère à café d’extrait de vanille, 150 g de sucre complet, 150 g de farine de sarrasin, 125 g de de chocolat dessert, quelques amandes blanches.
Préchauffer le four à 180°C.
Mélanger les blancs d’œufs, la purée d’amande blanche, la vanille, le sucre et la farine de sarrasin jusqu’à obtenir une pâte homogène.
Sur une plaque recouverte de papier cuisson, déposer des boules de pâtes façonnées à la main ou à l’aide de 2 petites cuillères.
Aplatir légèrement les boules et déposer sur le dessus du chocolat coupé grossièrement ainsi que quelques amandes blanches.
Enfourner pendant 15 min, puis laisser refroidir quelques instants avant de déguster.
En janvier, les kiwis et les poires sont à l’honneur ! Riches en vitamine C, ce sont de formidables alliés pour se prémunir des petits maux de l’hiver. Suivez notre recette pour un dessert sain et gourmand !
Pour 4 personnes
Préparation : 20 min
Cuisson : 20 min
Ingrédients : 5 kiwis, 3 poires, 1 mangue, 100 g de muesli, 85 g de sucre fin, 100 g de mascarpone, 150 g de crème liquide entière bien froide, 1 gousse de vanille, du jus de citron.
Eplucher et couper la mangue en morceaux puis mixer-les avec 30 g de sucre et quelques gouttes de jus de citron jusqu’à obtenir un coulis. Réserver au frais.
Dans un saladier bien froid, mélanger la crème, le mascarpone, 25 g de sucre et les grains de la gousse de vanille. Fouetter jusqu’à l’obtention d’une chantilly bien ferme puis réserver au frais.
Peler et couper les kiwis et les poires en petit dés puis mélanger avec le sucre restant.
Déposer dans le fond de 4 verrines un peu de muesli, recouvrir du mélange kiwi-poire puis d’un peu de chantilly. Terminer par un peu de coulis de mangue et servir immédiatement.
